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km22

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  1. km22

    Actualité : Eepad -AT

    4000 clients de l’Eepad passent chez Algérie Télécom Alors que le litige qui oppose l'opérateur historique, Algérie Télécom et l'établissement à distance Eepad persiste, des milliers de clients restent en stand-by au moment où d’autres n’ont trouvé aucune autre solution que de désactiver leur abonnement chez Eepad et s'offrir un abonnement ADSL chez Algérie Télécom. Selon des sources proches de l'opérateur, ce sont 4 000 clients qui ont été transférés chez AT ces 8 derniers mois. Il s'agit dans la plupart des cas de professionnels (journaux, entreprises, institutions publiques etc). Il convient de rappeler que le dossier Algérie Télécom / Eepad demeure toujours d'actualité puisque le ministre des PTIC n'a toujours pas tranché sur cet épineuse affaire. http://www.mobilealgerie.com/modules.php?name=News&file=article&sid=1846
  2. documentaires (Sidi bel abbes c'etait hier) partie 1 http://www.dailymotion.com/video/x7rh7a_sidi-bel-abbes-cetait-hier-1_news partie 2 http://www.dailymotion.com/video/x7rhfa_sidi-bel-abbes-cetait-hier-2_news partie 3 http://www.dailymotion.com/video/x7rjjn_sidi-bel-abbes-cetait-hier-3_news
  3. Quelques observations d’ordre juridique Dans cette affaire comme dans toutes les autres, seuls comptent l’intérêt du pays et celui de ses citoyens. C’est avec un certain émoi que le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, ainsi que le directeur général d’Algérie Télécom ont commenté la politisation du conflit qui oppose AT au provider l’Eepad, alors que pour eux, il s’agit d’un litige purement commercial. Si AT et Eepad avaient accepté de communiquer en toute transparence sur ce litige et surtout si l’Arpt, en tant qu’autorité de régulation, n’avait pas exprimé son étonnement qu’AT coupe la connexion du provider au réseau de téléphonie fixe sans lui en avoir référé au préalable, personne ne se serait hasardé, - à commencer par la presse -, à envisager d’autres hypothèses que la classique sanction d’un défaut de paiement de la part d’un débiteur à l’égard de son créancier. Bref récapitulatif du litige C’est le 16 mai 2009 qu’AT coupe la connexion du provider Eepad avec le réseau de téléphonie fixe dont il détient le monopole, au motif du non-paiement par Eepad à AT d’un montant de 2,3 milliards de DA, et ce, après, semble-t-il, plusieurs mises en demeure restées infructueuses. Le 26 mai, les abonnés de l’Eepad sont à nouveau connectés, le fournisseur d’accès à Internet s’étant acquitté dans l’intervalle d’un premier versement du montant global de la facture. A l’occasion de ce différend, le ministre de la Poste et des TIC réunit l’ensemble des fournisseurs d’accès à Internet (les ISP) pour mettre au clair les aspects liés au règlement des dettes contractées par eux à l’égard de AT, la mise en place d’une nouvelle tarification sur la bande passante et enfin le règlement du problème lié à la fréquence des coupures de la connexion qui préjudicient aux usagers. Mais, à nouveau, le 1er septembre 2009, le provider est déconnecté du réseau de téléphonie fixe, pénalisant ainsi quelque 35.000 abonnés, parmi lesquels on compte des entreprises importantes, des cybercafés et des ambassades. AT justifie le recours à cette solution maximale par le non-apurement de la part de l’Eepad de sa dette, dont le montant exact est évalué, selon AT, à 5 milliards de DA (Eepad l’évalue pour sa part à 3,5 milliards de DA). Quelle autorité doit trancher ce litige? La loi n° 2000-03 modifiée et complétée du 5 août 2000 fixant les règles générales relatives à la poste et les télécommunications crée «une autorité de régulation indépendante dotée de la personnalité morale et de l’autonomie financière» (article 10). Celle-ci exerce de nombreuses missions (18 au total), dont celle «d’arbitrer les litiges qui opposent les opérateurs entre eux ou avec les utilisateurs» (article 13). Par ailleurs, l’Arpt «formule toute recommandation à l’autorité compétente préalablement à l’octroi, la suspension, le retrait ou le renouvellement de licences». Il en résulte que l’Arpt avait toute compétence pour se prononcer sur