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Pour ceux qui ne savent pas encore qui gouverne réellement l'Algérie ?


aghilas007

Messages recommandés

La double trahison des Marocains qui gouvernent en Algérie

 

LE CLAN d’oujda et les aventuriers des frontières

1-Où est le trésor du FLN historique ?

2-Où est le butin de TADHAMOUN du temps de Ben Bella ?

3-Qui a fusillé le regretté Colonel Chaabani ?

4-Qui a empoisonné Boumediene ?

5-Qui a assassiné Le jeune ministre des AE KHMISTI ?

6-Qui a piégé par deux fois Ben Yahya ?

7-La moitié de ces crimes furent tout simplement des règlements de compte entre d'anciens compagnons de combats.

«Sommes-nous vraiment gouvernés par des algériens ?» Cette lancinante question, tout citoyen qui a eu affaire à l'administration, à la justice ou au pouvoir se l'est déjà posée à maintes reprises comme un éternel refrain. Au fil des générations depuis 1962, la rumeur publique a accusé tour à tour «hizb frança» (parti de la France), les DAF (déserteurs de l'armée française), les harkis et tous les services de renseignement réunis (Mossad, KGB, CIA, DGSE, etc.) de se cacher derrière la Sécurité Militaire (SM) le cœur du pouvoir algérien.

 

Cette douteuse et malsaine impression que les dirigeants de l'Etat n'aiment ni l'Algérie, ni son peuple a toujours plané autour de la relation gouvernants-gouvernés. On a tous remarqué cette terrible malsaine habitude des membres de la nomenklatura qui, dès qu'ils n'occupent aucune fonction officielle, «fuient à l'étranger» dont ils ne consentent à revenir que pour occuper un nouveau poste. D'où les appellations de «mercenaires» ou de «coopérants» dont ils ont été affublés par les nombreux cadres algériens dont la promotion a été barrée ou sabotée par ces pontes du régime.

Les Marocains du MALG de Boussouf

La vérité vient enfin d'être révélée par un de ces hommes de l'ombre qui font et défont les institutions du pays selon leur bon vouloir. Le journal le Soir d'Algérie (1) a ouvert ses colonnes à son honorable correspondant Med Chafik Mesbah, ancien officier du DRS, qui a interviewé le colonel Ali Hamlat, ancien responsable des services techniques de la SM. D'après l'auteur, ce témoignage a été rédigé en 1999 sous le titre explicite : «Voilà comment sont nés les services secrets algériens», mais il ne le révèle que maintenant sans expliquer la raison de ce retard.

Le colonel Hamlat lève donc «le voile sur cette première promotion des cadres de la Wilaya V, dont les membres ont, effectivement, constitué, pour la plupart, l'ossature du MALG». A la question «Sur le plan social, quelle était l'origine des membres de cette promotion Larbi Ben M'hidi?», Hamlat répond sans hésitation : «Tous étaient issus, en règle générale, de familles de réfugiés, de fonctionnaires au service du gouvernement marocain ou, accessoirement, de commerçants et d'agriculteurs établis au Maroc de longue date. La petite bourgeoisie, pour utiliser une formulation marxiste».

 

Selon lui : «Le recensement effectué par l'Association des anciens du Malg a permis de situer à soixante-douze le nombre de stagiaires de cette promotion.»

 

Leur directeur de stage Khelifa Laroussi, mystérieux adjoint du mystérieux Boussouf, et père du golden boy déchu Rafik Khalifa, leur avait décrété : «Vous êtes les futurs ministres de l'Algérie indépendante!» Selon les dires du colonel Hamlat, Boussouf leur avait déjà tracé les feuilles de route du contrôle du futur Etat algérien : «La première concernait la mission de contrôle au sein des unités de l'ALN. Ce contrôle était indispensable pour maîtriser l'évolution de la lutte armée et répondre aux exigences du combat et du commandement. D'autant que la qualité de l'encadrement militaire des unités était à parfaire au regard des faibles qualifications des moudjahidine de la première heure. La seconde se rapportait à la nécessité d'exploiter utilement la masse d'informations recueillies… par tout moyen disponible. En rapport avec les transmissions, mais aussi des informations recueillies auprès de prisonniers et toute autre source susceptible d'améliorer notre capital documentaire.»

