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L’Algérie fait l’impasse sur l’introduction de la 3G


Invité salimdz

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Invité salimdz

L’Algérie fait l’impasse sur l’introduction de la 3G

 

Pour les spécialistes en télécommunications, pour combler rapidement son important retard dans l’internet haut débit, l’Algérie ne peut parier que sur la téléphonie mobile de troisième et quatrième générations (3G et 4G). Avec un réseau 3G, un opérateur mobile peut offrir via un boitier installé chez le client une connexion internet supérieure à 1 Méga à un prix de vente estimé à 4000 DA/ mois. Les investissements pour une couverture nationale seront moins coûteux que le déploiement d’un réseau de fibre optique ou l’amélioration du réseau fixe actuel d’Algérie Télécom.

 

Mais après avoir annoncé à plusieurs reprises ces dernières années son intention de mettre en vente des licences 3G ou 4G, le gouvernement semble avoir abandonné ce projet. Le gouvernement a visiblement opté pour le développement du réseau fibre optique via l’entreprise publique Algérie Télécom. Le compte-rendu officiel de l’évaluation du secteur des télécommunications par le président Bo*****ika, diffusé lundi 23 août, confirme en partie cette tendance. Le document évoque rapidement la téléphonie mobile (nombre de clients : 33,5 millions) mais s’attarde sur le développement de la fibre optique.

 

Au 31 décembre 2009, « les capacités de l'infrastructure nationale en matière de téléphonie fixe étaient de près de 4.500.000 équipements d'abonnés. Le nombre d'abonnés reliés est de près de 3.000.000 et les équipements du réseau sont exploités à plus de 70%. Par ailleurs, l'Algérie dispose d'une infrastructure couvrant l'ensemble du territoire national, grâce à un réseau de transmission d'une capacité de plus de 60.000 kilomètres de fibres optiques et de près de 50.000 km de faisceaux hertziens numériques», selon le compte-rendu.

 

Le président de la République a rappelé que « de lourds investissements ont été consentis par l'Etat dans le développement des infrastructures de fibres optiques », soulignant la nécessité de « veiller à une utilisation optimisée de ces supports de transport de télécommunication, y compris par la mutualisation des capacités existantes au sein des autres entreprises économiques du secteur public ».

 

Cette mutualisation devrait concerner le réseau de fibre optique de Sonatrach. La compagnie nationale des hydrocarbures, qui a affiché ces dernières années des ambitions dans la téléphonie et l’internet, dispose d’un important réseau de fibre optique à travers tout le territoire national. Mais en confiant le développement de l’internet à Algérie Télécom et Sonatrach, le gouvernement prend le risque de prolonger le retard du pays dans le domaine du haut débit.

 

En renonçant à l’introduction de la 3G, le gouvernement veut visiblement éviter d’accueillir sur le marché algérien un nouvel opérateur téléphonique étranger. Cette implantation serait synonyme de transferts de dividendes dans l’avenir. Il ne veut pas non plus permettre aux opérateurs privés actuels de trouver de nouvelles sources de revenus et des relais de croissance à l’essoufflement annoncé de la 2G. Une stratégie qui obéit à la même logique.

 

source

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Franchement, c'est regrettable de voir que le Maroc ou la Tunisie sont équipées de la 3G+ alors que notre 2.75G est à peine fiable !

Pourtant, même s'il ne faut pas espérer grand chose en Algérie, j'avais un minimum d'espoir suite aux tests 3G effectués par Mobilis en Décembre ... 2004 !

 

Par ailleurs, je me rappelle que pendant certaines périodes, Nedjma effectuer des tests discrets. L'icône 3G s'affichait pendant un moment puis partait.

Modifié par mkhaled
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Salam,

 

Actuellemnt je suis au maroc avec une conection MEDITEL 3g 1.8 mega (cle USB que jai achete 3000 DA+ABONEMENT 1 MOIS COMPRIS) tres stable et nous on mise sur la fibre optique alors que ca fait 3 ans tjrs pas de progree !!!! Pauvre Algerie :((

PS:J'atteint meme les 2.5 MB la nuit .

 

928825544.png

Modifié par xenon_alpha
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C'est parfait chez vous, par contre l'Upload laisse à désirer ...

Certains disent que l'Algérie est grande en superficie et qu'il est très difficile de déployer le matériel pour assurer une couverture nationale 3G, mais on sait que ca n'a rien à voir.

