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Plus de 40 entreprises et organismes au rendez-vous


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La 4ème édition du Salon du recrutement "Jincent 2010" a débuté hier à l'Office Riadh El Feth à Alger, en partenariat avec l'institut William Davidson de l'Université de Michigan (USA) ainsi que le soutien de l'opérateur de téléphonie mobile "Nedjma", qui est le sponsor officiel de cet événement qui durera trois jours, jusqu'au 21 du mois courant.

En effet, ce salon a été inauguré par le Directeur général de l'Ecole des hautes études commerciales (HEC) d'Alger et le Directeur du Centre de carrière de cette même école. Ceci dit, ils ont tracé un programme très riche pour ces trois journées consécutives et qui comprend la présentation des différents sponsors, des entreprises et organismes qui sont présents au salon. Effectivement, plus de 1000 visiteurs et 40 entreprises et organismes publics y ont pris part, en l'occurrence Algérie Télécom qui est une société par actions ayant pour objectif de réaliser plus de rentabilité avec une efficacité absolue et améliorer ainsi sa qualité de service. Ajoutant à cela son ambition, comme toute société, d'avoir un niveau élevé de performance technique, économique et sociale. l'Agence nationale de l'emploi (Anem) est aussi au rendez-vous elle est placée sous la tutelle du ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale ; le but de sa participation est de* recruter des jeunes diplômés à la recherche d'un emploi, elle est chargée, en outre, de suivre, dans le cadre de la législation et de réglementation relatives à l'emploi, des étrangers en Algérie, d'organiser et de gérer le fichier national des travailleurs étrangers. En plus, il y a d'autres recruteurs comme Cevital, le Groupe Biopharm, Ceviagro, Cevico, Samha, Danone Algérie, Degrémont, Emploi Partner, l'Ecole supérieure algérienne des affaires, Hamoud Boualem, Henkel Algérie et autres. Pour rappel, ce salon a accueilli des universitaires de différents profils notamment des managers, des commerciaux, des mécaniciens, des architectes qui sont à la recherche d'un emploi ou d'un stage. Sur ce, un centre d'accueil et un stand sont destinés aux entretiens d'embauche qui sont mis en place directement, et ce pour mieux orienter les nouveaux diplômés à la recherche d'opportunités de travail. En outre, des conférences et des ateliers autour de l'emploi, des ressources humaines et méthodologies de recrutement sont prévus au programme. A titre de rappel, la 3ème édition organisée au Palais de la culture à Alger, a vu défiler 6000 visiteurs. Selon M. Belkhiri, les entreprises présentes ont pu opérer des recrutements dont le nombre s'élevait à 2000. Par ailleurs, M. Belkhiri a beaucoup insisté sur la nécessité de créer d'autres centres de carrières au niveau régional. Ceci dit, il a tenu à souligner que l'Algérie a grandement besoin de ce genre de structures. Outre celui de l'INC de Ben Aknoun (Alger), un autre centre des carrières a été créé à Constantine.

 

 

 

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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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