 

Le contraste du mode de vie des «malgaches» (*) reconnu par Hamlat est déjà significatif de la différence d'état d'esprit entre les moudjahidines de l'intérieur et les «planqués» de l'extérieur. «Ces lycéens et étudiants vivaient, au Maroc, dans des conditions de vie parfaitement pacifiques et heureuses. Des conditions qui étaient tout à fait déséquilibrées, cependant, par rapport à celles de leur peuple et de leurs frères étudiants qui mourraient en Algérie.»

 

Le colonel Hamlat cite quelques noms connus de cette fameuse promotion des Marocains du MALG : Hadjadj Malika, Miri Rachida, Hamid Ghozali, Abdessmed Chellali, Berri Mustapha, Mohamed Semache, Kerzabi Smail, Abdallah Khalef (Kasdi Merbah), Abdelkader Khalef (Kamal), Mustapha Khalef (Kamel), Ali Tounsi (Ghaouti), Ahmed Zerhouni (Ferhat), Hadj Azzout (Nacer), Mohamed Laâla (Kaddour), Chérif ** (Djamel), Abdelaziz Maoui (Sadek), Noureddine Delleci (Rachid), Abdelhamid Temmar (Abdenour), Abdallah Arbaoui (Nehru), Hassen Bendjelti (Abderazak), Ahmed Bennai (Hassan), Sid-Ahmed Osman (R'zine), Abderrahim Settouti (Bouzid), Khelladi Mohamed (Tahar), Boualem Bessaïeh (Lamine), Mohamed Morsly (Abdelaziz).

 

Hamlat cite aussi les noms de deux riches familles marocaines qui ont offert leurs maisons et leurs fermes pour abriter les stages du MALG. Il s'agit des familles Benyekhlef et Bouabdallah. L'un des fils Bouabdallah est actuellement le PDG d'Air Algérie.

 

Le colonel Hamlat raconte l'engouement des jeunes marocains ou soi-disant «Algériens de longue date» qui ont rejoint les cellules du FLN disséminées à travers le Maroc. En fait, la plupart d'entre eux militaient déjà dans les cellules lycéennes du parti nationaliste marocain de l'Istiqlal de Allel El Fassi. Bo^^^^^ika était même responsable de la cellule de son lycée à Oujda. Leur transfert naturel dans les rangs du FLN a été facilité par l'esprit révolutionnaire maghrébin, l'idéal du réveil musulman contre le joug colonial et l'ambition de libérer la riche Algérie dont les colons avaient fait un eldorado. Il faut rappeler que cet engouement nationaliste en faveur de la guerre de libération existait aussi à travers tout le monde arabe. Au Liban, Irak, Syrie, Egypte, etc. des jeunes manifestaient dans les rues et voulaient s'enrôler dans les rangs de l'ALN. Ce phénomène existe encore de nos jours chez les jeunes musulmans qui se sont engagés en Afghanistan, Bosnie, Tchétchénie, Irak, etc. Il est connu que de nombreux européens et arabes ont combattu aux côtés des moudjahidines de l'ALN et du FLN. Ils n'en ont pas pour autant dissimulé leur origine, comme l'ont fait en masse les marocains recrutés par Boussouf dans l'objectif de prendre le pouvoir.

 

Qui était vraiment Abdelhafid Boussouf ?

 

En lisant l'interview, on ne peut s'empêcher de remarquer que M.C. Mesbah déroule «sous les paroles» du colonel Ali Hamlat toute une démonstration savante comme si Boussouf réfléchissait déjà en 1955 comme un stratège d'aujourd'hui qui avait tout prévu. La conception stratégique et futuriste de l'opération de formation, le professionnalisme de son organisation et son déroulement, «l'intuition psychologique» de Boussouf, la «profusion de moyens dont il a pu disposer au Maroc»… prête aujourd'hui à sourire.

 

D'où donc Boussouf tenait-il ce professionnalisme et cette redoutable efficacité ? On est encore très étonné de ses choix très judicieux de collaborateurs professionnels, tous DAF, comme le «technocrate» Laroussi Khalifa, l'officier de transmission Omar Tellidji et le baroudeur Abdallah Arbaoui. Etait-il donc un «prophète» ou un génie de la formation et de l'organisation militaire ? Ou plutôt a-t-il été lui-même formé, encadré et coaché et par qui ? Pourquoi Boussouf a-t-il recruté ses stagiaires et agents uniquement au Maroc et n'a-t-il pas fait venir des volontaires de toutes les régions d'Algérie? Voilà les vraies questions que devrait poser aux autres et se poser à lui-même Chafik Mesbah dans le flot de sa phraséologie débridée.

