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MARADONA : Un invité de marque pour lancement officiel de la 3G chez Mobilis


Samir_dz

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  • Administrateurs

Mobilis organisera à partir de 15h une conférence de presse au niveau de son siège pour le lancement officiel de la 3G, d’après les dernières informations, un invité de marque sera présent pour le lancement de cette nouvelle technologie tant attendu des Algériens.

Diego Armando Maradona sera l’invité de marque choisi par Mobilis, afin d’être présent lors du lancement officiel de ces 3G, Maradona vient d’arriver à l’Aéroport Houari Boumedien.

Ooredoo a invité Lionel Messi pour le changement du nom commercial de Nedjma, maintenant c’est au tour de Mobilis d’invité une autre star mondiale du football, Diego Maradona pour le lancement officiel de la 3G pour l’opérateur Algérien.

 

http://www.android-dz.com/lancement-3g-mobilis-algerie-ooredoo-maradona/

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Cherchez tous les mots 3G associés à n'importe quel pays que vous voulez , vous trouverez y a Rebbi 2 ou 3 articles et ça parle de Lancement , en Algérie ça fait 2 ans qu'on écrit des articles sur la 3G , on a atteint 1000 articles sans problèmes , c'est l'affaire du siècle !

 

La 3G en Somalie kayen 1 article ça parle de lancement c'est tout , ils ont pas fait tout ce tantana.

 

Zimbabwe quand ils ont lancé la 4G (oui pardon j'ai oublié de prévenir les âmes sensibles , ouiiiii Zimbabwe 3endhoum la 4G) , ils ont pas fait la fête !

 

au passage .... Bienvenue Maradona dans notre jolie pays :p

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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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