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Algérie/drogue: un fils de ministre inculpé


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Le fils du ministre algérien de la Justice, Tayeb Belaïz, a été récemment inculpé pour trafic de drogue et blanchiment d'argent et placé sous contrôle judiciaire, a affirmé aujourd'hui le quotidien El Watan citant des sources proches du dossier.

 

Aucun responsable du ministère contacté par l'AFP n'a pu être joint pour confirmer ou infirmer ces informations.

 

Le fils du ministre "aurait été cité par un trafiquant de drogue arrêté par les services de sécurité" dans la région d'Oran, dans l'ouest du pays, qui "aurait révélé que l'argent de la drogue transitait par le compte du fils du ministre avant d'être blanchi dans des opérations d'achats de biens immobiliers, fonciers et autres", écrit El Watan.

 

Une vérification des comptes bancaires du fils du ministre auraient mis au jour "des sommes extrêmement importantes" dont il n'a pu justifier l'origine, ajoute le journal.

 

Source

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Affaire Belaiz : le procureur général d'Oran dément

AFP

 

Le procureur général d'Oran a formellement démenti lundi toute implication du fils du ministre de la Justice dans une affaire de trafic de drogue, dans un communiqué parvenu à l'AFP. "Le procureur général près la Cour d'Oran dément formellement toute inculpation ou poursuite judiciaire à l'encontre du fils du ministre de la Justice", précise le communiqué.

 

Dans son édition de ce matin, le quotidien El Watan avait affirmé que le fils du ministre de la Justice avait été récemment inculpé pour notamment trafic de drogue et blanchiment d'argent et placé sous contrôle judiciaire. Le haut magistrat "confirme qu'en aucun cas le nom du fils du ministre de la Justice (...) n'a fait l'objet ni de près ni de loin d'une implication ou de poursuite judiciaire". "Il s'agit dans le cas d'espèce d'un homonyme", ajoute le communiqué, "un nommé Belaïz D (...) poursuivi et détenu depuis le 1er septembre 2009 pour des infractions liées au trafic de drogue", indique encore le procureur général.

source

 

TSA, après avoir relayé cette information parue dans El Watan, puis l'a infirmé en donnant une autre version:

 

Le contrôle judiciaire du fils du ministre de la Justice concerne l'enquête sur la corruption à Sonatrach

Sonia Lyes

 

Le fils du ministre de la Justice a été placé sous contrôle judiciaire par le tribunal d’Oran dans le cadre de l’enquête menée depuis plusieurs mois par le DRS sur la corruption au sein de Sonatrach, a appris TSA de source sûre. Il a été arrêté il y a quinze jours et maintenu en garde à vue durant 24 heures avant d’être déféré au parquet d’Oran qui l’a placé sous contrôle judiciaire.

 

source

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c'est une bonne nouvelle, j'espere que c'est vrai et que les choses changent un peux dans ce pays.

 

Une bonne nouvelle ?!!

Pas vraiment, je pense, au contraire, que ça présage le pire encore, la délinquance est de plus en plus présente, forte, impunie, …………… , et puis même si c’est vrai, cette inculpation n’implique aucunement son jugement et sa condamnation , il est le fils du ministre ( de la justice !!! ), vous croyez sincèrement qu’il ira en prison ?!!!!!!

Sans pessimisme aucun, je dirais plutôt que cette info traduirait une fois de plus ( si elle est vraie ) qu’il n’y plus aucune justice fiable dans notre pays, et que nous, évidement , continuons à l’accepter

Ce genre de ‘’ rêves ‘’ sont peut être encore possible mais pas dans ce bled .......

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j'espérais que du moins la partie impunie change, mais Ce n'est probablement qu'un rêve.

 

Bah, ça relève de plus en plus de l’utopie ici, surtout dans la mesure où ceux qui la fortifie, sont ceux la même qui devrait la juger, condamner et punir :

Délinquance impunie délinquance plus forte

Le cercle vicieux par définition !!

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    • Enfin le superadmin ... Enfin tous les option  Je pense que le nom d'utilisateur et mot de passe de la connexion est le numéro de téléphone du fix avancé par 3 lettres et la même chose pour mp c'est ce que j'ai trouvé.. Je bidouille mais sans internet il mon installé le modem sans signal los mais le fix marche bizarre le technicien ma dit d'attendre 1 heure mais après 5 heure y'a rien j'ai appelé le 12 il mon dit que si elle ne serait pas activé par votre agence alors demain en va l'activé mais moi j'ai un doute lui même a appelé le 12 il ont dit que le signale ne pas stable alors m'a dit que peut être il ya du la poussière il a sifflet un peut dans le trou de la boîte 🤣🤣 moi ma conclusion c'est du bricolage tous ca je vais le contacté dimanche avant que ligne soit rétabli sinon je vais resté avec une connection de batata ellah yej3al el khir  
    • @youcef17fr c'est où ? Donc de nouveaux conteneurs arrivent de Chine contenant les équipements fibre optique (PBO , ONT , ...ect) après la crise maritime en mer Rouge.
    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
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