 

50 ans et plusieurs assassinats et règlements de comptes après l'indépendance, il y en a assez de cette insupportable suffisance qui consiste pour les malgaches à faire passer Boussouf pour un génie supérieur aussi bien à toute la génération militante qui a généré le 1er Novembre, qu'à toute l'intelligentsia militaire française qui sortait d'une capitalisation militaire de plusieurs guerres.

 

Sans oublier que les leaders de la guerre de libération tombaient comme des mouches sur dénonciation ou dans des embuscades ou sur des repérages de leurs appareils de transmission fournis par la logistique de Boussouf… quand ils n'étaient pas appelés au Maroc pour y être assassinés comme le regretté Abane Ramdane. Sans compter l'énigmatique détournement d'avion qui a neutralisé cinq dirigeants historiques de la révolution qui, à part Mostefa Lacheraf, ont connu des destins très douloureux dès leur libération. Tout cela dans une étonnante impunité, ou plutôt une tolérante protection dans un Maroc sous protectorat français.

 

Les nombreux et illustres historiens français de la guerre d'Algérie n'ont pas abordé ces questions qui fâchent. Il appartient toujours aux historiens algériens de fouiller un peu mieux les méandres de notre histoire de libération… si on les laisse faire.

La Sécurité Militaire sous contrôle des Marocains du MALG

 

Pendant que les valeureux moudjahidines tombaient au champ d'honneur dans les maquis algériens, les «marocains du MALG» se formaient et s'entraînaient avec «l'armée des frontières».

 

Dès la proclamation de l'indépendance le 5 juillet 1962, le clan d'Oujda fomente son premier coup d'Etat en destituant violemment le GPRA (Gouvernement Provisoire de la République Algérienne) basé à Tunis et impose un authentique marocain à la tête de l'Etat. Ahmed ben Mahjoub ben Embarek dit Ben Bella est un marrakchi de père et de mère. Sa biographie officielle le fait naître à Maghnia, mais le culte du mensonge du pouvoir algérien est tel qu'il est permis d'en douter. Il a longtemps caché sa marocanité comme une tare avant de l'avouer publiquement. Une des impostures les plus cocasses des gouvernants algériens est à mettre à son actif. Lors de la guerre des sables de 1963 lancée par Hassan II, il s'était écrié : «Hagrouna el marrakchia!»

 

Mais durant le court épisode Ben Bella, qui fut destitué par le coup d'Etat du 19 juin 1965, et à l'ombre de Boumediene qui était ministre de la défense, les marocains du MALG ont pris toutes les commandes de la Direction de la Sécurité Militaire en la structurant. Le directeur de la SM Kasdi Merbah, assassiné en 1993, a été présenté jusqu'à aujourd'hui comme un kabyle né à Beni Yenni et ayant vécu au Maroc. C'est un mensonge d'Etat. De son vrai nom, Abdallah Khalef, c'est un authentique marocain dont la famille est originaire et vit encore à Sidi Kacem. Il a étudié à Fès où il a connu ses futurs compagnons du MALG. Il a dirigé la SM depuis sa création en 1963 jusqu'à 1979.

 

Son 1er adjoint, le colonel Nourredine Zerhouni dit Yazid est également un authentique marocain, ainsi que son frère Ferhat, également haut responsable à la SM. S'il y a bien une famille qui ne peut nier son origine marocaine, c'est la famille Zerhouni dont le nom vient du djebel Zerhoun accolé à la ville Moulay Idriss Zerhoun, située à 25 km de Meknès, devenue ville sainte depuis qu'elle abrite le sanctuaire du fondateur de la dynastie Idrisside, Idrîs Ier.