 

Va chercher la superficie habitable + les routes et tu vas constater que cet argument ne tient pas!

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C'est Évident que c'est le gouvernement qui ne veut pas bouger le doigt pour améliorer les choses en Algérie.

 

 

etat ne veut pass donné la licence de la 3G pour des reson de securité contre le terorisme parceque etat est entrain de chassé apartir des ligne telephonique et les portable donc si elle lance la 3G les teroriste ultilise le skype le msn les hotmaile et des logissielle impossible a espionné...... eceque vous avez compris pourquoi maintenant

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etat ne veut pass donné la licence de la 3G pour des reson de securité contre le terorisme parceque etat est entrain de chassé apartir des ligne telephonique et les portable donc si elle lance la 3G les teroriste ultilise le skype le msn les hotmaile et des logissielle impossible a espionné...... eceque vous avez compris pourquoi maintenant

En quoi est ce qu'une norme révolutionnaire va permettre au terroristes d'employer des actions qui ne peuvent pas être fait avec le GPRS ou le EDGE, si ce n'est utiliser les mêmes opérations, plus rapidement ?!

Non, je ne comprends pas.

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etat ne veut pass donné la licence de la 3G pour des reson de securité contre le terorisme parceque etat est entrain de chassé apartir des ligne telephonique et les portable donc si elle lance la 3G les teroriste ultilise le skype le msn les hotmaile et des logissielle impossible a espionné...... eceque vous avez compris pourquoi maintenant

 

arréte de dire des bétises stp c affligeant

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etat ne veut pass donné la licence de la 3G pour des reson de securité contre le terorisme parceque etat est entrain de chassé apartir des ligne telephonique et les portable donc si elle lance la 3G les teroriste ultilise le skype le msn les hotmaile et des logissielle impossible a espionné...... eceque vous avez compris pourquoi maintenant

 

donne au moins des arguments, malgré que ce n'est pour cette raison qu'il ne veulent pas de la 3G, il faut quand même se souvenir de l'épisode des attaques de Mumbaï :

 

Analysons le modèle terroriste de Mumbaï dans ses dimensions tactiques et stratégiques et abordons la nécessaire adaptation des états face aux réseaux terroristes agiles.

 

Depuis les attentats de l’automne 2008 à Mumbaï et de l’hiver 2009 à Kaboul , un modèle d’attaque terroriste multiple – menée par plusieurs petits groupes d’individus légèrement ou lourdement armés – occupe le devant de la scène. En réalité, ce type d’opérations ne date pas d’hier : les attentats du 11 septembre 2001, ceux de Bali (Indonésie) et Mombasa (Kenya) en 2002 et de Londres en 2005, pour ne citer que ceux-ci, étaient déjà des attaques multiples.

 

De telles menaces semblent réservées au Moyen-Orient, à l’Asie centrale/méridionale, à l’Afrique orientale et à l’Amérique latine. Détrompons-nous ! Les cartels colombiens et mexicains de la drogue ont « téléporté » le danger aux portes des États-Unis et reproduisent les modes opératoires terroristes. En Europe, malgré des réglementations sévères et un contrôle policier plus ténu – qu’en Amérique où de surcroît les immensités territoriales procurent également maintes opportunités à des « énervés » comme Timothy McVeigh ou les milices du Montana – les armes de guerre en provenance d’Europe centrale et de Russie sont aujourd’hui légion et les organisations terroristes ne manquent pas.

 

Néanmoins, ce qui était autrefois plus ou moins exceptionnel peut devenir une funeste source d’inspiration au point de devenir monnaie courante, notamment dans cette ère où les états sont de plus en plus confrontés au foisonnement d’adversaires non-étatiques. Ces derniers peuvent prendre de la graine dans « le modèle terroriste de Mumbaï » qui, à mes yeux, a véritablement donné naissance au « prêt-à-terroriser ». Détaillons le pourquoi du comment.