le litige opposant AT à l’Eepad. Si notre pays a estimé devoir se doter d’instances de régulations indépendantes, c’est bien pour qu’elles puissent trancher les litiges entre opérateurs économiques, de préférence aux juridictions de droit commun. Seul un recours en annulation porté devant le Conseil d’Etat peut être intenté contre les décisions de l’Arpt, étant précisé que celles-ci ne sont pas suspensives d’exécution. Une dette contractée par un fournisseur d’accès à Internet à l’égard de l’opérateur historique qui a le monopole de la téléphonie fixe entre indéniablement dans le champ d’application de la juridiction de l’Arpt. Est-ce à dire qu’une commission ministérielle ne pouvait pas se pencher sur ce litige? A priori, elle le pouvait difficilement, compte tenu du fait que la loi confie l’exclusivité du traitement des litiges à l’autorité de régulation. Il est, certes vrai, que la loi précitée instruit l’Etat de veiller «à la continuité et à la régularité des services offerts au public» ainsi qu’«au respect, par les opérateurs, de leurs obligations légales et réglementaires»; deux catégories d’obligations qui semblent s’exclure mutuellement dans le cas d’espèce. Mais le rôle de la puissance publique, en la matière, n’est défini qu’en tant que principe général, ce dernier ne pouvant être médiatisé que par des règles précises et concrètes, celles-là mêmes qui définissent les missions de l’Arpt. Pour le surplus, dans le cahier des charges de l’Arpt, il est prévu que «dans le respect du principe de continuité, et sauf en cas de force majeure dûment constaté, le titulaire [celui de la licence ou tout autre titre] ne peut interrompre la fourniture des services sans y avoir été préalablement autorisé par l’autorité de régulation». On voit bien que l’Arpt n’a pas été en mesure d’imposer cette obligation à AT. S’agissant de l’hypothèse de la force majeure, elle ne résiste pas à un examen un tant soit peu sérieux de la nature du litige; d’une part, l’obligation de continuité du service ne fait pas obstacle à la réclamation d’AT et d’autre part, le non-paiement d’une dette à l’égard de l’opérateur ne saurait être considéré comme un cas de force majeure empêchant la continuité du service, que si ce cas est dûment constaté par l’autorité de régulation. Or celle-ci n’a pas été saisie et elle ne s’est pas non plus autosaisie (contrairement aux prescriptions du cahier des charges et comme l’invite expressément la loi, en vertu de l’article 13 in fine). Les contraintes d’AT Elles sont nombreuses et ont été rappelées par son excellent directeur général, M.Moussa Benhamadi. On doit tout d’abord mettre au crédit de ce grand commis de l’Etat, qui a réussi dans toutes les missions qui lui ont été confiées dans le passé, l’élaboration d’une véritable stratégie de développement de l’Internet avec la mise en place du programme e-Algérie 2013 qui sera un immense succès. Il faut rappeler au titre des contraintes d’AT que celle-ci est liée à l’Etat par un contrat de performance. Aujourd’hui, ce n’est pas moins de 40 milliards de DA de créances que AT a accumulées vis-à-vis de ses différents clients. A ce propos, une circulaire du Premier ministre enjoint à tous les services de l’administration de régler leurs dettes à l’égard d’AT, un prélèvement direct sur les budgets des administrations défaillantes ayant même été décidé. On a parfois tendance à oublier qu’AT est une entreprise commerciale qui doit réaliser des bénéfices et limiter ses pertes. Il est très important, dans l’intérêt technologique du pays, qu’AT soit épargnée par l’impécuniosité subie ou voulue de certains clients. La fragilisation financière d’AT risque par ailleurs de racornir l’image de l’opérateur historique aux yeux des investisseurs étrangers qui souhaiteraient entrer en partenariat avec elle, notamment dans la perspective du programme e- Algérie 2013 et ceux qui suivront. Enfin, le directeur d’AT rend compte à sa hiérarchie et à son conseil d’administration qui sont, l’un et l’autre, légitimement impatients que les débiteurs de l’opérateur historique honorent leurs engagements. Les contraintes de l’Eepad A partir du 1er septembre 2009, les abonnés du provider sont privés de connexion de la part de l’Eepad; toutefois