 

Malgré l'évidence de son origine, Nourredine Zerhouni continue de mentir comme il respire. Dans un récent article biographique édulcoré et narcissique sur son parcours où il se vante d'avoir enrôlé en 1962 le sous-lieutenant d'artillerie Mohamed Mediene futur général Toufik, il décrit «une enfance tunisienne (il est né en 1937 à Tunis) et une adolescence marocaine (dans la région de Fès)». (2) Le journaliste d'origine marocaine comme son nom l'indique, Chérif Ouazani, a oublié que dans un précédent article laudateur, il avait écrit 10 ans plus tôt avec un certain Mohamed Sifaoui que «Zerhouni était né en 1938 au Maroc». (3)

 

Zerhouni, bras droit de Kasdi Merbah, l'avait aidé à structurer la SM, dirigé la Direction du Renseignement extérieur (DRE), géré le contre-espionnage et créé le Service Action commandé par le sinistre Abdallah Benhamza. Ce tortionnaire, qui avait fait des aveux à la presse par la suite, était chargé de réprimer durement les opposants communistes et berbéristes. Kasdi Merbah, les frères Zerhouni, Ali Tounsi et tous les marocains formés par Boussouf et structurés dans la SM ont semé la terreur au sein de la population. Après l'éviction de Merbah, Zerhouni prend la tête de la SM de 1979 à 1982. A la suite de quoi, il fut nommé ambassadeur à Mexico puis Washington avant de prendre sa retraite en 1989.

 

Après l'élection de Bo^^^^^ika en 1999, Zerhouni le rejoignit à la présidence avec l'ambition de devenir ministre de la défense. Face au refus catégorique des généraux d'avoir leur ancien patron comme chef, il s'octroya le ministère de l'intérieur. Cela fait maintenant 10 ans qu'il sème de nouveau la terreur dans toute l'Algérie et en particulier en Kabylie, région qu'il déteste particulièrement. Il est secondé pour cela par son compatriote le marocain Dahou Ould Kablia, né en 1933 à Tanger, qui est actuellement ministre des collectivités locales. Il est aussi le président de l'association des anciens du MALG et s'est révélé être un lamentable négationniste qui s'est permis récemment de nier l'aide arabe en la qualifiant de mythe.

 

Zerhouni peut compter également sur son ami d'enfance Ali Tounsi, originaire lui aussi de la région Fès-Meknès, et qu'il a trouvé installé à la tête de la DGSN depuis 1995. Auparavant, le colonel Ali Tounsi faisait partie de l'équipe dirigeante des marocains de la SM en qualité de responsable de la sécurité de l'armée, avant d'être radié des effectifs pour délit d'homosexualité.

Afin que les policiers de base ne sachent rien du passé de leur chef, le site de la DGSN ne mentionne absolument rien sur la biographie d'Ali Tounsi.

 

Le culte du secret qui couvre le passé et le présent de la carrière des dirigeants militaires n'a pas permis aux journalistes, ni aux historiens de déceler leur véritable origine. Eux savent tout sur tous les algériens et les algériens ne savent rien sur eux. Plusieurs générations d'officiers de la SM ont fait des enquêtes d'habilitation sur les cadres de la Nation sans se rendre compte que leurs propres chefs n'étaient pas algériens.

 

On citera à titre d'exemple le cas du général Salim Benabdallah dit Slim, «né en 1938 à l'Ouest». De la même génération que Zerhouni, il a occupé des fonctions stratégiques en qualité de Directeur des Relations Extérieures au MDN de 1990 à 1996. Cette structure du renseignement coiffe l'ensemble des attachés militaires affectés dans les ambassades algériennes. En 1999, Bo^^^^^ika lui confie la direction du protocole en voulant faire de lui le maître de la sécurité à la présidence en coiffant la direction de la sécurité et la protection présidentielle (DSPP). Le DRS l'en a empêché en maintenant à la présidence un autre «Marocain du MALG» le général Hassan Bendjelti dit Abderrezak, dont le «mensonge officiel» fait croire qu'il est le seul officier supérieur originaire du sud, en raison de son bronzage prononcé.

 

On finira ce tableau par le plus illustre des marocains, le président de la république Abdelaziz Bo^^^^^ika, né à Oujda en 1937. Ancien ministre des affaires étrangères de 1963 à 1979, il a toujours menti sur ses origines marocaines. La biographie officielle le faisait naître à Tlemcen, notamment dans le document distribué aux membres de l'ONU, lorsqu'il fut élu président de l'assemblée générale en 1974. Ce n'est que récemment que l'imposture a été dévoilée sur sa naissance et sa vie à Oujda où vit encore une partie de sa famille. Le mensonge public continue à faire croire que son père serait originaire de Tlemcen ou d'Aïn-Temouchent.

