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Autorisation pour fournisseur de service VoIP


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Salam,

 

J'ai deux questions qui me travaillent :

 

1) Est-ce qu'une société qui n'est pas Opérateur peut eller demander une autorisation pour proposer des services voix sur IP sur le marché Algérien.

 

2) Si oui, quel est le coût des ces autorisations.

 

Par avance Merci de m'éclairer.

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Merci Khaled :)

 

Paiement de la redevance :

Partie fixe d’un montant de Trente Millions de Dinars (30.000.000 DA), que les opérateurs sont tenus de payer dés la délivrance de l’autorisation .

Partie variable annuelle calculée sur la base du taux de 10% sur le chiffre d’affaire de l’opérateur.

 

 

J'ai déjà eu un retour de mail avec le fameux chiffre (30.000.000 DA, soit 3 Milliards de centimes !!!)

 

Bled chkara hlib yekhi !!

 

Si j'avais 3 millards de centimes..........

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Merci Khaled :)

 

 

 

J'ai déjà eu un retour de mail avec le fameux chiffre (30.000.000 DA, soit 3 Milliards de centimes !!!)

 

Bled chkara hlib yekhi !!

 

Si j'avais 3 millards de centimes..........

 

ya une autre solution:

 

avoir un site internet et bien preparer les offres et avoir bien sur des founrisseurs en beton, ensuite tu fait ta vente sans etre oblige d'etre inscrit au RC et faut juste faire du marketing et bouche a oreille,d'ailleurs moi aussi j'aimerai aussi offrir aux algeriens de la telephonie voip et surtout DIDqui est un concept pas mail pour le vendeur vu que ya un abonnement mensule et aussi pas mal pour l'acheteur qui beneficie d'un numero du pays ou il veux appeller ou etre appelle au prix d'une communication locale.

 

si t'est interesse par un tel projet avec moi, je pourrai parler aux vendeurs voip en wholesale pour nous faire de bons prix,par contre si tu veux avoir tes propre serveurs de voip genre asterisk et faire un travail plus contraignant, je serai pas tres interesse:)

 

think about it, man!

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Salam,

 

Merci pour ces infos et la proposition, mais je pensais travailler sur du Asterisk, et dénicher un pool de trunk par ci et par là :p

 

Mais bon, comme je voulais faire ça dans la légalité, je vais arrêter là.

 

J'ai déjà essayé d'ouvrir un callshop en 2008, à l'époque prix imbattable de Budget Telecom, mais j'avais avorté le projet en ayant un petit échange avec qui vous savez, question de sureté nationale à ce qu'il parait :D Bled miki, comme si les communications cryptées de Skype étaient contrôlées par notre gouvernement :D

Modifié par mouradski
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Bonjour,

pour reprendre et répondre à tes question:

1- Oui il faut être un ISP pour avoir une demande de d'autorisation voip.

2- les conditions administratifs sont : capital de 40 000 000 DA libéré et versé une caution non remboursable (invention Algérienne) de 30 000 000 DA.

 

sur les papier ça parait simple, sur le terrain, c'est un combat de titans, car même si tu as une autorisation Voip (le cas d'ICOSNET, ANWARNET et SLC) tu ne peux pas faire de la vrais TOIP sur les réseaux IP d'AT (ADSL) le seul fournisseur grand publique, l'ARPT va t'obliger à le faire sur ton propre réseau, et pour ça, ils vont te donner une autorisation d'exploitation wimax, après il faut courir avec l'Agence nationale des fréquences pour avoir CES fréquences, une fois ces fréquence en poche et ton réseau wimax on air, ta minute que tu achète à 1 centime d'euro coûte déjà 4 da, donc, pas rentable.

 

pour avoir de la rentabilité, il faut faire de la terminaison, sauf qu'ici, tu vas aussi faire face à la loi impitoyable des opérateurs (GSM et Fixe).

 

à titre d'exemple, AT vends à l'international sa minute à 0.035 € et pour toi à 7 Da quand il s'agit du même trafic international donc pas vendable.

 

pour avoir une idée plus précise, tu pourras consulter les catalogues d'interconnexions des opérateurs, qui seront publier début septembre.

 

en Janvier dernier un projet de loi a était mis sur la table du gouvernement et des députes (zaama) afin de réformer la première loi des dérégulations du secteur (loi 200-03), cependant, on est en septembre et rien n'est encore fait. l'avantage pour les opérateurs VoIP et ISP de cette nouvelle loi, est le dégroupage qui peut éviter de lourds investissements en équipements wimax.

 

bonne journée.

Modifié par courtois
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Bonjour Mourad,

il ne faut jamais abandonner, mais une petite participation dans le domaine, n'importe laquelle, serait la bienvenue.

 

attendre la nouvelle loi et ça va être plus claire, sur la loi 2000-03 il y a les opérateurs par déclaration et pas par autorisation, la différence est infime, mais elle peut apporter un changement.

 

merci d'avoir mis le sujet en publique, car il y a que les concernés qui sont au courant.

 

cordialement.

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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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