Invité salimdz Posté(e) le 13 novembre 2011 Share Posté(e) le 13 novembre 2011 Frères Musulmans,Taliban et expérience Turque,Quel modèle pour les isla.mistes algériens? Dimanche 13 novembre à 8:34 Les isla.mistes algériens convoitent le modèle turc Le courant isla.miste en Algérie refuse de faire la moindre concession en vue d’assurer une véritable alternance politique. Le mouvement isla.miste algérien réussira-t-il à prendre conscience et évoluer pour devenir un mouvement nationaliste? Ou, agira-t-il comme un mouvement d’une province du Moyen-Orient où sévit un islamisme souffrant de la dépendance des sultans, de la corruption et de l’instabilité? De l’avis de nombreux spécialistes de cette mouvance, ces questions constituent le fond du problème auquel est confronté le courant isla.miste algérien. Un courant qui se trouve sans projet de société mais qui a le regard braqué sur les expériences des autres qui le mèneraient au pouvoir. Les isla.mistes algériens convoitent le modèle turc, après avoir empruntés celui des Frères musulmans égyptiens et afghans. S’exprimant dans les colonnes de L’Expression dans un entretien, l’Américain William Quandt Pr de sciences politiques, a soutenu qu«’au pays de Mustafa Ataturk, les protagonistes que sont l’armée au pouvoir et l’opposition isla.miste ont tracé des lignes rouges à ne pas franchir. Ces lignes ont pour but de préserver le pays commun et l’avenir commun». Alors qu’en Algérie, a-t-il expliqué, le courant isla.miste refuse de faire la moindre concession en vue de bâtir un front capable d’assurer une alternance politique. Laquelle alternance serait susceptible de traduire les revendications du peuple en un projet de société. Selon le même intervenant, après une cinquantaine d’années de sacrifice et de lutte politique, la Turquie a enfin su réconcilier et réunir militaires et isla.mistes pour bâtir un régime où chacun trouve son compte. «Mettant la préservation des intérêts du peuple et le développement de leur pays au premier plan des actions de leur gouvernement, les Turcs s’en sortent bien», a-t-il expliqué, avant d’ajouter qu’aujourd’hui, l’expérience turque, saluée par l’Occident, attire bien des convoitises. L’expérience turque est présentée comme un exemple de cohabitation entre les courants isla.mistes et l’armée qui contrôle le champ politique. «Cette cohabitation a permis à la classe politique turque d’évoluer vers le réalisme et le modernisme», a indiqué, pour sa part, Mustapha Saïdj, Pr de sciences politiques à l’Université d’Alger. Et de poursuivre, dans le même contexte, qu’en Turquie, les appartenances ethniques, culturelles et territoriales caractérisant les identités des individus et des nations sont mis de côté au profit de l’intérêt commun des Turcs. Selon le professeur, l’Armée turque a compris que son champ politique doit être impérativement partagé avec l’opposition, représentée par les isla.mistes. «La grande muette en Turquie a compris le contexte international actuel qu’elle a jugé comme une donnée à laquelle elle ne pourrait pas tourner le dos», a affirmé le Pr William Quandt. Dans le cas de l’Algérie, la situation est différente. Pour des raisons idéologiques et d’intérêt personnel, les isla.mistes algériens rejettent le costume de la cohabitation. «Le courant isla.miste ne se soucie que des échéances électorales, d’où les dissensions et alliances contre nature s’opérant avec d’autres forces politiques à l’approche de ces dernières», a-t-il noté. De son côté Anis Nakache, président des réseaux sociaux libanais, a fait remarquer que l’islamisme turc n’est pas un modèle ni pour l’Algérie ni pour les autres pays arabes. Car, a-t-il dit, la Turquie est à moitié européenne aussi bien du point de vue culturel qu’historique. L’avènement de la République en Turquie avec ses principes et sa philosophie ne date pas d’hier. C’est dire que la démocratie turque sous les couleurs de l’Islam est le résultat d’un demi-siècle de lutte et d’affrontements culturels avec l’Europe. Donc, plaider pour un islamisme à la turque dans le Monde arabe relève d’une maladresse politique, puisque tenter de calquer des modèles de gestion politique, économique et social, ne correspondait pas aux aspirations des peuples, mais ils lui seraient imposés. source Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jazz3210 Posté(e) le 13 novembre 2011 Share Posté(e) le 13 novembre 2011 La culture Algérienne est beaucoup plus européenne que le pensent certains sociologues notamment le libanais et donc le modèle turc conviendrait plus à l'Algérie qu'un autre si il existe ! 2 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Maverick02 Posté(e) le 13 novembre 2011 Share Posté(e) le 13 novembre 2011 (modifié) je suis pour le modèle turc Kima galou ha chrab ah el jame3 que chacun fait ce qu'il veut et "tout le monde est content" Modifié le 13 novembre 2011 par Maverick02 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
lucky2004 Posté(e) le 13 novembre 2011 Share Posté(e) le 13 novembre 2011 La culture Algérienne est beaucoup plus européenne que le pensent certains sociologues notamment le libanais et donc le modèle turc conviendrait plus à l'Algérie qu'un autre si il existe ! Ouep mais un modèle à la Erdogan et pas à la Ataturk ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Maverick02 Posté(e) le 14 novembre 2011 Share Posté(e) le 14 novembre 2011 Ouep mais un modèle à la Erdogan et pas à la Ataturk ! Kif Kif n'ecoute pas les medias étranger kho 2 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Arthur Posté(e) le 14 novembre 2011 Share Posté(e) le 14 novembre 2011 (modifié) c'est quoi le modèle turc exactement ! c'est un partie politique comme tout les parties, et qui ce contente d'afficher le mot partie is^^^^^^^ sans aucun envie d'appliquer les lois islamiques? Modifié le 15 novembre 2011 par Arthur Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alirobben Posté(e) le 15 novembre 2011 Share Posté(e) le 15 novembre 2011 Pourquoi ne pas juste séparer la religion de l'état ? 2 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
AZstyle Posté(e) le 15 novembre 2011 Share Posté(e) le 15 novembre 2011 (modifié) Pourquoi ne pas juste séparer la religion de l'état ? pourquoi les sionist.e la font pour les autres religions (christianisme dans le passé) et pas la leur ? ou est la farce ? l'islam est une foi et une loi, s'il est bien appliqué par des personnes honnaites est integres aucune "democratie" ou quelconque systeme politique ne sera a la hauteur, malheureusement on a que des corrompu qui courent apres l'argent et salisse l'image, khlasou les vrai rjel. Modifié le 15 novembre 2011 par AZstyle 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
arkhoide Posté(e) le 15 novembre 2011 Share Posté(e) le 15 novembre 2011 Ouep mais un modèle à la Erdogan et pas à la Ataturk ! Sans Ataturk, y'aurait pas ce "erdogan". 2 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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