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DOT Switch de Sony, une simple application Android


Invité salimdz

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DOT Switch de Sony, une simple application Android

 

Posté par Damien - Rédacteur le 22 février 2012

 

Dot Switch de Sony sera le futur du mobile : le contrôle de divers appareils depuis son smartphone.

 

Vous en avez sans doute déjà entendu parlé. L’annonce de Sony, montrant dans un teaser vidéo les fonctionnalités de son projet. Dot Switch permet de prendre en « main » divers équipements de son foyer. Prendre en main, car le contrôle se fera simplement sur son smartphone Sony (Ericsson à l’époque).

 

 

Dot Switch, une simple application Android

 

Et bien oui, on peut le chiner sur le Market Android. Comme vous, nous pensions qu’il s’agissait d’un système dédié implanté dans les smartphones de Sony (application système). Il n’en est rien et tout le monde peut donc en profiter de Dot Switch, du moment qu’il possède déjà du matos Sony, mais quand on voit le prix d’une TV Bravia, seuls les élus (pillule bleu hein icon_wink.gif ) pourront en profiter pleinement.

 

Sony-Dot-Switch.jpg

 

Et Sony annonce l’événement. En effet, un site web dédié au Japon pour le Dot Switch a vu le jour. Au menu, un compte à rebours d’une dizaine de jours. Avec au centre de la page, une sorte de connexion en attente entre un PC et un smartphone. De quoi laisser songeur sur ce que prévoit Sony, mais il semblerait bien que les utilisateurs seront au coeur de l’événement!

 

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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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