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probléme de clé publique


red-kaboul

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salam

 

en essayant de d'installé jahshaka j'ai fait des MAJ sur le gestionnaire des MAJ et j'ai ce message d'erreur

 

W: GPG error: http://ppa.launchpad.net hardy Release: Les signatures suivantes n'ont pas pu être vérifiées car la clé publique n'est pas disponible*: NO_PUBKEY 60D11217247D1CFF

W: GPG error: http://ppa.launchpad.net hardy Release: Les signatures suivantes n'ont pas pu être vérifiées car la clé publique n'est pas disponible*: NO_PUBKEY 6AF0E1940624A220

W: GPG error: http://download.virtualbox.org hardy Release: Les signatures suivantes n'ont pas pu être vérifiées car la clé publique n'est pas disponible*: NO_PUBKEY DCF9F87B6DFBCBAE

 

 

probléme de clé public ,,,,,,,,

 

et aussi j'ai des fichier cassé sur le synaptic quelq'un a une solutiona ça merciiiiiii

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Salut Red-Kaboul,

 

Je vois que tu as un soucis non pas avec une seule clé publique d'un seul dépôt mais avec 3 clés publiques de 3 dépôts.

 

http://ppa.launchpad.net hardy Release: [b]60D11217247D1CFF[/b]
http://ppa.launchpad.net hardy Release: [b]6AF0E1940624A220[/b]
http://download.virtualbox.org hardy Release: [b]DCF9F87B6DFBCBAE[/b]

SLKC t'a donné un lien vers un article que j'ai rédigé et qui résout ce problème.

 

Ce que j'aimerais que tu fasse, c'est de suivre le tuto en question et essayer de corriger clé par clé et nous poster le résultat ici sinon tu n'arriveras à rien régler.

 

Est ce que tu as pu déjà réglé le problème avec les clés publiques ?

 

j'ai pas vraiment réglé le probléme ya ce message aussi ...

 

Ensuite, nous nous occuperons de :

 

olib-ffmpeg
olib-mlt
olib-mlt++
openlibraries-media 

Fait nous un copier/coller ou mieux des captures d'images.

Salam

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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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