 

Terrorisme 2.0

 

Les kamikazes de Mumbaï étaient de jeunes adultes certes formés et radicalisés à cette fin, mais très « branchés techno » dans la préparation et l’exécution de leur attaque :

 

- des mobiles GPS pour l’orientation et des téléphones satellitaires pour la coordination opérationnelle lors du trajet maritime entre le Pakistan et l’Inde;

 

- des PDAphones Blackberry et la VoiP (voix par Internet) pour la communication tactique. Le service mondial Blackberry intègre de solides protocoles de cryptage, la VoIP repose sur de fragmentaires paquets numériques décentralisés irriguant l’Internet entier – telle « l’écoulement de la sève dans une feuille » – entre le mobile/l’ordinateur appelant et celui appelé; deux technologies très peu perméables aux méthodes usuelles d’écoute téléphonique « en direct »;

 

- Google Earth pour la géolocalisation tridimensionnelle des cibles : deux hôtels, un restaurant, un complexe résidentiel et une gare;

 

- les plateformes Web 2.0 pour l’analyse en temps réel de la couverture (e-)médiatique des attentats et le suivi permanent de la réaction policière et militaire : télévisions en ligne, microblogging (Twitter), blogs, réseaux sociaux, etc.;

 

- des services remail dans des cybercafés wi-fi – pour annoncer et revendiquer les attentats – permettant d’envoyer aux médias des courriers électroniques anonymes difficilement retraçables.

 

Baignant dans le numérique depuis leur prime jeunesse et d’autant plus efficaces pour leurs donneurs d’ordre, les assaillants de Mumbaï ont finement exploité les technologies grand public dans leur mission terroriste et sévèrement damé le pion à la cybersécurité étatique en toute aisance et à moindre coût. Corollairement, la traçabilité électronique des commanditaires et leurs identités sont d’autant plus compliquées, voire impossibles à établir.

 

Opérations trop spéciales

 

Pour mener à bien leurs sombres desseins, les dix-huit kamikazes ont puisé dans les univers du terrorisme, de la piraterie maritime, de la guérilla et de l’art militaire. Bienvenue dans la foirefouille de Mad Max !

 

Pour parcourir les 575 miles nautiques entre Lahore et Mumbaï en toute discrétion, les jeunes kamikazes ont procédé « à la somalienne » : détournant un chalutier (après avoir assassiné son capitaine) pour se rapprocher des côtes indiennes, quittant ce vaisseau mère à bord de canots pneumatiques et géolocalisant aisément leurs entrepôts de fortune et leurs cibles dans la métropole portuaire avec leurs PDAphones. Plusieurs semaines avant l’opération, des complices avaient effectué des missions de reconnaissance des lieux et loué des chambres dans les hôtels visés afin d’y stocker des armes.

 

Dans les sacs à dos des kamikazes : de l’eau et des boissons énergisantes, un peu de nourriture, un voire plusieurs pistolets, une ou deux mitraillettes AK-47, des boîtes de munitions et une dizaine de grenades à main. Contrairement à une arme à feu qui n’inflige pas forcément une blessure mortelle et dont la seule vue fait fuir une foule, une grenade dans un environnement urbain pacifié n’attire guère l’attention immédiate, blesse grièvement ou tue instantanément toute personne située jusqu’à dix mètres de son explosion. D’où l’usage prononcé de cette arme dans les lieux visés et l’économie de munitions en vue de l’inéluctable confrontation avec les forces de l’ordre.

 

Selon Brent Smith, professeur de sociologie et de justice criminelle à l’université d’Arkansas, « les terroristes pensent globalement et agissent localement », la préparation concrète d’un attentat se déroulant très souvent à moins de 55 km du lieu visé. Contrôles d’identité, patrouilles militaro-policières et vidéosurveillance n’auraient rien changé : en Inde-Pakistan comme ailleurs, les organisations terroristes sont suffisamment ingénieuses et préparées pour contourner, voire surpasser ces contre-mesures de dernière ligne. L’entrée principale de l’hôtel Taj Mahal étant équipée de détecteurs de métaux, les assaillants ont tout simplement emprunté l’entrée de service ! Ne passons pas à côté des choses simples.

 

Crise insurmontable

 

Au coeur des incidents, les kamikazes détenaient un avantage considérable : leur capacité à infliger à volonté des dommages à des civils innocents à fortiori lors d’une intervention militaire et/ou policière. Consécutivement, les forces de l’ordre étaient soumises à un dilemme cornélien : neutraliser les terroristes en évitant des morts dans leurs propres rangs et en épargnant les otages. La tâche relève littéralement d’une mission impossible en cas d’opération terroriste multiple et pluri-localisée, combinant attentats à la grenade ou à la bombe, prises d’otages et opérations-suicides dans des lieux ou des bâtiments densément peuplés.

