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Trouver un ... "fennec"?


el-farouk

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Salam,

 

Après ma recherche (sans succès) du chat de somali, me voilà chercher à trouver un fennec (Vulpes zelda).

 

Alors, j'ai trouvé un à ouedkniss (4000da) mais c'est loin de chez moi, je cherche plutot dans la région est!

 

En tout cas, je vous laisse découvrir cet adorable animal: http://fr.wikipedia.org/wiki/Fennec

 

Raisons:

 

1- le fennec existe en algérie, donc c'est facile de le trouver.

 

2- il parait qu'il est plus active que les chats.

 

3- il peut etre démestiquer.

 

4- c'est le symbol de notre EN. lol

 

5- d'autres animaux ne le derangent pas, au contraire, il aime jouer avec les chats et les chiens (wikipedia).

 

6- insectivore... en plus c'est un omnivore (pas d'exigences particulières).

 

PS: Je sais mourad, je suis fou! ne rigoles pas.

 

Edit: ça sera parfait si je trouve un couple de Fennecs pour que le/la fennec ne sent il/elle jamais seul(e)...

Modifié par el-farouk
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cst formellement interdit et tu risque une grande peine de prison. mon baux frere a jijel pour un singe il n a pris 3 ans. alors fait gaffz.

 

http://www.ouedkniss.com/annonce/divers/136538/Couple-de-jeune-fennec

 

http://www.ouedkniss.com/annonce/divers/138842/Fennec

 

Je sais seulement que c'est interdit de l'amener en dehors de l'algérie (europe) à cause du climat...

 

Sinon, c'est pas une éspèce protégée (wikipedia) car il est présent avec de grands nombres dans touts les pays ds Sahara.

 

A confirmer!

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http://www.ouedkniss.com/annonce/divers/136538/Couple-de-jeune-fennec

 

http://www.ouedkniss.com/annonce/divers/138842/Fennec

 

Je sais seulement que c'est interdit de l'amener en dehors de l'algérie (europe) à cause du climat...

 

Sinon, c'est pas une éspèce protégée (wikipedia) car il est présent avec de grands nombres dans touts les pays ds Sahara.

 

A confirmer!

 

Voila et y a des dizaine d autre articles sur ca sur le net

 

 

 

Une loi protège 23 espèces animales

La fin de l’impunité pour les braconniers

 

Les autorités algériennes ont enfin décidé de mettre le holà au massacre des espèces animales en voie de disparition dont se sont rendus coupables les émirs enturbannés du Golfe qui pratiquaient leur « sport » préféré dans le Sud algérien en toute impunité. En effet, l’Assemblée populaire nationale qui reprend aujourd’hui ses activités s’apprête à adopter l’ordonnance présidentielle n°06-05 du 15 juillet 2006 relative à la protection et à la préservation de certaines espèces animales menacées de disparition.

 

