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"Google" offre jusqu'à un million de dollars pour pirater "Google Chrome"


Hicham

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Google offre jusqu'à un million de dollars pour pirater Chrome

 

 

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Lors de la prochaine édition du concours Pwn2Own, le géant de Mountain View va mobiliser un million de dollars pour récompenser les hackers qui trouveraient des failles de sécurité capables de mettre en péril son navigateur.

 

 

 

Un million de dollars. C'est la somme totale qu'engagera Google ces prochains jours pour éprouver la sécurité et la fiabilité de Chrome, son navigateur web. La firme américaine va en effet participer, comme chaque année depuis 2009, à la compétition Pwn2Own, dont le déroulement aura lieu lors de la conférence CanSecWest qui durera du 7 au 9 mars à Vancouver. Et pour attirer les hackers, Google est déterminé à sortir le porte-monnaie.

Afin de distinguer la gravité des failles de sécurité qui seraient repérées au cours du Pwn2Own 2012, Google a déterminé trois niveaux de récompense. Un participant qui parviendrait à dénicher une ou plusieurs vulnérabilités dans le navigateur web se verrait attribuer un prix de 60 000 dollars. C'est la récompense la plus importante, puisqu'elle concerne le cœur même du logiciel.

Le deuxième niveau de récompense est composé d'un prix de 40 000 dollars baptisé "Partial Chrome exploit". Il vise à repérer des failles exploitant au moins un bug présent dans Chrome plus une ou plusieurs vulnérabilités présentes dans d'autres programmes. Sur son site web, Google donne l'exemple d'une faille WebKit combinée avec un souci dans la sandbox.

Le dernier palier est une sorte de "prix de consolation" mais gratifié néanmoins d'une récompense de 20 000 dollars. Ici, Google souhaite déceler les bugs qui ne sont pas contenus dans son navigateur web mais qui peuvent, d'une façon ou d'une autre, poser des difficultés aux utilisateurs ou engendrer un risque pour la stabilité ou les performances du navigateur.

Les failles en question peuvent être révélées dans un pilote informatique, dans le lecteur Flash ou même dans Windows lui-même. Rappelons à ce sujet que le test Pwn2Own se déroulera sur des machines équipées de Windows 7 pour des raisons pratiques. Il s'agit en effet du système d'exploitation le plus récent de Microsoft et l'un des plus utilisés dans le monde.

Pour récompenser les hackers qui repéreront d'éventuelles failles, Google se basera sur le principe du premier arrivé, premier servi. Du côté des prix, ces derniers seront distribués jusqu'au moment où le palier du million de dollars sera atteint. Reste désormais à savoir si des vulnérabilités seront découvertes, Chrome ayant démontré par le passé sa grande résistance face aux assauts des hackers.

Avec le formidable développement d'Internet survenu ces dernières années, l'importance du rôle du navigateur web s'est considérablement accrue. Il est aussi devenu essentiel, depuis que la compétition entre éditeurs a repris grâce à la percée de la fondation Mozilla au début des années 2000, de fournir un logiciel fiable, sécurisé, performant, ouvert, respectueux des standards et évolutif.

Très vite, les compétitions comme Pwn2Own sont devenues très instructives pour les principales organisations éditant des navigateurs web. En effet, la sécurisation d'un programme ne pouvant pas toujours être assurée totalement grâce à la seule compétence de l'entité qui l'a conçu, il faut parfois passer par une aide extérieure, la plupart du temps des chercheurs en sécurité indépendants ou des hackers de génie, est souvent bienvenue.

Pour attirer les talents et les inciter à concourir pour hacker leurs produits, les entreprises sont obligées de sortir le porte-monnaie et promettre des récompenses alléchantes, à l'image de Google et de son million de dollars. Mais à plus long terme, c'est bien les éditeurs qui bénéficieront des retombées de ces investissements, en se taillant une réputation de fiabilité, pourvu que les failles repérées soient rapidement colmatées.

 

 


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les concours passés , Internet Explorer et firefox ont payés les frais , Internet Explorer a été intégralement hacké vu qu'un hacker a piraté plusieurs machines via Internet Explorer , mais Chrome était le seul à ne pas avoir eu de failles exploités , alors maintenant Google décide de pimenter un peu le concours avec une Somme Alléchante , 60.000 Dollars pour une Vulnérabilité du Soft ;)