 

Dans un tel cas de figure, les autorités doivent d’abord appréhender la situation, ou plutôt « les situations », puis déterminer les hiérarchies, les juridictions et les compétences dans la conduite des interventions; chaque fonctionnaire se prémunissant contre quelque épée de Damoclès disciplinaire ou judiciaire au cas où les choses tourneraient mal. Le temps passe, l’incertitude croît, les médias classiques et numériques s’en mêlent, de funestes statistiques s’accumulent, de graves erreurs et de tragiques dérives seront inévitables… Pour peu que de véritables brigades anti-terroristes ne soient guère disponibles, les conditions sont réunies pour un scénario catastrophe : près de trois jours et plus de 270 morts auront été nécessaires à plusieurs milliers de militaires et policiers indiens pour défaire dix-huit vingtenaires ! En mars 2009 à Lahore, il aura fallu plus de huit heures d’échanges de tirs aux brigades spéciales pakistanaises pour libérer l’école de police locale de cinq jeunes assaillants.

 

On le voit, l’attaque terroriste multiple submerge, déroute et hypnotise complètement l’appareil étatique formé et habitué à la gestion d’une seule et même crise sécuritaire. Deux, trois, quatre ou cinq crises simultanément, c’est trop ! Exemples : le 11 septembre, Bali, Mombasa, Londres, Mumbaï et les attentats à la bombe contre trois ministères à Kaboul en février 2009.

 

Analyste de défense au Naval Postgraduate School, John Arquilla évoque plutôt « l’attaque en essaims » qui peut être contrée non pas par un surnombre de forces conventionnelles ou de brigades très spécialisées, mais par de nombreuses petites unités policières ou militaires suffisamment aptes à gérer de telles situations, disposant d’une grande autonomie décisionnelle et de règles d’engagement précises afin d’agir et réagir aussi vite que possible.

 

Sans pour autant annihiler complètement la létalité des attaques en essaims, cette méthode a permis aux autorités tunisiennes, yéménites, saoudiennes et turques de dégrader significativement leur nuisance et de sauver de nombreuses vies. Les pays européens disposent de brigades policières et militaires spécialisées dans la lutte anti-terroriste et ayant remarquablement fait leurs preuves à maintes reprises. To****ois, leurs appareils étatiques et elles-mêmes sont-ils suffisamment préparés à l’âpre et fulgurante réalité d’une attaque terroriste multiple en milieu urbain ? De véritables paradigmes contre-offensifs et défensifs en la matière ont-ils à ce jour pris forme ?

 

NB : Professeur de sciences politiques à l’université de l’Ohio, John Mueller a défini cinq points que toute personne ou institution versant dans la lutte anti-terroriste devrait méditer :

 

- le nombre de cibles potentielles d’une opération terroriste est quasiment infini;

 

- si une cible potentielle est fortement protégée, le coût de changement de cible est négligeable à l’action terroriste;

 

- à moins de fermer ou interdire complètement une cible potentielle, celle-ci demeurera vulnérable;

 

- toute politique ferme, permanente et généralisée de protection anti-terroriste doit être comparée à une politique de « protection zéro », la reconstruction d’un site détruit et la compensation des victimes et de leurs familles étant de loin la meilleure solution;

 

- une politique ferme, permanente et généralisée de protection anti-terroriste comporte de colossaux coûts directs et indirects : réduction des libertés, règne de la peur, inerties logistiques, impacts économiques, sociaux, touristiques, diplomatiques, géopolitiques, etc.

 

Malheureusement, Professeur Mueller, l’être humain et l’opinion sont par nature plus sensibles aux histoires et aux drames qu’aux faits réels et aux données concrètes. Heureusement, beaucoup de sociétés de par le monde développent une résilience certaine au fait terroriste, régulièrement omise par de nombreux théoriciens.

 

Révolution d’État

 

Au-delà de la chose purement tactique, l’attaque terroriste multiple est le fait d’organisations tirant pleinement parti de technologies létales rudimentaires et de systèmes d’information et de communication sophistiqués, accessibles librement et parfois gratuitement.

 

Directeur de recherches à la Sirius-Beta Corp et ancien du DARPA (le centre de recherches du Pentagone), Ted Goranson explique que « le terrorisme est la version violente d’une entreprise virtuelle agile […] un petit groupe qui s’assemble tout seul en organisation juste assez grande pour mettre en oeuvre une intention collective. […] À l’avenir, le modèle de l’entreprise virtuelle façonnera la manière dont seront conduites les affaires, dont seront livrées les guerres et sans doute la façon dont les services gouvernementaux seront administrés ».