Ce texte fort attendu par l’opinion publique, qui assiste impuissante à l’équarrissage de son patrimoine faunique par les braconniers, établit une liste de 23 espèces réparties en trois classes. Ainsi, dans la classe des mammifères, l’ordonnance interdit et punit désormais la chasse du mouflon à manchettes, de la gazelle rouge, de la gazelle de l’Atlas, du fennec et du guépard entre autres. Dans la catégorie des oiseaux, le législateur a énuméré sept espèces protégées, dont la fameuse outarde, particulièrement prisée et ciblée par les émirs amateurs de la bonne chère. La chasse est dorénavant définitivement fermée pour l’outarde houbara, la grande outarde et l’outarde canepetière. La mesure vaut également pour la chasse de l’ibis chauve, le faucon pèlerin, l’érismature à tête blanche et le faucon crecerellette. L’ordonnance qui sera approuvée sans débat par les députés classe également la tortue grecque, le fouette-queue et le varan du désert dans la liste rouge. Dans l’exposé des motifs, il précisé que la raréfaction de ces espèces est telle que « seuls quelques spécimens » subsistent. Le législateur ne s’embarrasse pas de scrupule pour montrer du doigt les braconniers qui font « craindre la disparition de certaines espèces dans un délai très court ». Au-delà de ce danger d’extinction d’une race rare d’animaux, les autorités entendent via cette loi se mettre au niveau de la convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvage menacées (CITES) à laquelle l’Algérie a adhéré en 1982 et qui établit précisément trois niveaux de protection différents. L’ordonnance souligne que la liste des espèces ainsi répertoriées peut être modifiée par voie réglementaire. Aussi prévoit-elle la création d’une commission d’experts chargés d’examiner les mesures de protection particulières requises. Ce panel d’experts devrait par ailleurs procéder à la délimitation des aires où subsistent les espèces concernées en faisant ressortir les sites de reproduction et les sites de repos. Comme mesure dissuasive, les autorités prévoient des sanctions sévères « visant à décourager tout braconnage ». L’article 4 de l’ordonnance stipule expressément que « sans préjudice des dispositions législatives en vigueur, la chasse des animaux mentionnés sur la liste (Art.3) est interdite par tous les moyens ». Le législateur semble viser spécialement les émirs du Golfe par cette loi, puisqu’il y est précisé que « sont également interdits la capture, la détention, le transport, la naturalisation et la commercialisation d’animaux ou parties d’animaux d’espèces menacées de disparition ». Le législateur laisse cependant la porte entrouverte à la capture de ces espèces, s’agissant de la recherche scientifique, la reproduction, le repeuplement ou la détention par des établissements de présentation au public « selon des modalités fixées par voie réglementaire ». L’ordonnance institue également une commission nationale de protection des espèces animales menacées de disparition présidée par le ministre de l’Agriculture et composée d’experts de la faune sauvage. Celle-ci devra élaborer annuellement un rapport sur l’évolution des espèces menacées et leur habitat qu’elle transmet au ministre chargé de la chasse. Au chapitre des mesures coercitives, l’ordonnance souligne dans son article 9 que « toute infraction aux dispositions de l’article 4 (la chasse NDLR) est punie d’un emprisonnement d’un (1) an à trois (3) ans et d’une amende de deux cent mille dinars (200 000 DA) à cinq cent mille dinars (500 000 DA) ». Pis encore, en cas de récidive, les sanctions sont portées au double. La loi ne punit pas seulement ceux qui seraient reconnus coupables de chasse interdite, mais aussi « toute personne ayant permis, facilité, aidé ou contribué par quelque façon que ce soit à la chasse ou la capture, la détention, le transport et la commercialisation » des animaux visés dans l’article 3. Ces intermédiaires sont passibles d’un emprisonnement d’un (1) à deux (2) ans et d’une amende de cent mille dinars (100 000 DA) à trois cent mille dinars (300 000 DA). Là aussi, en cas de récidive, la peine passe du simple au double. C’est dire que les autorités ont décidé de sévir par la force de la loi pour stopper net la razzia des émirs du Golfe qui débarquaient avec tout leur attirail de guerre dans le Sud et les Hauts-Plateaux.

 

 

 

Par Hassan Moali

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N'importe quoi, le fennec n'est pas menacé! j'ai lu ça dans wikipedia (selon IUCN Red List).

 

Matefhem walou fi dizairrrr!

 

 

n'import quoi ? a3lache wikipedia c'est devenu une source ? n'import qui peut ecrir n'importe quoi sur wikipedia ! fait plus de recherche que ca et sois pas taghanante comm saadan :D

 

La gazelle, l?outarde, la tortue grecque, le fennec Ces espèces menacées de disparition?

 

by InfoSoir - 11/17/2006 "" Notre pays n'est pas du tout épargné par ce phénomène qui menace l'avenir de la planète, mais le plus inquiétant chez nous est que la question n'est pas du tout cernée. Il n'y a, en effet, que très peu d?études sur le sujet et nous ne savons pratiquement rien surles espèces disparues ou encore les régions les plus touchées par ce phénomène.Concrètement, 784 espèces animales et végétales ont disparu à jamais et 65 autres n?existent qu?en captivité ou en culture, selon le dernier rapport rendu public en mai dernier par l'Union internationale pour la conservation de la nature (Uicn). Ce fut le cas notamment du mammouth, du pigeon migrateur, du grand pingouin et du dodo, ce gros pigeon terrestre incapable de voler qui peuplait l?île Maurice. Si cet animal demeure le symbole des espèces disparues, le panda est, quant à lui, «l?emblème» des espèces menacées d?extinction, dont le nombre est estimé par l?Uicn à 16 119.Selon cette organisation, «un amphibien sur trois, un quart des espèces de conifères du monde, un oiseau sur huit et un mammifère sur quatre sont en péril». Des animaux très connus tels que l'ours blanc, l'hippopotame et les gazelles, des poissons d'eau douce et des fleurs méditerranéennes sont désormais sérieusement menacés d?extinction du fait de l?activité de l?homme.A ce propos, il y a lieu de souligner que le braconnage, la déforestation, la pollution et les changements climatiques sont les principaux facteurs de ces disparitions, qui peuvent s?avérer désastreuses pour l?écosystème, à croire certaines organisations écologiques qui soulignent que l?extinction des espèces animales et végétales qui va crescendo constitue une véritable menace pour notre planète !Selon un écologiste britannique, «si la tendance actuelle ne s?inverse pas, le monde perdra 55% de ses espèces d?ici à un siècle». Ce qui augure une véritable catastrophe écologique.Cela peut entraîner «une rupture plus ou moins importante dans la chaîne alimentaire et avoir un impact variable sur la survie des autres êtres vivants», ont prévenu d?autres chercheurs, qui ont mené une étude dans ce sens, l?année dernière, en Grande-Bretagne.Pour eux, la planète pourrait perdre jusqu'à 1/3 de ses espèces d'ici à 2050. «Nous sommes sur le point de connaître une crise majeure de la biodiversité», ont averti, pour leur part, 19 scientifiques de renommée mondiale dans une déclaration publiée dans la revue Nature en juillet dernier, tout en faisant remarquer que «l'érosion des habitats naturels et les effets du réchauffement climatique provoqués par l'activité humaine entraînent la disparition d'espèces animales et végétales à un rythme entre 100 et 1 000 fois plus rapide que la normale».K. I.

