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“Le paiement via le mobile, c’est désormais possible”


STORM12

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Moussa Benhamadi l’a déclaré hier lors d’une sortie dans l’Algérois

“Le paiement via le mobile, c’est désormais possible”

 

Trois bureaux de poste à la gare routière du Caroubier, Kouba et Bourouba ont été inaugurés, hier, par Moussa Benhamadi, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, accompagné du wali d’Alger dont les sorties sur le terrain sont plutôt rares.

Une occasion tout de même pour ses deux personnalités de s’enquérir de la situation qui prévaut dans le secteur qui, malgré beaucoup d’efforts, continue à enregistrer de nombreuses anomalies mais aussi des retards. “Le m-paiement est désormais possible”, a déclaré fièrement M. Benhamadi, exhibant cette annonce comme un trophée. C’est d’ailleurs tout à fait compréhensible à plus forte raison que rien ne semble justifier ce retard sur aucun plan. “Ça bloque au niveau des mentalités”, dira le ministre, tout simplement, assurant que de son côté tous les ingrédients étaient réunis pour se lancer, enfin, dans la grande aventure du m-paiement ou le paiement via son téléphone portable.

En phase test actuellement, ce service sera opérationnel dans les tout prochains jours et permettra aux détenteurs de compte CCP de consulter leur avoir grâce au téléphone portable, et ce, quelque soit l’opérateur avec lequel nous sommes abonnés ou clients.

Il est question aussi de la possibilité de recharger son crédit et de s’acquitter de l’abonnement ADSL. “Nous espérons passer, lors de la seconde phase, au transfert d’argent de compte à compte”, a indiqué le ministre, soutenant que nous pénétrons de plain-pied dans le monde des nouvelles technologies et la numérisation. L’univers même des TIC qui, selon les affirmations du ministre, feront l’objet d’un document qui sera également présenté à la presse en mars prochain.

Cela concerne le projet e-Algérie sur lequel planche actuellement un groupe d’experts pour en tirer une nouvelle copie “version allégée” ne serait-ce que techniquement à travers une mouture à même de donner une plus grande lisibilité des besoins et des attentes en la matière. Et pour poursuivre le chapitre des nouveautés, le ministre annoncera que le dossier Djezzy sera bouclé au mois de juin. “Il y a eu une présélection d'un bureau d'études, puis une attribution provisoire. Il va y avoir une attribution définitive et là, le bureau d'études va commencer son évaluation”, a-t-il affirmé sans donner d’autres détails.

En attendant, la délégation ministérielle a clôturé son périple algérois par l’inauguration d’un Centre national de distribution à Kouba, le troisième après celui de Hassiba-Ben-Bouali et Ben Aknoun. Une entité qui, selon le chef de projet, fera éviter tous les chevauchements entre les différentes tâches centralisées à leur niveau et permet un gain de temps inestimable. Cette sortie a été aussi l’occasion de faire part de la création d’une dizaine d’équipes mobiles de la poste.

Celles-ci seront disponibles, dans un premier temps, dans les grandes villes avant de se généraliser et opéreront dans les hôpitaux et les universités. Ce qui explique du reste la convention qui sera signée dès la semaine prochaine avec le ministère de l’Enseignement supérieur pour doter les universités de bureaux de poste.

M. Benhamadi parlera alors de la pertinence d’améliorer le service postal et de couvrir les espaces d’accueil et d’enseignement de bureaux de poste et de connexion Internet (wifi).

 

Source http://www.liberte-algerie.com/edit.php?id=151126

Modifié par STORM12
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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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