pour ne pas les pénaliser, AT les a quasi immédiatement invités à s’abonner chez elle. Les contraintes de l’Eepad déclinées par son P-DG, N.Harzellah, seraient de deux ordres: celui qui est antérieur à la coupure de la connexion et qui serait imputable à la baisse des tarifs de l’Adsl de 50%, laquelle aurait fait chuter les recettes du provider et empêché ce dernier de rembourser sa dette; le second ordre est consécutif au sort de ceux des abonnés de l’Eepad qui sont toujours en situation d’attente et au sort des 1800 personnes qui travaillaient directement (600) et indirectement (1200) pour le compte du fournisseur d’accès à Internet. Eepad mérite-t-elle ou non d’être sauvée? AT proclame à l’envi qu’elle ne souhaite pas la disparition de l’Eepad; tout au contraire. Le ministre du secteur renchérit sur ce thème. Dans ces conditions, se demande le citoyen algérien, comment se fait-il qu’aucune solution ne soit encore en vue qui permettrait tout à la fois de sauver le provider et à AT de récupérer son dû? Depuis mai 2009 maintenant, aucune possibilité d’arrangement définitif n’est apparue. AT avait sans doute des raisons objectives de repousser l’offre de l’Eepad de se désister à son profit d’une partie de son réseau. Que reste-t-il comme autre solution? Lorsqu’on recense les besoins immenses exprimés par les particuliers, les écoles, les administrations, les entreprises en matière d’accès à Internet, sur l’ensemble du territoire national, lorsqu’on sait que l’accélération du développement économique du pays est étroitement conditionnée à l’essor des TIC pour lesquels le gouvernement a consacré quelque 16,3 milliards de DA dans le cadre du Plan complémentaire de soutien à la croissance, au seul titre de la modernisation du service public, la priorité devrait aller logiquement au sauvetage de l’Eepad. Celle-ci, aux dires de son directeur général, a déjà beaucoup investi, ces quatre dernières années, pour développer l’infrastructure des réseaux dans les wilayas du Sud. Elle aurait également conclu un contrat avec une entreprise chinoise pour le montage en Algérie d’ordinateurs portables, appelés à être vendus à un prix très compétitif, avec obligation à la charge de l’entreprise chinoise des prestations suivantes: formation professionnelle, assistance technique et transfert de savoir-faire. A constater l’existence de l’ensemble de ces projets à moyen et longs terme dont la rentabilité ne semble pas faire de doute, eu égard à l’importance de la demande solvable, on ne peut qu’être troublé par le fait que l’Eepad n’ait pas trouvé une seule banque pour lui consentir un prêt aux fins de rembourser sa dette à l’égard d’AT. Lorsqu’on sait sur quelles bases sont octroyés la majorité des prêts bancaires dans notre pays, on ne peut qu’être frappé de stupéfaction devant l’apathie et l’indifférence des banques à l’égard de la situation du provider. Maintenant, si tous les projets que l’Eepad se targue de pouvoir mener à bien ne sont qu’un écran de fumée, il appartient aux autorités compétentes de le dire clairement et d’en tirer toutes les conséquences; de la sorte, personne ne sera tenté de débusquer quelque arrière-pensée dans l’esprit de nos décideurs et AT sera pleinement justifiée à vouloir récupérer immédiatement sa créance. Dans cette affaire comme dans toutes les autres, seul compte l’intérêt du pays et celui de ses citoyens. Personne ne souhaite politiser un litige commercial. A notre modeste connaissance et dans l’ignorance de tous les éléments du dossier, la solution qui serait à la fois conforme aux intérêts d’AT (détenteur d’une créance certaine et incontestable), de l’Eepad (à travers également ses 1800 agents qui ont largement contribué au succès de leur entreprise) et de l’Etat, serait d’encourager la banque du provider à lui consentir, à ses propres conditions, un prêt lui permettant de rembourser sa dette à AT. Ce serait le plus cinglant désaveu infligé à ceux qui n’ont de cesse de politiser ce litige commercial. (*) Professeur de droit alimebroukine@yahoo.com Source http://www.lexpressiondz.com/article/8/2009-11-15/69642.html