 

sOURCE INFOSOIRE

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C'est pas wikipedia la source... mais c'est plutôt IUCN Red List... même le journal "Nature" qui est -tout simplement- le plus grand ouvrage scientifique au monde a annoncé des aveux favorables vis à vis cette classification.

Modifié par el-farouk
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N'importe quoi, le fennec n'est pas menacé! j'ai lu ça dans wikipedia (selon IUCN Red List).

 

Matefhem walou fi dizairrrr!

 

Heureusement qu'il n'est pas menacé d'extinction...on protège justement une espèce endémique pour:

- Que la dite espèce ne soit pas sujette à commerce d'où le risque de menace d'extinction.

- Que l'équilibre faunistique soit assuré (ex: moins de fennecs, plus de souris..., moins de fennecs, moins de faucons...).

- Que l'attraction du dit animal ne puisse pas profiter à d'autres...( c'est un emblème national...au même titre que le bouquetin, et le singe magot).

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Laisser le petit animal tranquille yarham waldikoum!

 

Lol personne ne veut manger le fennec...

 

Et oui, c'est un animal sauvage, mais peut être facilement domestiquer.

 

Et il n'est pas en voie d'extinction.

 

Et il existe dans tout le Sahara (de la Mauritanie à l'egypte et le soudan, et même en Asie jusqu'au Koweït)

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Lol personne ne veut manger le fennec...

 

Et oui, c'est un animal sauvage, mais peut être facilement domestiquer.

 

Et il n'est pas en voie d'extinction.

 

elWatan.png

arton117231-b21cb.jpg Un arsenal juridique protège les espèces animales en voie de disparition

 

La chasse en violation de la loi

 

Les braconniers du Golfe sont de retour dans le Sud algérien pour… achever les dernières outardes et gazelles, des espèces protégées par la loi.

Ils sont signalés dans les wilayas d’El Bayadh, de Laghouat et de Béchar pour chasser l’outarde houbara et la gazelle dorcas alors que la chasse est strictement réglementée. Ce n’est certes pas un fait nouveau. L’Algérie, qui possède une faune et une flore riches et très diversifiées, a déjà subi – depuis d’ailleurs l’époque du président Boumediène – une régression sans précédent en la matière. Sa biodiversité avait alors pris un coup malgré des restrictions. Fort scrupuleux quand il s’agit de défendre chez eux ce type d’espèces, ces braconniers n’hésitent pas à venir décimer l’outarde et la gazelle en Algérie, particulièrement dans les wilayas de Naâma et de Ghardaïa où ils pratiquent leur sport préféré en toute impunité, après qu’ils les ont déjà exterminées en Tunisie et au Maroc. Pourtant, la loi interdit cette chasse et des conventions internationales visant à protéger l’outarde ainsi que d’autres espèces en voie de disparition, dont la gazelle dorcas, ont été ratifiées par l’Algérie – la plus importante étant la convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction. Mieux, conscientes du danger qui guette la faune, les autorités ont même décidé, en juillet 2006, de mettre le holà à ce massacre. Les pouvoirs publics ont alors promulgué l’ordonnance présidentielle n°06-05 du 15 juillet 2006 censée contribuer un tant soi peu à la conservation de la biodiversité. Cette ordonnance est supposée prendre en charge le problème des espèces animales menacées de disparition dans les zones écologiques d’Algérie. Elle dresse d’ailleurs une liste non exhaustive d’animaux menacés de disparition composée de 23 espèces réparties en trois classes.

