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Après la convocation de son DG par l’Arpt, Djezzy suspend son offre promotionnelle


Invité salimdz

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Invité salimdz

Après la convocation de son DG par l’Arpt, Djezzy suspend son offre promotionnelle contestée

 

Par ali idir le 04/07/2008 à 16:58

 

Djezzy a mis fin vendredi à sa nouvelle offre promotionnelle "appeler la France à petit prix". L'opérateur de téléphonie mobile a informé ses clients par SMS en annonçant "avec regret la suspension jusqu'à nouvel ordre" de sa promotion international "pour des raisons indépendantes de sa volonté". C'est la première fois en Algérie que l'opérateur égyptien annonce la suspension d'une offre promotionnelle.

Lancée le 24 juin, la nouvelle offre promotionnelle accompagnée d'une vaste compagne de publicité dans la presse écrite offrait aux abonnés de Djezzy la possibilité de téléphoner vers la France, durant cinq heures, de 11 h à 16 h, à partir de leurs portables, aux prix exceptionnels variant entre 8 et 10 dinars.

La suspension par Djezzy de son offre international serait liée à l'intervention de l'Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT). Cette dernière, comme nous l'avions révélé, avait convoqué, dimanche 29 juin, le DG de l'opérateur pour lui demander des explications sur l'offre lancée sans l'accord de l'Autorité. La nouvelle offre du premier opérateur de téléphonie mobile en Algérie, n'avait pas été agréée par l'Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT).

Après avoir « tué » la concurrence sur le marché de la téléphonie mobile grâce à l'offre à bas coût OTA, Djezzy tente désormais de s'accaparer le juteux marché que représente l'international et qui constitue l'essentiel des gains d'Algérie Télécom, l'opérateur historique de téléphonie.

Le lancement puis la suspension de l'offre promotionnelle « international » de Djezzy suscite en effet des interrogations parmi les autorités chargées du contrôle du marché de la téléphonie et les spécialistes du secteur en Algérie. Djezzy a-t-il enfreint les règles sur la concurrence en utilisant les moyens logistiques de sa maison mère Orascom (un cable téléphonique sous-marin reliant l'Afrique à l'Asie via l'Europe) pour s'emparer du marché de la téléphonie à l'international ? L'opérateur égyptien a-t-il réellement les capacités nécessaires pour accueillir de nouveaux clients et offrir des communications de qualité et moins chères à ses 14 millions d'abonnés ? Depuis plusieurs mois, le réseau téléphonique de Djezzy fait face à de fortes perturbations, avec des saturations fréquentes. En cause, la récente et controversée offre Millenium qui permet en théorie des appels gratuits à partir de 21 h et la politique de désinvestissement d'Orascom en Algérie.

source : http://www.toutsurlalgerie.com/contenu.php?id=4086

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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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