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Les Sony Xperia S et Ion supporte la technologie GLONASS en parallèle du GPS


Invité salimdz

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Les Sony Xperia S et Ion supporte la technologie GLONASS en parallèle du GPS

 

Vendredi 20 janvier 2012 à 16:18

 

Les nouveaux téléphones de Sony embarqueront une puce GLONASS. En collaboration avec le GPS, le fix sera bien plus rapide et précis qu’auparavant.

 

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Le système GPS appartient à l’US Air Force et utilise 31 satellites actifs, pour offrir une couverture mondiale. L’Europe a de son côté Galileo, mais qui est loin d’être disponible pour les clients finaux, car le projet a été repoussé à de nombreuses reprises. Il y a également un projet bien moins connu : GLONASS. Développé par les russes depuis 1976, il n’a pris son envol que ces dernières années et plus particulièrement à la fin 2011 où 100% de la surface terrestre est désormais couverte. Contrairement au GPS, le réseau n’a besoin que de 24 satellites actifs.

 

Venons-en maintenant aux smartphones. Plusieurs études ont démontré que les smartphones venaient piller le marché des GPS (Garmin, TomTom…). Mais ces entreprises orientent leur défense sur la qualité du fix (précision), car il est vrai que le résultat est souvent variable (Samsung Galaxy S, Asus Transformer Prime…). Pour améliorer la réactivité des GPS, les smartphones proposent la technologie Assisted GPS (ou aGPS). Elle consiste à télécharger une table d’éphémérides des satellites pour les 7 prochains jours. On a donc un résultat plus que convenable pour du grand public qui cherche principalement une méthode de navigation abordable.

 

La nouvelle génération de processeurs Qualcomm va encore améliorer la précision de nos smartphones en supportant le réseau GLONASS. En utilisant en parallèle les deux systèmes GPS + GLONASS, les nouveaux téléphones mettront moins de temps à obtenir un fix (selon les dires officiels : deux fois moins) et sera plus précis.

 

Actuellement l’Apple iPhone 4s dispose d’une telle puce, mais le géant de Cupertino n’a toujours pas confirmé si elle était réellement utilisée. Pour ce qui est de Sony, les nouveaux Xperia S et Ion seront bien compatibles. Autre bonne nouvelle : les smartphones Sony Ericsson utilisant un Qualcomm Snapdragon S2 ou S3 (notamment la gamme Xperia 2011) offrent également ce support. Une mise à jour pourrait donc l’activer (en même temps que celle vers Ice Cream Sandwich ?).

 

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    • @youcef17fr c'est où ? Donc de nouveaux conteneurs arrivent de Chine contenant les équipements fibre optique (PBO , ONT , ...ect) après la crise maritime en mer Rouge.
    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
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