  4. La situation se complique chaque jour davantage pour l’établissement d’enseignement professionnel à distance (Eepad). Alors que l’opérateur privé rencontre des difficultés pour le paiement de ses créances auprès de l’opérateur historique, Algérie Telecom, c’est au tour de sa filiale Mobile, ATM Mobilis, de réclamer 287 millions de dinars à l’Eepad. (Par Maroua T) ntervenant lundi dernier en marge d’un séminaire international sur la télévision numérique terrestre (TNT) à Alger, M. Moussa Benhamadi, P-DG d’Algérie Télécom a annoncé que sa filiale mobile ATM Mobilis, réclame 287 millions de dinars à Eepad. Il s’agit selon le même interlocuteur de créances pour le lien d’interconnexion "Voix sur Internet Protocol (VOIP)". Depuis le lancement de la VOIP par Eepad, Mobilis permet à cet opérateur d’acheminer les appels internationaux vers les abonnés Mobilis. "Eepad achète chez nous le droit de transférer les communications de ses partenaires étrangers vers nos abonnés. Eepad fait également la même opération avec les deux autres opérateurs de la téléphonie mobile: Djezzy et Nedjma", précise une source proche de Mobilis. Selon la même source, le provider d’accès à Internet, Eepad " a toujours payé ses factures jusqu’à fin 2008 ". Notre source ajoute que " cette somme représente un service auquel Eepad n’a plus droit depuis mai 2009 ". Dans ce cadre, Mobilis aurait mis en copie l’autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT) à deux reprises avant de procéder à la coupure du service d'interconnexion à l’Eepad, indique la même source. "Nous avons prévenu l'ARPT comme le stipule la loi". La filiale mobile d’Algérie Télécom aurait également établi un échéancier à l’Eepad pour le paiement de ses créances, une solution qui a été "bafouée" par cet opérateur. Pour rappel, l’Eepad offre la VOIP depuis 2006. À travers ce service, le provider a révolutionné le marché de l’Internet en Algérie, et celui de la VOIP (la voix sur IP) en particulier. Il a, à ce sujet, signé plusieurs contrats avec des opérateurs étrangers à l’image de Neuf Cegetel et Orange permettant, ainsi, la gratuité des communications téléphoniques via Internet entre l’Algérie et la France. SOURCE http://www.mobilealgerie.com/modules.php?name=News&file=article&sid=1795
  5. La face cachée de l’Eepad… Voici la vérité vraie sur comment l’Eepad a grimpé au sommet avant de descendre aux abîmes en laissant des dizaines de milliers d’abonnés et des centaines de travailleurs (comme moi) sur le carreau. Au départ une belle histoire. Au début des années 2000, le propriétaire de Eepad M.Harzallah découvre que Algérie Télécom (AT) réfléchit à introduire l’ADSL après qu’elle avait acheté des équipements Alcatel restés depuis dans les cartons. Il saisit l’idée et obtient l’information qu’un fournisseur ayant une société familiale à Blida avait importé ce qu’on appelle des DSLAM qu’on met dans les centrales téléphoniques, et qui sont des équipements qu’on relie sur Internet d’un côté et de l’autre côté on les connecte à la pair de fil téléphonique d’un abonné pour pouvoir le connecter à Internet à une très grande vitesse. Avec le concours de ses ingénieurs, Harzallah teste l’équipement dans ses locaux et ça marche. Moment historique dans la boite, la connexion ADSL marche pour la première fois en Algérie, juste après il commence à démarcher les patrons de Algérie Télécom qui ne demandaient pas tant. Le plan de Harzallah est déclenché, il arrive naturellement à les convaincre de lui ouvrir toutes les centrales téléphoniques pour qu’il installe ses DSLAM , en leur miroitant les dividendes et le retombées sur le fait que grâce à Algérie Télécom l’Algérie rentre dans l’air de l’ADSL, à l’instar des pays développés… Depuis l’aventure commence réellement, et surtout Harzallah annonce tout au début au journal de 20 heure que l’Eepad lance officiellement l’ADSL en Algérie et qu’il va y avoir un million d’abonnés dans les 3 mois qui suivent . Le lendemain c’est le rush aux locaux commerciaux de Eepad, tout le monde cherchant à avoir l’ADSL alors qu’à cette époque aucun DSLAM n’est installé, hormis celui de qui relie le bureau du PDG d’Algérie Télécom et de ses collaborateurs . Le déploiement des DSLAM est lancé, et l’ADSL commençait à être vendu petit à petit à travers tout le pays, mais les conditions commerciales n’avaient jamais