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Pioneer : Blu-ray de 16 couches et 400 Go


Invité salimdz

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Invité salimdz

Pioneer : Blu-ray de 16 couches et 400 Go

 

Lundi 7 juillet 2008 à 15:10

 

Pioneer-Blu-ray-400-Go,6-X-115593-1.jpg

 

Vous trouvez formidable de pouvoir stocker 25 Go sur un disque Blu-ray, soit plus de 38 CD ? Alors vous êtes un peu has been. Pioneer vient de dévoiler une technologie permettant de stocker pas moins de 400 Go sur les mêmes disques laser de 12 cm de diamètre.

 

Une idée simple, mais compliquée

L’idée derrière cet exploit est pourtant toute simple : si l’on peut stocker 25 Go sur une couche d’un disque Blu-ray, en empilant seize, on peut atteindre 400 Go. Aussitôt dit aussitôt fait. Ou presque. L’empilement d’autant de couches de substrat n’est pas aussi facile.

 

Chaque couche doit en effet laisser passer suffisamment de lumière pour que les couches plus profondes puissent être lues, tout en étant suffisamment réfléchissante pour que ses propres données soient lisibles. Le système de lecture doit aussi pouvoir faire la différence entre les réflexions de chaque couche, alors qu’elles réfléchissent la lumière du laser en même temps.

Le chant du cygne ?

Pioneer est manifestement parvenu à dépasser ces obstacles. Reste que l’on est en droit de douter de l’avenir commercial d’un tel disque. TDK avait ainsi montré à plusieurs reprises des disques Blu-ray huit couches de 200 Go, mais on attend toujours de les voir dans le commerce. Et l’évolution du marché de la vidéo à la demande, et des téléchargements ne présage rien de bon pour l’avenir des disques optiques préenregistrés.

 

Les disques Pioneer ont en outre l’inconvénient majeur de ne pas être réinscriptibles. Ils semblent donc plus une démonstration technologique. Si le stockage optique à un avenir, il est sans doute plus à chercher dans les disques holographiques (lire à ce sujet Les disques holographiques disponibles dans un mois).

 

source : http://www.presence-pc.com/actualite/Pioneer-blu-ray-30304/

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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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