 

Aujourd’hui, apparaissent des organisations terroristes qui ne sont plus seulement des entreprises virtuelles agiles ,mais des « réseaux agiles » s’affranchissant des frontières géographiques et nationales, aussi pervasifs et résilients que les protocoles Internet par lesquels ils étendent, mobilisent et coordonnent leurs forces pour frapper au coeur des villes, défier ostensiblement les autorités et ensuite disparaître des viseurs anti-terroristes. L’émergence de ces réseaux terroristes agiles est concomitante à l’expansion de la société en réseaux et à la montée d’une « i-génération » vivant quotidiennement entre un mobile multimédia et un ordinateur portable, surpassant et outrepassant le jeu des grandes organisations classiques (l’État, la nation, l’entreprise, l’institution supranationale, etc).

 

La confrontation entre l’État et des réseaux non étatiques agiles – terroristes ou criminels – est l’autre symptôme d’un conflit de générations. Les classes dirigeantes plus âgées sont des « migrants du numérique » qui ont toujours besoin « qu’on leur explique »; les jeunes adultes urbains sont des « natifs du numérique » qui intériorisent la culture en réseaux et disposent donc toujours d’une longueur d’avance décisive sur les plans stratégiques et conceptuels. Cette tendance visible par tous imprègne désormais le fait terroriste et celui criminel : la nébuleuse Al-Qaïda, les cartels transaméricains de la drogue et les cybermafias russes en sont quelques preuves vivantes. Ce n’est qu’un début…Or, l’état est tout le contraire d’une entreprise virtuelle agile : une machine bureaucratique sédentaire, intrèsèquement tâtillonne, mue par un enchaînement d’inerties, consubstantiellement rétentrice d’informations, tant en son sein qu’envers ses administrés et ses homologues étrangers. Qui peut croire un instant qu’une telle mécanique puisse habilement faire face à des entités en réseaux à la fois nomades, redondantes et profondément synergiques ?

 

De nombreux états ont certes élaboré un continuum entre veille anti-terroriste, coopération internationale et gestion des urgences, unique facteur augmentant les chances d’intercepter des attentats dans leurs phases de préparation ou de pré-exécution. Cependant, pour égaler ou devancer stratégiquement – autant que possible – les réseaux terroristes ou criminels agiles, l’état devra tôt ou tard questionner en profondeur son essence organisationnelle. Vaste programme. Qui ramasse les paris ?

 

Enfin, je n’oublie pas ce triste constat émis par mon père plusieurs années plus tôt : « mon garçon, les forces anarchistes sont très souvent avant-gardistes ».

Source Modifié par el3anif
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Les gars, détrompez moi je vous prie ; Mais ca n'a rien à voir !

La 3G est une norme de technologie mobile qui permet des débits plus rapides que ceux des anciennes technologies. Ce qui est cité en haut n'indique en rien que la 3G facilitera les tâches aux terrorismes. La 3G ne crypte pas les informations échangées entre l'utilisateur et serveur (Sauf si le protocole de transmission entre client-serveur est sécurisé, ce qui n'accompagne pas la 3G), le FAI à toujours accès aux informations et permet de savoir ce que vous faites exactement, mais pas la raison.

Utiliser Google Earth et communiquer par IP n'est pas un acte de terrorisme. Cet article indique juste que les terroristes utilisent Internet comme tout le monde pour pouvoir arriver à leurs fins plus facilement.

 

Donc, Ce n'est parce qu'un terroriste à communiqué par IP avec un autre, que l'on doit supprimer définitivement cette technologie.

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STORM12, tu n'as pas tout à fait tort mais arrête un peu la parano kho ! L'Algérie a eu du retard avec les "tchamaristes du FIS", le système s'est perpétué en imposant la peur au peuple pour faire régner un régime policier !

 

Yerham echibani (oui oui c'est oranais), enlevez le lien hypertexte entre "technologie" et terrorisme DZ !

 

Et je n'aimerais absolument pas que l'on me prive d'utiliser un technologie pour la seule raison que 2 ou 3 barjots peuvent en détourner l'utilisation pour faire exploser des bombes !

