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L’opération pilote Cyber-Rif


sad723

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La 12e édition du salon Siftech qui aura lieu au Palais de la culture à Alger, du 17 au 19 mai sera l’occasion pour le ministère des Postes et des Technologies de l’Information et de la Communication de lancer, le 21 mai, l’opération pilote «Cyber-Rif».

Cette initiative, qui servira de test a été retenue à l’occasion de la journée mondiale de la société de l’information à l’avènement de laquelle travaille l’Algérie et qui voudrait que l’on vive «mieux en milieu rural grâce aux TIC». C’est d’ailleurs le slogan qui a été choisi pour célébrer cet événement. Ainsi, à travers cette opération, soutenue par Algérie Télécom et le groupe privé Condor, les responsables du ministère essayeront une vulgarisation tous azimuts de l’usage de l’internet auprès de ceux qui n’ont pas les moyens. Des camions mobiles sillonneront les petits villages et feront connaître les usages de la toile tout en collectant des informations sur la faune et la flore de la région, les recettes de cuisine, les proverbes...

Cette caravane composée de quatre camions bien équipés, pour le moment, ralliera plusieurs villages du pays et ce, durant une année. Autre opération prévue lors de ce salon, et qui dénote comment la vocation de cette manifestation est réellement «au service de la politique nationale de généralisation des TI» comme l’affirme le commissaire du Salon, M. Mustapha Chaouch, l’encouragement de l’enregistrement des organismes algériens dans le domaine national, c’est-à-dire en DZ

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  • Messages

    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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