 

L'aura de l'immense chef d'Etat charismatique et populaire qu'était Houari Boumediene a ravalé toute cette faune d'espions et de diplomates au rang de fourmis travailleuses à son service et au service du pays. Son sens inné des équilibres du pouvoir et son nationalisme farouche a longtemps camouflé les réelles origines de son entourage sécuritaire et diplomatique passé maître dans l'art du mensonge et de la mystification. Après son décès en 1978 (par empoisonnement selon certaines révélations), les Marocains du MALG ont connu des flottements dans l'ombre du président Chadli Bendjedid, avant d'occuper en force le devant de la scène depuis l'élection de Bo^^^^^ika en 1999.

 

L'affaire des «magistrats faussaires»

 

Le système de cooptation des nominations en Algérie a introduit de nombreux marocains dans les rouages stratégiques de l'Etat. Un des plus célèbres est l'actuel directeur de cabinet de la présidence Moulay Mohamed Guendil El Meknessi qui n'aurait acquis la nationalité algérienne qu'en 1972. Avant d'être nommé à de si hautes responsabilités par Bo^^^^^ika, il a longtemps été la cheville ouvrière du ministère de l'intérieur dont il a grimpé tous les échelons (chef de daïra, wali, chef de cabinet, directeur, secrétaire général).

 

Les «moins menteurs» de ces très hauts fonctionnaires d'origine marocaine font situer leur lieu de naissance à Tlemcen. Comme Tlemcen est une «sœur de Fès» dont les relations remontent à plusieurs siècles, avec des «mariages mixtes» entre les deux villes, la marocanité des Tlemcéniens est une évidence historique et géographique que seul le tracé frontalier colonial a pu brouiller virtuellement.

 

Deux Algériens courageux ont essayé de lever une partie du voile de cette imposture historique imposée au peuple algérien : Benyoucef Mellouk et Abderrahmane Mahmoudi.

 

Mellouk est une sorte de Don Quichotte algérien qui a révélé à ses supérieurs l'affaire des «magistrats faussaires» dès 1986. Alors qu'il était chef du service contentieux au ministère de la justice, il a découvert des anomalies dans le passé et la carrière de certains magistrats originaires du Maroc et en a déduit que les diplômes et attestations d'anciens moudjahidines figurant dans leurs dossiers étaient faux. Il détient toujours 132 dossiers et une liste de 328 noms d'imposteurs qu'aucun responsable algérien ne veut voir. Il a été jeté deux fois en prison.

 

Abderrahmane Mahmoudi a quant à lui été le seul journaliste courageux qui a écouté Mellouk et rendu publique cette affaire en 1992, une très mauvaise année malheureusement. Mahmoudi fut d'abord jeté quelques mois en prison en même temps que Mellouk, puis placé sous contrôle judiciaire durant plusieurs années. Il fut contraint de fermer son journal l'hebdo Libéré après l'attaque d'un «commando terroriste» qui a mitraillé trois de ses employés dont son frère.

 

Mahmoudi est décédé en février 2007 des suites d'un cancer foudroyant. Quant à Mellouk, il continue à vivre une insupportable pression psychologique en prêchant dans le désert de la presse algérienne et en frappant à des portes qui ne s'ouvrent jamais, surtout celle de la présidence.

 

La double trahison des Marocains du MALG

 

On comprend mieux maintenant l'impuissance et l'illégitimité de Bo^^^^^ika, Zerhouni, des ministres marocains et même des «Marocains du MALG» face à l'omnipotence de l'appareil du DRS. L'importation des réflexes makhzéniens et d'allégeance ont construit autour de la SM un système qui s'est auto-bloqué. (4) Seul un séisme de forte intensité dans une faille du système peut débloquer les faux rapports de force qui s'annulent. Cette faille s'appelle aujourd'hui le général Toufik qui a jeté le déshonneur et l'opprobre sur toute l'armée avec toutes les exactions ignobles qu'il a commises depuis 18 ans. Tout le monde attend qu'il démissionne ou qu'il se suicide après la révélation de l'énorme scandale de l'enlèvement et l'assassinat des moines de Tibhirine, comme tout soldat qui doit assumer seul l'infamie de ses actes.