23 espèces menacées

Les animaux concernés sont « les espèces de faune sauvage dont l’existence en tant qu’espèce subit une atteinte importante entraînant un risque avéré d’extinction et qui, de ce fait, font l’objet de mesures de protection et de préservation particulières ». Ainsi, dans la classe des mammifères, l’ordonnance interdit et punit la chasse du mouflon à manchettes, de la gazelle rouge, de la gazelle de l’Atlas, du fennec, du guépard, du chat des sables et de l’addax. Dans la catégorie des oiseaux, le législateur a énuméré sept espèces protégées, dont la fameuse outarde houbara, particulièrement prisée et ciblée par les braconniers du Golfe pour ses vertus aphrodisiaques. Officiellement donc, la chasse est fermée pour l’outarde houbara, la grande outarde et la canepetière. La mesure vaut également pour la chasse de l’ibis chauve, du faucon pèlerin, de l’érismature à tête blanche et du faucon crecerelle. L’ordonnance approuvée classe également la tortue grecque, le fouette-queue et le varan du désert dans la liste rouge. Le texte s’appuie sur les articles de la Constitution qui portent sur la préservation et la protection de l’environnement, sur la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction, signée à Washington le 3 mars 1973 et à laquelle a adhéré notre pays en décembre 1982. Et enfin sur la Convention relative à la conservation des espèces migratrices appartenant à la faune sauvage établie à Bonn le 23 juin 1979 et approuvée par l’Algérie en mars 2005. « La chasse des animaux mentionnés sur la liste fixée à l’article trois de la présente ordonnance est interdite par tout moyen », précise le texte réglementaire, qui ajoute que sont également interdits « la capture, la détention, le transport, la naturalisation et la commercialisation des animaux ou parties d’animaux d’espèces menacées de disparition ». La seule dérogation à cette mesure coercitive demeure l’utilisation de spécimens de ces animaux à des fins scientifiques ou de reproduction pour repeuplement. Cependant, l’application de cette ordonnance sur le terrain pose visiblement encore problème. Sinon pourquoi la chasse à ces espèces animales est-elle toujours ouverte pour les émirs du Golfe ? En février 2008, cinq braconniers, dont deux ressortissants koweitiens, avaient été pris en flagrant délit de violation de cette loi - l’ordonnance promulguée en 2006 - sur la protection des espèces animales en voie d’extinction et condamnés à une peine de 18 mois de prison avec sursis. Les contrevenants avaient été arrêtés alors qu’ils s’adonnaient à la chasse illégale à l’outarde. Cela étant dit, dans le cadre de la politique de préservation et de protection des espèces animales menacées de disparition, le gouvernement avait mis en place une commission présidée par le ministre de l’Agriculture. Comme mesures dissuasives, cette réglementation prévoyait des sanctions sévères « visant à décourager tout braconnage ».

Les mesures dissuasives

Les contrevenants sont passibles d’une peine de prison de un à trois ans et d’une amende de 200 000 DA à 500 000 DA. Et en cas de récidive, cette peine est doublée. Le texte n’omet pas de souligner que même les complices seront punis d’emprisonnement et contraints à payer une forte amende. Les aires et zones désignées comme étant des périmètres d’habitat, de reproduction ou de repos de ces espèces sont également protégées, puisque « tout usage, activité, construction ou établissement non expressément autorisé » y est interdit. La loi ne punit pas seulement ceux qui sont reconnus coupables de chasse interdite, mais aussi « toute personne ayant permis, facilité, aidé ou contribué par quelque façon que ce soit à la chasse ou à la capture, la détention, le transport et la commercialisation » des animaux visés dans l’article 3. Ces intermédiaires sont passibles d’une peine de prison de un à deux ans et d’une amende de 100 000 DA à 300 000 DA. D’autres lois et règlements censés défendre la nature et les patrimoines naturels - loi forestière, code des eaux, loi sur la chasse, sur l’environnement -, promulguées par le passé, sont toujours en vigueur. Malgré ces lois, les responsables ne semblent pas avoir pris toute la mesure du danger qui guette la faune. Le danger est là. Des braconniers du Golfe sont là. Seulement, personne ne semble en être au courant, y compris Djamel Berchiche, chargé de communication au ministère de l’Agriculture, contacté dimanche et qui affirme n’avoir reçu aucune information quant à une opération de chasse menée dans le Sahara algérien par des émirs du Golfe. Ce dernier, après avoir contacté les services de la direction générale des forêts, a tenté de démentir l’information selon laquelle des opérations de chasse, menaçant les espèces d’animaux en voie d’extinction et l’écosystème en Algérie, seraient organisées. La question qui s’impose est de savoir qui a autorisé ces braconniers à faire du « tourisme de plaisance » sur nos territoires.

