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AT:100 millions de dollars pour la pub


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Algérie Télécom : un monopole qui dépense 100 millions de dollars en publicité

 

Par samir allam , le 22/07/2009

 

Entre 2007 et 2008, Algérie Télécom a dépensé 100 millions de dollars (7 milliards de dinars) en campagnes de publicité pour vanter ses produits et services dans le fixe et l'Internet. Des sommes qui n'ont pas été réglées à l'ANEP, la régie publicitaire publique. L'opérateur historique est en effet confronté à une situation financière difficile et le paiement des créances liées à la publicité sont loin de constituer une priorité pour son management surtout que ces dépenses ont été engagées par ses prédécesseurs.

 

Certes, dans un univers concurrentiel comme les télécommunications, il est tout à fait normal qu'une entreprise communique pour faire connaître ses produits. Les opérateurs mobiles Mobilis, Nedjma et Djezzy le font, avec des budgets importants. Personne n'osera contester ces dépenses : la publicité et la qualité de service constituent des dépenses sur lesquelles les opérateurs mobiles peuvent difficilement faire des économies au risque de perdre des parts de marché.

 

Mais dans le cas d'Algérie, ces dépenses publicitaires sont tout simplement injustifiées, voire scandaleuses.

 

Pourquoi? Algérie Télécom est l'unique opérateur de téléphonie fixe en Algérie, surtout après la dissolution de Lacom. Il possède un monopole totale dans ce secteur. Et les Algériens le savent : en plus de la mauvaise qualité de service dans le fixe et l'Internet - absence d'une continuité de service-, avoir une ligne téléphonique ou ADSL n'est pas une chose facile. Ces deux "produits" sont difficile à trouver. Il est inutile de parler de l'absence totale de la téléphonie fixe dans les zones rurales.

 

Pourquoi alors dépenser 100 millions de dollars pour faire connaître des produits pour lesquels il existe une très forte demande à laquelle l'opérateur peine déjà à répondre correctement? Les anciens managers d'Algérie Télécom ont sans doute la réponse à cette question. Mais cette affaire illustre la dilapidation des biens publics par des « managers » sans scrupules aux compétences douteuses.

http://www.tsa-algerie.com/Algerie-Telecom---un-monopole-qui-depense-100-millions-de-do_7510.html

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salut, je pense s'il on dépense cette somme dans l'amélioration de leur service elle à fait plus de pub

 

oui c'est clair s'ils ont investi dans l'amélioration du service les gens auront parlé et ils auront leur propre pub toute faite par le public mais là ils ont perdu de l'argent en plus ils ont mauvaise réputation !

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je pense que c'est abusé de dire que AT a déboursé 100 million de dollars pour la pub en plus c'est vous faite le calcule 100 million de dollars ne font pas 7 milliards de dinars corriger moi si je me trompe !

 

Non tu as taure , 100 Millions de dollars est équivalent à 7 Milliards

voici les chiffres éxactent :

100,000,000.00 USD=7,174,951,694.82 DZD

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Il y a beaucoup à dire sur ce sujet. La somme est exagérée, celui qui à le monopole n'a pas besoin de faire autant de pub (Normalement on appelle ça; le marketing passif, du moment qu'il n'y a pas de concurrence), ils s'en mettent plein la poche, bla bla bla...à ne pas en finir.

Mais, personnellement je pense que ce sujet est tellement compliqué pour nous et surtout pour TSA (Je commence à ne plus leur faire confiance), qu'il doit être abordé avec le Directeur Marketing d'AT lui même. Car c'est le seul à pouvoir donner des explications précises et fondées surtout.

 

Et puis pour la pub, il existe des formules à appliquer de telle sorte que l'entreprise sache combien d'argent elle doit dépenser pour que sa pub ne lui coute pas trop cher et fait rentrer autant d'argent que possible. C'est de la science maintenant.

 

Enfin j'espère que la département Marketing d'AT est au courant des ces pratiques.

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Salem,

Il y a beaucoup à dire sur ce sujet. La somme est exagérée, celui qui à le monopole n'a pas besoin de faire autant de pub (Normalement on appelle ça; le marketing passif, du moment qu'il n'y a pas de concurrence), ils s'en mettent plein la poche, bla bla bla...à ne pas en finir

 

Une entreprise qui a le monopole dans un pays, pour exemple EDF en France peut se permettre de faire de la PUB en France pour plusieurs buts: Influer sur la bourse et attirer des investisseurs/actionnaires, influer sur l'audience extérieure et ainsi viser d'autres marchés à l'étranger, .......et la liste est longue. Mais pour Algérie Telecom c'est pas valable car elle n'a ni l'ambition ni les moyens de faire de même donc je ne comprends pas pourquoi tout ce bruit et toutes ces dépenses :confused: ICI en Algérie, le bouche à oreille marche mieux qu'une compagne à 100 Millions de $, s'ils avaient investi cette somme dans l'amélioration de son réseau ou même le déploiement d'un Cable FO sous la mer, ça aurait fait plus d'effet et attiré la sympathie de ces présents et futurs clients.

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  • Modérateurs

Sérieux les gars, AT doit arrêté toutes formes de pub, la compagne "AT, le Bon choix" ayant démarré avec l'avènement du deuxième opérateur du téléphone fixe, feue LACOM.

De plus depuis la baisse du prix de l'accès à l'ADSL, un certain 20 avril, AT a connu le rush des usagers et le dysfonctionnement de son réseau que l'on a tous subi.

AT, à mon humble avis, doit cesser de se faire la pub et dégager les ressources à l'amélioration des services offerts à la clientèle.

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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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