 

50 ans après l'indépendance, on peut mesurer aujourd'hui les dégâts de la double trahison des Marocains du MALG à l'égard de leurs deux pays. Ils ont érigé un mur d'incompréhension et de camouflage entre les Algériens et les Marocains, deux facettes d'un même peuple. A tel point qu'il y a quelques malheureux kabyles qui se croient encore seuls au monde au fond de leur puits et ignore que le Maroc est peuplé d'authentiques berbères. Au lieu de revendiquer une illusoire «autonomie de la Kabylie», ils seraient plus inspirés d'aller rendre visite à leurs frères jumeaux du Maroc et de militer pour une «Union du Maghreb Berbère». Le mensonge, l'imposture et le maintien dans l'ignorance du peuple algérien est un crime de haute trahison.

 

Mais la plus grave trahison qu'ont commis ces Marocains qui gouvernent en Algérie s'est faite et continue à se faire envers leur propre pays. Il ont d'abord commis le double crime des diasporas de 1975. Le soutien militaire et logistique au front Polisario a provoqué un exode massif de sahraouis vers Tindouf. A ce jour, près de 160.000 Sahraouis sont dispersés dans six camps de toile distants les uns des autres de plusieurs kilomètres en plein désert. Des Sahraouis naissent et grandissent dans ces camps et sont abrutis par la chaleur aride et une propagande d'un autre âge. Cela fait plus de 30 ans que ça dure sans aucun espoir de solution. Et cela fait aussi plus de 30 ans que le Polisario est toujours dirigé par le marrakchi Mohamed Abdelaziz, considéré par les Marocains comme un imposteur et un renégat.

 

L'autre crime a été la déportation violente en 1975 de 40.000 familles marocaines (300.000 à 350.000 personnes) qui vivaient en Algérie et ont été expropriés de leurs biens. En référence à la Shoa juive, les marocains déportés appellent ce crime la Chouha de 1975, ce qui veut dire grande honte en dialecte marocain.

 

Enfin une des hautes trahisons des Marocains au pouvoir à Alger est cette fermeture de la frontière terrestre depuis août 1994, qu'ils refusent toujours d'ouvrir malgré les demandes insistantes de leurs frères du Maroc.

 

Le fils du général de Gaulle a rapporté dans son dernier livre «Mon père De Gaulle», une confidence lourde de sens faite par son père : «Nous avons laissé 140.000 harkis infiltrés dans les rangs de l'ALN». Etait-ce au nez et à la barbe du «génie» Boussouf et de ses «Marocains du MALG».

Algerie est gouverne par les marocains ( boussouf,ben bella, bo^^^^,zerhouni ,ouled kablia,ali tounssi .Khelifa Laroussi.....etc )

L'origine de ces actes de propriétés est plus que douteux. Generalement ce sont des Marocains algeriens au sein de l'armée française qui avaient béneficie de previlleges de la part de la france pour service rendu à la mére patrie.

Pour cette raison à l'indépendance du maroc en 1956 ces algeriens ont été exproprié de leur terre .Ces derniers étaient naturalisés français. On les avaient considéré comme des colons.

Ces Marocains algeriens du MALG en 1962 ont fait main basse sur le rouages de l'Etat. En s'octroyant les ministeres , la sécurité militaire et le parti du FLN plustard

 

ben belle est d'origine marocaine et il a été le premier président de notre chère patrie, oui bo^^^^, medeghri, kasdi, khemisti, ould kablia et la liste est longue sont tous d'origine marocaine et qui ont pris la nationalité algérienne et ont même changé leur noms pour d'autre comme feu le minstre abdelghani à l'indépendance il était un snp et il a pris le nom de abdelghani , les zarhouni, les harchaoui les zenasni les moulay et d'autres sont tous originaire soit de tanger , meknès, fès, marakech ou de oujda

 

Moulay Mohammed Almknasi (zerhouni)", qui ne se produisait pas seulement sur l'Algérie natinalite année 1972, tous les Faisron à rester pauvres relations avec le Maroc, et la frontière entre les deux pays, fermée depuis août 1994, l'expulsion de 40 mille familles, un marocain en 1975 (environ 350 mille marocains) comme il l'a fait avec les Palestiniens, les ^^^^^^^^s (..) et de fournir un appui pour Boleezzario Ces marocaine règle de l'Algérie, le Maroc, engagé dans la trahison à l'encontre des intérêts de l'Algérie et le Maroc).