Rabah Beldjena

17 février 2009

 

Sur les 188 espèces de mammifères dans le monde classées en « danger critique d’extinction », soit le niveau de menace le plus élevé avant la disparition de l’espèce, l’Algérie à elle seule en compte trois.

 

C’est ce que nous a révélé un porte-parole de l’Union internationale pour la conservation de la nature, qui vient de publier la nouvelle Liste rouge des espèces menacées, à l’occasion de son congrès mondial qui se tient à Barcelone jusqu’au 14 octobre.

 

Ainsi, le guépard de l’Ahaggar franchit un seuil de menace supérieur et rejoint le phoque-moine méditerranéen et la gazelle dama. Bien que le statut de ces deux derniers reste inchangé, des doutes subsistent sur l’existence de la gazelle qui pourrait rapidement rejoindre les espèces éteintes, au même titre que l’oryx et, nouveau venu dans cette catégorie, l’addax.

 

L’évaluation la plus complète jamais réalisée des mammifères – le point fort de cette nouvelle liste rouge – permet ainsi aux experts d’être plus alarmistes que jamais. La moitié des espèces de mammifères sont en déclin et probablement un tiers sont menacées d’extinction.

 

« Et la situation réelle pourrait être bien pire, ajoute-t-on à l’IUCN, puisque 836 mammifères sont classés dans la catégorie ‘’données insuffisantes’’.

 

Et selon certains spécialistes, l’Algérie est pleinement concernée par le manque de données. Plus de trente espèces figuraient sur la Liste Rouge 2007 en attente d’informations pour un classement, à l’instar du fennec ou du lycaon, classés ‘’en danger d’extinction’’, donc leur présence chez nous reste incertaine.

 

Les mammifères ne sont pas les seuls ; nous manquons aussi d’observations fiables sur les oiseaux : l’ibis chauve et le courlis à bec grêle restent donc classés « en danger critique d’extinction » en Algérie, aux côtés du puffinus mauretanicus, alors qu’ils pourraient avoir complètement disparu.

 

« Plus nous attendons, plus cela coûtera cher de prévenir des extinctions futures », a indiqué Jane Smart, directrice du Programme des espèces de l’UICN. « A l’heure actuelle, nous savons quelles espèces sont menacées, quelles sont les menaces et où elles se trouvent ; nous n’avons plus d’excuses pour regarder en spectateurs sans rien faire. »

 

http://www.protection-des-animaux.org

Espèces menacées

 

Date de création: 30-03-2009 12:54

Dernière mise à jour: 30-03-2009 12:54

Lu: 51 fois

Les espèces animales menacées de disparition en Algérie bénéficient, depuis fin 1982, date a laquelle l'Algérie a adhéré, par décret 82-498 du 25 décembre 1982, à la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES), signée à Washington le 3 mars 1973, ,d’un statut de protection spécifique. Il existe 163 globalement espèces protégées :

47 espèces de mammifères, 108 espèces d’oiseaux et 8 espèces de reptiles.

Par la suite, une ordonnance présidentielle (06-05 ) relative à la protection et à la préservation de certaines espèces animales menacées de disparition, a été promulguée le 15 juillet 2006. Elle énumère les espèces menacées de disparition et protégées (article 3):

Classe des mammifères:

Le mouflon à manchettes,

L’addax (en danger critique d'extinction et éteint à l'état sauvage),

La gazelle Sahara (ou léptocère),

La gazelle dorcas,

La gazelle dama (en danger critique d'extinction),

La gazelle rouge,

Gazelle d'Atlas,

Le cerf de Barbarie,

 

L’hyène rayée,

Le guépard, (en danger critique d'extinction et la population est estimée, en 2007-2008, à environ 250 reproducteurs),

 

Le chat des sables,

Le fennec,

Classe des oiseaux:

L’ibis chauve,

L’érismature à tête blanche,

La grande outarde,

L’outarde canepetière,

L’outarde houbara ,

 

 

Le faucon pèlerin,

Le faucon crecerellette ,

Classe des reptiles:

La tortue grecque,

Le fouette-queue,

Le varan du désert,

Note: L'article 3 précise que la liste peut être étendue à d'autres espèces animales menacées de disparition par voire réglementaire.

 

Depuis l’instauration de l’état d’urgence en février 1992 en Algérie, l’activité de la chasse a été de facto suspendue d’autant plus que même les fusils de chasse ont été récupérés par les services de sécurité suite à la situation exceptionnelle vécue par le pays.