été claires entre Eepad et Algérie Télécom, les responsables de cette dernière étant complètement dépassés par les événements et personne n’était compétent pour pouvoir définir le business plan gagnant -gagnant qui fera rentrer l’argent aux deux partenaires équitablement, comme c’est le cas chez tous les opérateurs dans le monde. L’essentiel à cette époque était qu’en Algérie on vend l’ADSL, le reste on verra après . Aussi, à la même période le régulateur était à côté de la plaque (il l’est toujours ) rien n’était prévu, aucune législation, aucune mise en place de vente de licences comme ça était fait pour le mobile, aucune loi sur le dégroupage (dispositif législatif qui régulait la mise à la disposition à l’attention d’un provider, la pair téléphonique de l’abonné…) rien de tout cela, c’était le far-west au point où Harzallah arriva à convaincre AT de partager les revenus par la vente des abonnements Eepad dans les ACTEL et sans que l’Eepad déclare les ventes qu’elle a effectuées à AT. A ce moment, vu l’ampleur des événements, des soupçons de corruption ou d’appui externe commençaient à planer sur le fait que l’Eepad était incontrôlable étant donné qu’elle avait accès à toutes les centrales téléphoniques qu’elle voulait , en commençant bien entendu par les centrales les plus lucratives, et ne déclarait pas ses revenues , d’autant qu’à cette époque Harzallah était comme chez lui chez Algérie Télécom : il se permettait même le luxe de s’immiscer dans les conflits internes de AT et tentait de les régler en faveur de ses pions ou d’influencer les décisions en faveur de ceux qui lui faisait la cour, comme il interférait auprès de cette dernière pour régler toute sorte de problèmes qui concernaient les autres providers à l’agonie qui le sollicitaient. Il était comme un coq en pâte, il régnait sur la boite la plus innovante en matière de technologie en Algérie, il se permettait même le luxe d’aider AT dans la gestion d’événement où l’apport en technologie était nécessaire. L’exemple le plus frappant était la tenue du sommet arabe d’Alger en 2004 où Eepad a fourni et installé gratuitement des bornes Internet au palais des nations et aux salons d’honneur de l’aéroport, où les délégations pouvaient pendant les pauses surfer sur Internet et « admirer » l’avancée technologique de l’Algérie … En fait Harzallah jouait au pompier àchaque fois que la maison AT commençait à prendre feu, sa stratégie était d’ « aider le pays » dans les moments difficiles en espérant avoir l’immunité pour exploiter à loisir les équipement du réseau de AT pour vendre son ADSL. Le coup de maître de Harzallah était le fait d’avoir réussi à faire venir le Président de la République inaugurer son usine fictive d’ordinateur de Annaba qui ne produisait rien du tout à l’époque et qui était censée produire –au gré des conférences de presse de Harzallah- tantôt des modems tantôt des DSLAM tantôt des ordinateurs portables (je ne suis pas sûre si elle produit quelques choses aujourd’hui ) Qu’à ce la ne tienne, AT se réveilla , les raisons du réveil tardif sont inconnues: est-ce que Harzallah n’arrivait pas à arroser les bonnes personnes ? Est- ce que les personnes qui ne bénéficiaient pas des largesses de Harzallah au départ (s’il y avait largesses ) ont pris le pouvoir ? Est ce que les autorités ont secoué AT histoire de ne pas laisser le monopole ADSL à Harzallah ? En tout cas , la première phase de la contre-attaque est que AT décide de lancer son propre ADSL (Fawri puis Easy). Ayant vu comment Harzallah travaillait, AT a compris le principe et faisait du copié-collé. Puis vient la phase deux, AT décide de rompre le contrat commercial qui consistait à partager les revenues et somme l’Eepad à payer ….. la transmission Pour comprendre le problème du non payement de Eepad, une explication un peu technique s’impose ici : en fait le fameux DSLAM qui se trouve dans la centrale téléphonique est relié à Internet via une ligne spécialisée (la transmission). Cette ligne spécialisée peut être de 2Mega, 4Mega , 63 Mega….. et le prix imposé par AT à cette fameuse ligne spécialisée est parmi le plus cher au monde : elle coûte des centaines de milliers de dinars par mois pour une 2megas, un prix scandaleux qui