 

Zerhouni est né au Maroc ainsi que son frere qui est colonel dans l'armée algerienne, sa soeur el mansouria est mariée à Benmoussa un ahfirien vivent à KENITRA.

GHRIB l'ex ministre de l'industrie lourde en algerie est ahfirien.

BELHAJ ex directeur du cabinet de boumediene est né à berkane et a vécu beaucoup à ahfir ( 19 km ) ou ses parents avaient des fermes et terrains agricoles.

RAHHAL né à ahfir et ex ambassadeur de l'algerie.

AIDOUNI ex ambassadeur au MALI et ailleurs né à AHFIR.

CHERROUD ex coordinateur du parti FLN , Ahfirien.

FAHIM ex haut responsable au ministere de l'education nationale, ahfirien.

FKHIKHER Benamer, ex haut responsable au ministere de l'interieur, ahfirien.

OULHASSI KOUDER, grand ecrivain, ahfirien.

GAAMOUSSI Abdelwahab, ex haut responsable au ministere des finances ( douanes ), ahfirien.

TOU Mohamed ex directeurs des souks el fallah.

MOUKAHLI Med et LARBI ex cadres de l'armée allgerienne, ahfiriens.

HAROUNI Abdelmajid, ex officier superieur, tué pendant la mutenerie de ZBIRI .

Et d'autres plus ou moins importants les uns que les autres que je n'ai pas en tete.

A leur tete si Bo^^^^^ika el ouejdi.

Source anonyme(haut cadre de l'etat)

 

Mohamed boukharouba dit Houari Boumedian qui a changé son nom est un Nadori Marocain de père et de mère... il n'a aucun diplome

 

 

Source : http://forum.actudz.com/topic15832.html

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Vous ne cesserez jamais de nous étonnez avec vos articles a deux balles a la (source inconnue).

Ya khouya si vous désirez poster prenez exemple sur Hicham: traite son texte "article", corrige les erreurs, s'assure de poster des informations pertinentes mais surtout avec une source connue par souci d'authenticité et éviter tous amalgames ou sottises tel que cet article digne d'être un polar.

Salutations.

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salam

c'est bizarre tout ça !!!!!! alors j'en conclue que seul les kabyles (excepté kasdi merbah) qui soient d'authentique algériens !!???

le jour ou quelqu'un nous donnerais une étude historique fiable sur les déplacements des populations sur le territoire algérien,pour savoir qui est qui :pride:

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@aghiles007 : j'apprécie votre geste mais un forum n'a jamais été une source d'une quelconque information et particulièrement le nom de ce forum est déjà douteux.

 

c'est comme si j'écrivais un article sur forumdz et après quelqu'un sur un site ou un autre forum va le publier en disant , Source : forumdz :D

 

et dans ce forum celui qui a publié ça n'a pas mis de source , et si il l'a inventé ??

 

j'ai essayer de faire quelques recherches et les seuls endroits où cette article apparait c'est les forums algérien et tunisiens et sur facebook (reprise de l'article de "Alladin") donc la seule source de cette article c'est ce fameux "Alladin" dont on connait rien de lui.

 

si un article n'a pas été relayé par au moins un quotidien national ou étranger ou même par un site d'information alors .... il est pas crédible.

 

Les sites d'informations réputés qui se respectent mettent toujours la source de l'information , s'ils ne mettent pas alors ça vient d'eux malheureusement beaucoup de sites ne mettent pas la source et ça fausse un peu les gens, mais c'est pas grave quand ça parle de la 3G ou d'internet ou de technologie mais quand ça concerne la politique et tout il faut obligatoirement mettre la source.

 

+ le Sujet date du 14 mai 2009 (4 ans), en algérie on sait même pas ce qui se passe dans le présent et vous voulez qu'on traite une information datant de 2009 ??

 

si vous désirez poster prenez exemple sur Hicham: traite son texte "article", corrige les erreurs, s'assure de poster des informations pertinentes mais surtout avec une source connue par souci d'authenticité et éviter tous amalgames ou sottises tel que cet article digne d'être un polar.

Salutations.