 

Cela signifie que ne peuvent être autorisées localement que les battues d’animaux errants (chats et chiens) et de sangliers destructeurs de cultures végétales. Cela dans le principe.

 

Cependant, malgré ces drastiques restrictions, le braconnage a continué tout au long de cette période y compris par ressortissants étrangers venus des pays du Golfe à la recherche de l’outarde dont le foie est réputé leur fournir un aphrodisiaque. Pays ayant abrité jadis une faune et une flore riches et fort diversifiées, l’Algérie est en train de subir une effrayante régression en la matière. C’est la biodiversité- terme adopté par les instances internationales spécialisées- qui en prend quelque part un coup. Lorsqu’on parle de désertification, cela ne doit nous faire confiner dans une conception purement économique du fait de la diminution de la SAU (Superficie agricole utile) et de la dégradation du couvert végétal.

 

Cette vision restrictive a beaucoup évolué au cours des deux dernières décennies pour laisser place au concept de développement durable supposant gestion rationnelle des ressources naturelles de façon à assurer leur transmission aux générations futures.

 

S’agissant spécialement du patrimoine faunistique, la disparition de certaines espèces est un fait avéré de l’histoire récente du pays, et cela pour différentes raisons : exercice anarchique de la chasse, braconnage, urbanisation excessive, épandage de pesticides sur des parcelles agricoles, incendies de forêts (principale niche animale), disparitions de certaines sources d’eau et tant d’autres facteurs, y compris climatiques. En tout cas, le constat fait par les spécialistes équivaut à un appel de détresse pour sauver ce qui peut encore l’être dans le patrimoine faunistique national.

 

C’est ainsi que les pouvoirs publics ont pris leurs responsabilités pour asseoir un dispositif législatif censé contribuer un tant soit peu à cet objectif de la conservation des éléments de la biodiversité. C’est en juillet 2006 qu’une ordonnance présidentielle a été promulguée dans ce sens.

 

Elle est supposée prendre en charge le très complexe problème des espèces animales menacées de disparition dans les différentes zones écologiques d’Algérie. En effet, le constat d’une baisse graduelle de la fréquence de certaines espèces dans des milieux où ils évoluaient habituellement-biotopes-, a été fait il y a plusieurs années. Du garde-forestier jusqu’au simple flâneur, en passant par la corporation des chasseurs et des passionnés de la nature, tout le monde a pu s’apercevoir de la régression des espaces vitaux où, naguère, pullulaient tritons, grenouilles, hérissons, perdreaux et autres curiosités animalières.

 

Dans les forêts, les maquis, les mares, les lacs et autres milieux de vie, le nombre et les espèces d’animaux ne font que reculer. Un déséquilibre écologique est à craindre, particulièrement lorsqu’on sait à quoi sont réduits les tissus forestiers au cours de la décennie de terrorisme et de lutte anti-terroriste. Dans un grand nombre de bois, il n’y a que le sanglier et le chacal qui manifestent leur présence, parfois même d’une façon insolente et dangereuse.

 

Sauver les dernières populations menacées d’extinction

 

L’ordonnance portant protection des animaux dresse une liste non exhaustive d’animaux menacés de disparition tout en précisant que ladite liste "peut être étendue à d’autres espèces animales menacés de disparition par voie réglementaire". Les animaux concernés par les termes de l’ordonnance n°06-05 du 15 juillet 2006 sont "les espèces de faune sauvage dont l’existence en tant qu’espèce subit une atteinte importante entraînant un risque avéré d’extinction et qui, de ce fait, font l’objet de mesures de protection et de préservation particulières".

 

Trois classes animales sont touchées par ces mesures de protection et de préservation : les mammifères (mouflon à manchettes, oryx, cerf de Barbarie, hyène rayée, cinq variétés de gazelle ,le fennec, le guépard, le chat des sables et l’addax), les oiseaux (ibis chauve, erismature à tête blanche, faucon crécerelle, faucon pèlerin et trois espèces d’outarde) et les reptiles (tortue grecque, fouette-queue et varan du désert). Le nouveau texte algérien s’appuie sur les articles de la Constitution qui portent sur la préservation et la protection de l’environnement, sur la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction signée à Washington le trois mars 1973 et à la quelle a adhéré notre pays en décembre 1982, et enfin, sur la Convention sur la conservation des espèces migratrices appartenant à la faune sauvage faite à Bonn le 23 juin 1979 et approuvée par l’Algérie en mars 2005.