n’obéit à aucune logique économique. Ce prix est 100 moins cher en Tunisie ou au Maroc ou ailleurs. Aussi, ce prix est un vrai frein au développement des TIC en Algérie, car à cause de ce prix les call center n’ont pu se développer en Algérie, à cause de ce prix les banques ne peuvent se connecter entre elles, à cause de ce prix les opérateurs mobiles ont dû déployer leur propres liaisons spécialisées pour connecter par exemple Alger et Constantine. Ils passaientt par AT au départ qui facturait des milliards de centime par mois … En plus du prix, AT compte aussi la distance entre le DSLAM et l’équipement de l’autre côté qui sort vers Internet. Enfin AT ne garantissait pas la qualité de service nécessaire en terme de temps de rétablissement des coupures, des liaisons restaient coupé des heures et des heures voire des journées entières. Bref en plus du prix prohibitif de la liaison spécialisée, la qualité de service n’était pas au rendez-vous. Donc le vent commença à tourner, l’Eepad devait tout simplement payer, mais comme le prix des liaisons était prohibitif, l’Eepad vendait tout simplement à perte …. ni plus ni moins. De plus, l’Eepad devait louer des liaisons en fibre optique de grande capacité pour assurer des services tel que TV sur ADSL , téléphonie sur Internet …etc , ce qui veut dire des lignes encore plus chères…qu’elle ne payait pas avant. En réalité , Harzallah comptait sur son agitation –entre autres- pour s’ériger en bienfaiteur de l’Algérie en terme de technologie . Il voulait se faire passer pour un précurseur en matière de technologie en espérant que tout le monde le laisse faire,. En fait, si l’innovation était au rendez-vous à l’Eepad, la rentabilité, elle, était impossible à cause du prix de ces fameuses lignes spécialisées. S’il y avait rentabilité d’autres opérateurs privés seraient présent ssur le marché. Ça n’a jamais était le cas. Harzallah faisait tout pour que personne ne le dérange dans ce petit business, il a soutenu les plus forts, il a mangé à tous les râteliers, il a exprimé son soutien au président lors des dernière élections en détournant http://www.google.dz vers un site de Bo*****ika – il a osé le faire- il a voulu acculer tout le monde en déployant l’ADSL jusqu’au fin fond du sud…. Mais hélas pour lui ça n’a pas marché, il se retrouve avec des dettes faramineuses, sommé de les payer. Quelles sont les raisons de ce revirement ? Est-ce une opération main propre ? est-ce que Harzallah a perdu ses appuis ? Est ce que AT veut reprendre le monopole ? L’avenir peut être ne nous le dira. Abou Majda http://www.algerie-focus.com/2009/11/11/la-face-cahee-de-leepad/
  6. km22

    EEPAD - Vos avis

    M. Bessalah : « Nous souhaitons réhabiliter les fournisseurs d’accès à l’Internet » Lors d’une conférence de presse organisée en marge du WorkShop IPV 6, Hamid Bessalah, ministre de la Poste et des Technologies de l’Information et de la Communication, est revenu sur le conflit qui oppose l’Eepad à Algérie Télécom, en déclarant que « c’est d’ordre purement commercial. Nous avons des propositions, et des discussions sont entamées actuellement en vue de trouver une solution à ce problème. Nous souhaitons que l’Eepad reste active sur le terrain de l’Internet et surtout pour la fourniture de services à valeur ajoutée. » La dernière proposition de Nouar Harzallah, DG de l’Eepad, était de n’activer que sur 5 wilayas. Pour le ministre, « il y a en tout 580 000 abonnés à l’Internet en Algérie, il reste à peu près 1 % des abonnés de l’Eepad qui ne sont pas connectés. Ces 1 % peuvent trouver une solution, soit ils décident d’attendre, soit ils migrent vers d’autres opérateurs. » Il reviendra avec force en disant que « nous désirons réhabiliter les providers, car nous avons pour ambition d’aller vers 6 millions d’abonnés à l’Internet à haut débit d’ici 2013 ». Selon une étude sur les coûts entrants d’un provider, plus de 50 % du prix de la bande passante est en local. Désuet et dispendieux, car « le prix fort » pour la bande passante nationale fait entrer beaucoup d’argent pour Algérie Télécom, mais pourrait à terme avoir un prix économique et social important pour l’Algérie. Offert à des prix démesurément élevés, le réseau algérien affiche