 

Bon, la 3G c'est bien mais la 4G c'est mieux. Le problème c'est que les opérateurs ne peuvent pas offrir un meilleur débit, une meilleure prestation de service.

Si c'est pour vendre une licence 3G pour avoir l'équivalent d'une connexion 512 Kbps, je dis : Non merci !

 

Le problème chez nous yet surtout avec AT, c'est que tu leur donne 1 tuyau de 1 téra/s, il vont te faire passer du 10 Ko/s ! Alors ne prends pas en considération le volume que peut transporter le tuyau mais que font les ingénieurs d'AT pour pouvoir arriver à cet exploit de 10Ko/s dans un tuyau d'1 téraoctet.

 

Si c'est pour me bourrer une chaine de service publique photocopiée en 4 qui occupera la bande passante pour rien (je cite l'ENTV), je dis aussi : Non merci !

Si c'est pour faire de la 3G mais ... (jamais de la vie profiter de la VoIP) ...je dis non merci à la 3G et à la 4G

Si c'est pour avoir des ports bridés ... encore merci ! Je n'en veux pas !

 

Ce n'est pas tant la technologie ou le symbol 4XGD ou GPZQ ou conXitador qui importe mais l'usage et les services qu'on peut offrir grâce à cette technologie qui sont importants.

Ce n'est pas le fait de connecter une mairie à l'internet qui est important, mais c'est le fait que l'administration devienne électronique ... l'employé de l'administration ne doit pas vous dire : Ah Dizolé, il n'y a pas di lo connixion ! Je ne peux pas vous faire votre "chèque", "casier judiciaire", extrait de naissance, acte de naissance N° DOUZZZZE ...

 

La 3G ok mais pour offrir quels services ? La visio nocturne avec la meuf de Belabess ou de Tiaret ? The hot webcam DZ ?

Déjà avec le vocal oumasleknache, zidou l'na la visio du premier samedi du mois !

 

Salam

Modifié par ButterflyOfFire
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Salam tout le monde !!

 

A mon avis, seul un opérateur étranger (Européen de préférence, out les egyptiens, koweïtiens, ou autres) pourra nous proposer de la 3G/3G+ voir de la 4G :rolleyes:

 

Et puis je ne vois pas pourquoi c'est le président de la République qui prend une telle décision, ce n'est pas de son ressort !!? OK vous me direz que c'est le Présidène, mais quand même il devrait pas s'occuper de ça quoi !!

 

Saha Shourkom !!

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Salam tout le monde !!

 

A mon avis, seul un opérateur étranger (Européen de préférence, out les egyptiens, koweïtiens, ou autres) pourra nous proposer de la 3G/3G+ voir de la 4G :rolleyes:

 

Et puis je ne vois pas pourquoi c'est le président de la République qui prend une telle décision, ce n'est pas de son ressort !!? OK vous me direz que c'est le Présidène, mais quand même il devrait pas s'occuper de ça quoi !!

 

Saha Shourkom !!

 

ah bon!, je te donne quelque example

http://www.lemagit.fr/article/sarkozy-free-3g-arcep-telephonie-mobile/4256/1/4eme-licence-mobile-sarkozy-veut-pas-free/

http://www.numerama.com/magazine/10324-sarkozy-fera-blocage-a-la-licence-3g-de-free.html

 

une question naïf , on pourrait pas sauter vers la 4G directement??

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la 3G n'est pas nécessaire pour passer a la 4G, et je pense que c'est trop tard pour investir dans la 3G maintenant, il est préférable de passer directement au 4G et economiser un investisment chère et bientot démodé dans le monde.

 

exemple de la chine

http://www.ubergizmo.com/fr/archives/2007/01/la_chine_passe_directement_au_4g.php

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une question naïf , on pourrait pas sauter vers la 4G directement??

 

Si si c'est possible, de toute façon c'est fichu pour la 3G, autant gagner du temps et commencer par installer les équipement pour la 4G !! ou même pour la 5G ou 6G, ptet on sera pret à temps !!!

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Oui mais les 11 briques vons être transféré en fin d'année vers un compte égyptien ou quatari alors que les 11000da resteront en algerie.

 

L'algerie fait tout depuis une année pour évité les investissements etragés quitte a rester dernier du monde.

 

Quand tu a même des chinois qui ne veulent pas payé des pots de vins et remplire ton compte en suisse tu préfère que le fric reste en local et tu l'aura par un autre moyen après .

Modifié par netsba
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