 

"La chasse des animaux mentionnés sur la liste fixée à l’article trois de la présente ordonnance est interdite par tout moyen", précise le texte réglementaire, qui ajoute que sont également interdits "la capture, la détention, le transport, la naturalisation et la commercialisation des animaux ou parties d’animaux d’espèces menacées de disparition".

 

La seule dérogation à cette mesure coercitive demeure l’utilisation de spécimens de ces animaux à des fin scientifiques ou de reproduction pour repeuplement.

 

Pour coordonner la politique de préservation et de protection d’espèces animales menacées de disparition, le gouvernement met en place une commission présidée par le ministre chargé de la Chasse, autrement dit, le ministre de l’Agriculture.

 

Cette commission sera consultée sur "toutes les questions relatives à la situation générale de ces espèces, leur protection et leur préservation".

 

Il est également prévu la délimitation des aires dans lesquelles subsistent les animaux menacés de disparition, leurs espaces de reproduction et leurs zones de repos. Dans ces périmètres, il sera procédé à l’observation et à l’évaluation des effectifs des espèces concernées ainsi qu’au suivi de leur reproduction/multiplication. Sur ces questions, un rapport annuel devrait être élaborée et adressé au ministre de l’Agriculture par la commission spécialisée.

 

Des clauses coercitives

 

Les clause répressives de la nouvelle réglementation précisent que les contrevenants- ceux qui seraient tentés par le braconnage des espèces classées comme étant menacées de disparition- sont passibles d’une peine d’emprisonnement d’un an à trois ans et d’une amende de deux cent mille à cinq cent mille dinars. En cas de récidive, la peine sera doublée.

 

Le texte n’omet pas de souligner que même les complices seront punis d’emprisonnement et contraints à payer une forte amende. Il s’agit de toute personne ayant permis, facilité, aidé ou contribué, par quelque moyen que ce soit, à la chasse ou à la capture, la détention, le transport et la commercialisation d’animaux ou de parties d’animaux mentionnés sur la liste fixé à l’article 3 de l’ordonnance. Les aires et zones désignées comme étant des périmètres d’habitat, de reproduction ou de repos de ces espèces sont également protégées, puisque "tout usage, activité, construction ou établissement non expressément autorisé" est interdit.

 

Toute infraction à cette disposition entraîne une peine d’emprisonnement et une amende à l’encontre du contrevenant. Participant des grands équilibres de la nature et des sources de la biodiversité, la faune et la flore sont menacés dans notre pays par une politique de l’aménagement du territoire et de l’urbanisme qui ne s’est ouverte à la donnée écologique et environnementale qu’au cours de ces dernières années. L’avancée du béton sur des terrains agricoles, les défrichements délictueux et anarchiques des espaces forestiers, les incendies de forêts, la pollution des sources et des espaces de nourriture, sont, entre autres, quelques facteurs qui mettent à mal, sinon annihilent, des centaines de niches écologiques. D’autres lois et règlements censés défendre la nature et les patrimoines naturels- loi forestière, code des eaux, loi sur la chasse, sur l’environnement- ont existé par le passé et sont toujours en vigueur. C’est visiblement leur application sur le terrain qui pose problème comme pour une grande partie de la législation algérienne.

 

Il y a aussi, il faut le souligner, le manque de coordination entre les services et les directions concernés. Alors que la protection de la nature sous toutes ses formes doit être une préoccupation de tout le monde- commune, wilaya, directions techniques et instituts chargés de la protection-, la réalité du terrain est beaucoup plus nuancée puisqu’on retrouve souvent une seule institution sur laquelle sont braqués tous les regards et qui patauge dans de pires difficultés pour des résultats pas toujours brillants. Il faut souligner aussi que l’état de délabrement dans lequel se trouve la forêt algérienne après plus d’une décennie d’une guerre qui ne dit pas son nom a presque annihilé toutes les énergies et abattu les volontés qui étaient à l’avant-garde de la protection de la nature et de la promotion des valeurs de l’environnement. L’espoir d’une réhabilitation des espaces forestiers après les mesures prises pour le repeuplement et la régénération des forêts algériennes, y compris dans le dernier programme Hauts-Plateaux mis en œuvre depuis 2006, est naturellement accompagné de l’espoir de voir se reconstituer et se multiplier les différentes niches écologiques sources de biodiversité.

 

Par La Dépêche de Kabylie

maintenant tu en veut pas admettre, moi et je te donne des preuves toi tu la affirme juste comme ca sans argumenter , tu ne veut pas admettre je jète l éponge :) Modifié par ReDhAx
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maintenant tu en veut pas admettre, moi et je te donne des preuves toi tu la affirme juste comme ca sans argumenter , tu ne veut pas admettre je jète l éponge :)

 

jettes pas l'ancre (lol imaginez que Redhax jette l'ancre...) non je veux dire que tu doit juste lire mes posts!