certainement, à l’échelle internationale, son exception technologique. Exception facile à comprendre, estiment les experts Telcos, qui évoquent, à juste titre, un nombre limité de consommateurs sur un territoire vaste où les infrastructures sont généralement, en raison des distances, beaucoup plus chères à gérer. « La taille du marché, c’est une chose », nous dit Karim Abdelmoula, directeur de OnMarket, en ajoutant qu’« en conséquence, il y a aussi moins de concurrence. C’est aussi simple que ça. Or, je ne suis pas sûr que c’est une bonne chose pour développer une économie numérique. » Un doute ? Avec plus de 60 demandes d’ISP, seuls 4 ou 5 activent sur le terrain. La lourdeur des prix a arrêté les plus téméraires, mais pour le moment, c’est le consommateur qui règle la facture. Post Scriptum : Les ISP seront tenus de développer du contenu En marge du colloque IPv6, l’AAFSI et Algérie Télécom ont signé une convention-cadre qui permet aux ISP de continuer à exercer, mais dans une autre activité. L’ISP n’aura pas à investir sur l’infrastructure, puisqu’Algérie Télécom la mettra à sa disposition, à charge pour l’ISP de reverser entre 65 à 75 % de son chiffre d’affaires. Autre chose, les ISP sont tenus de développer le contenu et la valeur ajoutée sur les offres. Avec cette nouvelle convention, on s’achemine tout doucement vers la scission entre les ISP, qui développeront leurs infrastructures, et les Web Agency qui utiliseront l’infrastructure pour développer des sites Web et permettre la création de contenu. D’ailleurs dans ce cadre, Moussa Benhammadi, PDG d’Algérie Télécom, déclarera que « cette convention n’est pas pour tous les ISP, elle est destinée pour ceux qui veulent se lancer sans investir sur l’infrastructure ». Pour Mebarek Boukaaba, qui a signé pour le compte de l’AAFSI : « Cette convention va permettre de libérer les ISP des contraintes et d’aller à l’essentiel. » http://www.itmag-dz.com/spip.php?article1238
  7. km22

    EEPAD - Vos avis

    eepad sidi bel abbes toujours ouvert
  8. km22

    EEPAD - Vos avis

    Bensalah à Boumerdès : «Le différend commercial ne concerne que l’Eepad et Algérie Télécom» C’est en ces termes que le ministre de la Poste et des NTIC, M. Bensalah, lors de sa visite à Boumerdès a répondu à une question relative à la saisine de la justice par son département. Bien plus, le ministre par cette précision a tenu à répondre pour la dernière fois à cette question. Ainsi, le ministère de l’aveu de son premier responsable, ne compte pas s’immiscer dans les pourparlers que mènent actuellement le directeur de l’Eepad avec le P-DG de Télécom Algérie. Par ailleurs, une autre source fait état de l’avancée dans les négociations au point que M. Harzallah, DG de l’Eepad aurait envoyé un SMS à ses abonnés pour les assurer sur la reprise prochaine des connexions, M. Bensalah, ministre du secteur des télécom et de la poste était en visite à Boumerddès où il a présidé une importante réunion-bilan avec les cadres de son secteur. Réunion au cours de laquelle il a décidé la réouverture de 7 bureaux de poste fermés pour des raisons sécuritaires et ce, à partir de février 2010. Une enveloppe de 1,2 milliard de DA a été ainsi dégagée pour couvrir la réalisation de nouveaux bureaux de poste à l’échelle nationale pour 8 localités. Il est également question de 40 000 chéquiers/jour à partir de la semaine prochaine grâce à la réception de nouvelles machines. Il est prévu aussi de parvenir à 7,5 millions de cartes magnétiques. Le ministre a donné instruction pour équilibrer les charges entre les guichets et de promouvoir la carte CIB tout comme l’amélioration de l’accueil. Enfin, le ministre a visité plusieurs infrastructures de son secteur et le Cerist qui est un centre de bureaux d’études et de services informatiques. La délégation ministérielle a ensuite visité une entreprise privée IT Algérie spécialisée dans le domaine des NTIC. Sadek 05-11-2009 http://www.lanouvellerepublique.com/actualite/lire.php?ida=82592&idc=4&date_insert=20091105 La Source
  9. km22

    EEPAD - Vos avis

    vidéo n°2 eepad http://www.youtube.com/watch?v=qkj4o-9kOsQ
  10. vidéo http://www.youtube.com/watch?v=UcRQrH7BJ6w
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