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«L'Algérie a récupéré 50 tonnes d'archives» - DAHO OULD KABLIA


Invité salimdz

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DAHO OULD KABLIA

 

«L'Algérie a récupéré 50 tonnes d'archives»

 

Par Kamel LAKHDAR-CHAOUCHE - Lundi 21 Novembre 2011

 

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«L'Algérie aurait pu s'offrir un Etat démocratique si le Gpra avait continué la gestion de la transition post-indépendance.»

 

Le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia, a déclaré, hier, dans les colonnes du journal arabophone Ennahar, que l'Algérie a récupéré 50 tonnes d'archives à partir de la Tunisie.

 

Selon lui, ces archives sont dans les tiroirs du ministère de la Défense et elles seront ouvertes le moment venu. S'exprimant au nom du Malg (ministère de l'Armement et des Liaisons générales), M.Ould Kablia a indiqué que ce département «a fourni à l'Algérie indépendante entre 16 à 19 walis et 21 ministres».

 

L'invité d'Ennahar a soutenu que «le Malg assumait des responsabilités hautement importantes lors de la Révolution de Novembre 1954 dans l'acquisition des armes et leur fabrication ainsi que dans la transmission des renseignements», relevant que le succès militaire et les coups portés à l'ennemi par les services du Malg ont connu une montée en cadence prodigieuse.

 

Dans le même contexte, il a fait savoir que le Malg connaissait les véritables relais de la Révolution algérienne dont l'existence même les chefs suprêmes du Front de libération nationale (FLN) ignoraient complètement. Pour l' invité du quotidien arabophone Ennahar, le Malg constituait la première école des services secrets de la Révolution, qui avait formé et instruit des stratèges et spécialistes dans divers domaines sensibles, à commencer par le renseignement, l'armement, le suivi et l'analyse des stratégies mises en place par l'entreprise coloniale pour détruire les mécanismes de base de la Révolution.

 

«Le Malg était la première cellule de la Révolution chargée de contrecarrer les agissements des services de contre-espionnage français et de les étudier pour connaître ses points forts et ses faiblesses», a témoigné l'ex-responsable du ministère de l'Armement et des Liaisons générales, ajoutant que c'est également le Malg qui s'occupait de l'achat et l'acheminement des armes de l'extérieur pour les introduire à l'intérieur du pays où les troupes du FLN menaient une guerre contre la France. «On a beaucoup parlé sur les armes introduites en Algérie via des réseaux étrangers, mais on a oublié de dire que Abdelhafid Boussouf était le seul et l'unique, qui avait enrôlé et recruté des étrangers dans les rangs de la Révolution», a précisé Daho Ould Kabilia.

 

Par ailleurs, le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales a indiqué que c'était durant l'année 1957 qu'il avait pris contact en France avec des membres de la Révolution.

 

«Je suis rentré au pays durant l'année 1957, soit après la grève des 8 jours, pour devenir instructeur à Mascara où ma famille avait élu domicile», a-t-il précisé. Abordant l'itinéraire de sa famille, Daho Ould Kablia a fait savoir que son père est sorti de l'armée française en 1924, avant de rejoindre durant les années 1930 l'Ecole des officiers de la gendarmerie se trouvant au Maroc. Une école qui, a-t-il expliqué, était sous la tutelle du trio France, Espagne et Italie.

 

Né au Maroc avec ses trois frères dont la chahida Zoubida assassinée par un commando français, à Mascara lors d'une embuscade en 1958, Daho Ould Kablia s'est inscrit dans les rangs du Malg, dirigé par Boussouf. Ce dernier demeure à ses yeux l'un des architectes du Malg qui, au lendemain de l'Indépendance, a fourni la majorité des cadres de l'Algérie.

 

Sur un autre chapitre, l'invité du quotidien arabophone Ennahar a affirmé que l'Algérie a récupéré 50 tonnes de documents et archives de la Révolution à partir de Trablesse (Tunisie), qui sont aujourd'hui au ministère de la Défense nationale. Ces archives seront ouvertes et mises à la disposition des spécialistes de l'Histoire au moment opportun. S'agissant des archives de la Révolution se trouvant en France, Daho Ould Kablia a soutenu qu'il est du devoir de l'Algérie de les récupérer; elles sont entre les mains de la France.

Ces archives que certains, a-t-il expliqué, pensent qu'elles peuvent nuire et permettre d'accuser des hauts responsables de l'Etat de trahison durant la Révolution, se trompent.

 

«On peut qualifier certains événements qui se sont déroulés durant la Révolution de négatifs, mais il y en a eu beaucoup de positifs», a-t-il argué, avant de renchérir qu'il y a toujours eu dans les guerre des erreurs.

 

Et en évoquant le Gouvernement provisoire de la République algérienne (Gpra), le président de l'Association des anciens du Malg a, en effet, regretté la fin de mission de cette institution qui aurait dû continuer son activité après l'Indépendance.

 

«Si le Gpra avait continué la gestion et l'orientation des affaires du pays, l'Algérie aurait pu s'offrir un Etat démocratique où la justice sociale et le développement auraient été atteints, il y a bien longtemps», a tenu à préciser enfin Daho Ould Kablia.

 

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ah merde

on peut dire byebye à ces archives, on a perdu l'accès définitive à ces archives, ya mezian quand ils sont à étrangers, au moins ils sont accessible aux chercheurs, chez nous c'est impossible même avec une lettre d'introduction c'est impossible

en plus vu l'etat des bâtiments en Algérie, ils vont droit vers la poubelle

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ah merde

on peut dire byebye à ces archives, on a perdu l'accès définitive à ces archives, ya mezian quand ils sont à étrangers, au moins ils sont accessible aux chercheurs, chez nous c'est impossible même avec une lettre d'introduction c'est impossible

en plus vu l'etat des bâtiments en Algérie, ils vont droit vers la poubelle

 

Bien dit...

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ah merde

on peut dire byebye à ces archives, on a perdu l'accès définitive à ces archives, ya mezian quand ils sont à étrangers, au moins ils sont accessible aux chercheurs, chez nous c'est impossible même avec une lettre d'introduction c'est impossible

en plus vu l'etat des bâtiments en Algérie, ils vont droit vers la poubelle

 

les archives chez nous servent à nourrir les larves de mites Je l'ai vu de mes propres yeux.Mahoum anta3 walou ya akhi hada wech halbet allah ghaleb

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En même temps ces archives doivent contenir pas mal de ces événement négatifs d'on parle ouled kabila ! donc les rendre consultables !,alors récupérer des archives c'est peux être justement a fin de les rendre non consultables,comme le président a dit dans une interview long temps de cela (ya des vertiés qui ne sont pas bonne a connaitre a cahud ) !,le plus drole cest quand il dit (ces archives sont dans les tiroirs du ministère de la Défense et elles seront ouvertes le moment venu)

 

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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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