 

c'est très gentil de reconnaître mon travail, et oui je ne fais pas que copier un Article, je lui donne une âme , il m'est arrivé plusieurs fois d'apporter ma propre contribution et corriger certains articles de leurs sources, pas plus loin qu'hier j'ai corrigé le Journal "TSA-Algérie" sur Chakib Khelil ils ont fait une erreur un peu trop voyante mais ils ont directement corrigé à ma demande. malheureusement je ne peux poster un article et le corrigé moi même sur le forum c'est contraire à l'éthique et le respect des droits de l'auteur même si l'article ne vient pas de lui.

 

il est impossible de faire un copier-coller et poster le message sur un forum, je le déconseille à tout le monde , c'est moche , la mise en forme de chaque site diffère et quand vous la copier sur l'éditeur WYSIWYG du forum ça donne un résultat mauvais, il faut apprendre la mise en forme et corriger chaque article en utilisant la fonction de "prévisualisation".

 

il m'arrive de mettre 10 minutes pour poster un Article et pourtant c'est du copier-coller. mais le résultat est que tous les Articles que vous prenez ils ont tous la même mise en forme au millimètre près et c'est très beau à voir même plus beau que l'article d'origine :)

 

si y a des volontaires et veulent contribuer au forum, je m'engage à leur donner quelques tuyaux et même quelques liens utiles, ça serait toujours bon pour les membres de voir d'autres gueules autre que la mienne face-wink.png

 

N'ayez pas peur du bouton dh8r.jpg

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  • Modérateurs

moi je pense plutot qu'on est gouvernés , par des extra terrestres, ils sont tres intelligents, la preuve de leur intelligence superieure , c'est qu'ils ont choisis le seule peuple au monde qui parle beaucoup, meme un peu trop, et ne fait rien, il attends un miracle , l'avantage avec nous par rapport aux autres nations, c'est qu'ils n'ont pas besoin d'un plan trés élaboré , ils laissent faire

 

c'est une théorie certes, mais pas plus stupide que celle cité plus haut

 

si vous avez d'autres théories, partagez les on va se marrer

Modifié par 1conito
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moi je pense plutot qu'on est gouvernés , par des extra terrestres, ils sont tres intelligents, la preuve de leur intelligence superieure , c'est qu'ils ont choisis le seule peuple au monde qui parle beaucoup, meme un peu trop, et ne fait rien, il attends un miracle , l'avantage avec nous par rapport aux autres nations, c'est qu'ils n'ont pas besoin d'un plan trés élaboré , ils laissent faire

 

c'est une théorie certes, mais pas plus stupide que celle cité plus haut

 

si vous avez d'autres théorie, partagez les on va se marrer

 

les preuves??

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Mohamed boukharouba dit Houari Boumedian qui a changé son nom est un Nadori Marocain de père et de mère... il n'a aucun diplome !!!

 

ouff 3yana batel si j’avais lu cette dernière phrase ,au debut . je cherche pas a lire cette article qui dit n'importe koi . boumedienne marocain !! wallah 3jeb . n’importe koi

 

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    • bonjour pour ma part sur tv samsung sous Tizen , iptv smarters pro marche bien
    • 2021 Associated Press Novice of the Year and Samuelsson Go To Nigerian Dining Establishment In NYCNew York Liberty ahead Michaela Onyenwere, 2021 Associated Press Newbie of the Year, goes to a Nigerian dining establishment in Brooklyn with prize-winning cook, business owner, writer and food activist Marcus Samuelsson on the most recent episode of Home Plate, the brand-new original shows series on the YES App, the YES Network's main this installment of Home base, Onyenwere, whose parents hail from Nigeria, and Samuelsson see Buka restaurant in Brooklyn, which concentrates on Nigerian cuisine. While there, she talks about with Samuelsson and Buka owner/chef Lookman Afolayan her hoping for home-cooked Nigerian meals and her interest for Nigerian society. Onyenwere also chats regarding fashion and her own line of by Samuelsson, Home base includes his coordinating with players from the New Yankees, Brooklyn Nets, New York Liberty and New York City FC, along with with celebs. Together, they check out New York City dining establishments focusing on food from the visitors' corresponding societies and family members heritages Esmery Martinez Jersey. The collection highlights the diverse societies and various foods represented in New York City restaurants, with Samuelsson and his guests discussing the vital duty that food has actually played in their is a brief clip from the YES App's Home Plate series is available to confirmed YES subscribers. The application can be downloaded and install below.
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