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App localisation telephone sans Gps


hotsauce3

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Bounjours a tous

bon voila je dois realiser une application mobile et je voulais savoire si il est possible de localiser un téléphone qui n'a pas de GPS , on m'a parler de localisation GSM , et si c'est possible de m'orienter vers des cours ou des documentation

 

et si c'est oui, Est-ce que c'est possible de faire ca avec une web app (multi plateforme) ou juste en natif (java pour androide) ?

Modifié par hotsauce3
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salam hotsauce, pour géolocaliser un téléphone mobile sans GPS ou wifi, tu peux utiliser la triangulation GSM , mais dans se cas, il te faut le support de l'opérateur, qui est seul capable de te donner cette info.

 

il peut trianguler sur une BTS, voir sur plusieurs BTS et le mieux c'est par BTS + par distance (ping/echo).

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salam hotsauce, pour géolocaliser un téléphone mobile sans GPS ou wifi, tu peux utiliser la triangulation GSM , mais dans se cas, il te faut le support de l'opérateur, qui est seul capable de te donner cette info.

 

il peut trianguler sur une BTS, voir sur plusieurs BTS et le mieux c'est par BTS + par distance (ping/echo).

oki pour la localisation GSM il faut le support de l'opperateur est ce que c'est faisable

 

j'ai un peu chercher on m'a dis que je pouvais localiser le telephone avec GPS avec et un accées a internet avec l'api de google maps et c'est même intégrer dans phonegapp

Modifié par hotsauce3
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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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