 

C'est pas wikipedia la source... mais c'est plutôt IUCN Red List... même le journal "Nature" qui est -tout simplement- le plus grand ouvrage scientifique au monde a annoncé des aveux favorables vis à vis cette classification.

 

IUCN Red List: http://www.iucnredlist.org/

 

http://www.iucnredlist.org/apps/redlist/details/41588/0

 

Red List Category & Criteria: Least Concern (pas en danger)

 

Justification:

Listed as Least Concern as, although there is no detailed information on its abundance, the species is relatively widespread in the sandy deserts and semi-deserts of northern Africa to northern Sinai. At present, there are no known major range-wide threats believed to be resulting in a population decline that would warrant listing in a threatened category.

 

Countries:

Native:

Algeria; Chad; Egypt; Libyan Arab Jamahiriya; Mali; Mauritania; Morocco; Niger; Sudan; Tunisia

 

Population:

 

They are common throughout the Sahara (Harrison and Bates 1991) and may occur to north Sahelian areas in the south to 14ºN (Dragesco-Joffé 1993; Granjon et al. 1995). The only documented regression concerns northern Moroccan Sahara, where the fennec disappeared during the 1960s from four localities, which were restricted sandy areas close to permanent human settlements (F. Cuzin, pers. obs.).

 

Current statistics are not available, but the population is assumed to be adequate based on the observations that the fennec is still commonly trapped and sold commercially in northern Africa. In southern Morocco, fennecs were commonly seen in all sandy areas away from permanent human settlements (F. Cuzin, pers. obs.).

 

En gros, il est dit que le fennec n'est pas menacé!

 

Maintenant, vas tu croire l'IUCN Red List (une association spécialisée et renommée mondialement) ou bien nos "journalistes" avec 0 notions de quoi que soit? up to you.

 

Edit: Pour cet article:

 

Sur les 188 espèces ...

 

... sans rien faire. »

 

http://www.protection-des-animaux.org

 

Le fennec n'était pas classé parmis les animaux en voies d'extintion... l'auteur s'est tromper, le fennec était classé jusqu'au 2004 dans la catégorie "Data Deficient"... CVD: déficience d'informations!

 

http://www.iucnredlist.org/apps/redlist/details/41588/0

 

History:

2004 – Data Deficient

1996 – Data Deficient (Baillie and Groombridge 1996)

1996 – Data Deficient

1994 – Insufficiently Known (IUCN)

1990 – Insufficiently Known (IUCN 1990)

 

Après 2008, le fennec est classé dans la catégorie Least Concern

Modifié par el-farouk
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Salam

 

Sauvage il restera, difficile de le rendre domestique, a la 1ere occasion il vous mord et prendra la fuite, il faut le prendre petit pour qu'il s'adapte .

 

http://www.iucnredlist.org/apps/redlist/details/41588/0

 

Historically, the North American Regional Studbook (Bauman 2002) lists some 839 individuals that have been held in the North American region between 1900 and 2001. At the end of 2001, there were 131 individuals in 51 institutions. The Australian Regional Studbook lists 81 historically, with only 12 in the captive population at present. Although fennecs occur in European zoos, there is no studbook or management plan. Fennecs are also kept as pets and bred privately, but these records are not available.

 

La partie en gras: les fennecs peuvent être aussi pris comme animaux de compagnie.

 

c'est pas un animal domestique, il a le même instinct qu'un renard ;) je te conseille de te trouver un bon chaton tout mignon et de faire avec :)

 

On avait dejà il y a quelque temps 11 chats dans la maison, 2 femelles, 1 mâle et 8 chatons... c'était un vrai zoo.

 

Maintenant, avec le déménagement vers une plus grande maison (presque 70 m carré de jardin), on voudras ramener plusieurs animaux, les chats inclus (biensur)

Modifié par el-farouk
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On avait dejà il y a quelque temps 11 chats dans la maison, 2 femelles, 1 mâle et 8 chatons... c'était un vrai zoo.

 

Maintenant, avec le déménagement vers une plus grande maison (presque 70 m carré de jardin), on voudras ramener plusieurs animaux, les chats inclus (biensur)

 

wawww!!!! impressionnant, je te propose de nous associer, moi le local, toi le reste ;) on ouvrira un Résto chinois :D :D on aura de quoi remplir les couverts les 2 premières semaines, on achètera d'autres chats après avec les bénéfices :) hein ?

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