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La télévision mobile au cœur d’une rencontre arabe


Invité salimdz

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Invité salimdz

Prévu à Tunis

La télévision mobile au cœur d’une rencontre arabe

30 avril 2009

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La situation et les perspectives de développement de la télévision mobile dans le monde arabe constituera le thème d'une rencontre que projette d'organiser, les 29 et 30 avril à Tunis, l'union des radios et télévisions arabes (ASBU) avec le concours de l'organisation arabe des technologies de l'information et de la communication (AITCO). (Par Maroua T)

 

La rencontre, qui rassemblera des spécialistes des télévisions et de la communication ainsi que les exploitants de réseaux de téléphonie mobile dans le monde arabe, permettra d'exposer les innovations en matière de télévision mobile, fruit d'une intégration technologique entre le monde de l'information et celui des TIC, ainsi que le cadre organisationnel devant la régir, indique l'ASBU sur son site internet.

 

Les communications programmées devront s'articuler autour des systèmes, des normes et fréquences d'émissions, des équipements de téléphonie mobile et des couvertures réseaux, des expériences d'opérateurs et diffuseurs aux plans arabe et international, le cadre organisationnel et la situation du marché, ainsi que les modèles économiques et le succès de la télévision mobile.

 

Une table ronde sur ''l'introduction de la télévision mobile dans la région arabe'' est également inscrite au programme. La rencontre sera précédée par la réunion annuelle du groupe de travail ingénierie ''B'' relevant de l'ASBU, consacrée à la diffusion radiotélévisée, avec la participation des responsables de la planification, de la diffusion et des fréquences.

 

source : http://www.mobilealgerie.com/modules.php?name=News&file=article&sid=1483

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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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