Modifié par Hicham
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    • Bon voilà, ça fonctionne Un grand merci à MichelDZ, le pauvre, 2h hier à essayer de faire fonctionner ca sur mon pc. Aller savoir pourquoi, mais rien ne fonctionnait, pas moyen de faire une machine virtuelle, et les logiciels habituels ne voulait rien afficher, allez comprendre pourquoi, des fois il ne faut pas grand-chose pour que ca parte en cacahouète.  Il n'a pas lâché l'affaire, j'avais abandonné avant lui ^^ mais il a réussi à me le faire fonctionner.  Il m’a même relancé ce matin, savoir si ca allait toujours bien.  👍 Étant ma 1er iptv, je manque de point de comparaison, pour ce qui est du bouquet, je ne pourrais pas dire si c'est mieux ou moins bien que d'autres, mais je suis ravi, ceux qui se plaignent sont difficiles, à ce prix, c'est fou toutes ces chaines, et cette collection de films et séries. Mais pourquoi je ne suis pas venu avant, au lieu de me faire ch** avec le streaming. Enfin voilà, SAV au top, et offre complète, un vendeur que je recommande et garde précieusement dans mes contacts. 🥰
    • Alors que nous peinons à déployer du 100 % fibre optique et à sortir du débit de base  mesquin de 10Mbps, ailleurs le monde scientifique travaille déjà depuis plusieurs années au réseau Internet de demain. Vous avez sûrement au moins entendu parler de la théorie physique sur laquelle il se base : la mécanique quantique. Pour résumer, il s'agit de l'étude des comportements des particules à l'échelle des atomes et plus petit. Pour la première fois, des chercheurs ont créé un système qui relie ces deux composants clés et utilise des fibres optiques classiques pour transmettre les données quantiques. L'exploit a été réalisé par des chercheurs de l'Imperial College de Londres, de l'Université de Southampton et des universités de Stuttgart et de Wurzburg en Allemagne, et les résultats ont été publiés dans Science Advances . Le co-premier auteur , le Dr Sarah Thomas , du Département de physique de l'Imperial College de Londres, a déclaré : « L'interfaçage de deux appareils clés ensemble est une étape cruciale dans la mise en réseau quantique, et nous sommes vraiment ravis d'être la première équipe à avoir pu pour le démontrer. » Le co-premier auteur Lukas Wagner, de l’Université de Stuttgart, a ajouté : « Permettre aux emplacements longue distance, et même aux ordinateurs quantiques, de se connecter est une tâche essentielle pour les futurs réseaux quantiques. » Communication longue distance Dans les télécommunications classiques – comme Internet ou les lignes téléphoniques – les informations peuvent être perdues sur de grandes distances. Pour lutter contre cela, ces systèmes utilisent des « répéteurs » à des points réguliers, qui lisent et réamplifient le signal, garantissant ainsi qu'il arrive intact à sa destination. Toutefois, les répéteurs classiques ne peuvent pas être utilisés avec des informations quantiques, car toute tentative de lecture et de copie de ces informations les détruirait. Il s'agit d'un avantage dans un sens, dans la mesure où les connexions quantiques ne peuvent être « exploitées » sans détruire les informations et alerter les utilisateurs. Mais c’est un défi à relever pour les réseaux quantiques longue distance. Mais des chercheurs ont trouvé la solution. Une façon de surmonter ce problème consiste à partager des informations quantiques sous la forme de particules de lumière intriquées, ou photons. Les photons intriqués partagent des propriétés de telle manière que vous ne pouvez pas comprendre les unes sans les autres. Pour partager l'intrication sur de longues distances à travers un réseau quantique, vous avez besoin de deux appareils : un pour créer les photons intriqués et un pour les stocker et permettre leur récupération ultérieure. Il existe plusieurs dispositifs utilisés pour créer des informations quantiques sous forme de photons intriqués et pour les stocker, mais la génération de ces photons à la demande et la disponibilité d'une mémoire quantique compatible dans laquelle les stocker ont longtemps échappé aux chercheurs. Les photons ont certaines longueurs d'onde (qui, dans la lumière visible, créent des couleurs différentes), mais les dispositifs permettant de les créer et de les stocker sont souvent réglés pour fonctionner avec des longueurs d'onde différentes, ce qui les empêche de s'interfacer. Pour créer une interface entre les appareils, l’équipe a créé un système dans lequel les deux appareils utilisaient la même longueur d’onde. Un « point quantique » produisait des photons (non intriqués), qui étaient ensuite transmis à un système de mémoire quantique qui stockait les photons dans un nuage d'atomes de rubidium. Un laser a activé et désactivé la mémoire, permettant aux photons d'être stockés et libérés à la demande. Non seulement la longueur d'onde de ces deux appareils correspondait, mais elle était également à la même longueur d'onde que celle des réseaux de télécommunications utilisés aujourd'hui, ce qui permettait de la transmettre avec des câbles à fibre optique classiques, familiers aux connexions Internet quotidiennes. L’équipe va maintenant chercher à améliorer le système, notamment en s’assurant que tous les photons sont produits à la même longueur d’onde, en améliorant la durée de stockage des photons et en réduisant la taille de l’ensemble du système. Cependant, en tant que preuve de concept, il s'agit d'un pas en avant important, déclare le co-auteur Dr Patrick Ledingham de l'Université de Southampton : « Les membres de la communauté quantique tentent activement d'établir ce lien depuis un certain temps. Cela inclut nous, qui avons déjà tenté cette expérience à deux reprises avec différents dispositifs de mémoire et de points quantiques, remontant à plus de cinq ans, ce qui montre à quel point c'est difficile à réaliser. "Cette fois, la percée a été de réunir des experts pour développer et exécuter chaque partie de l'expérience avec un équipement spécialisé et de travailler ensemble pour synchroniser les appareils."  
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