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MBA IP Ooredoo


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Un programme tricéphal, un enseignement local reconnu

 

Créé en 1998 à la faveur d'un partenariat entre les deux prestigieux pôles universitaires parisiens de gestion, l'IAE de Paris et l'Université Paris-Dauphine, le MBA International Paris, fort de ses 1200 diplômés, constitue désormais une véritable référence internationale.

 

Aujourd'hui implanté en Algérie, Egypte, Liban, Maroc, Océan Indien, Sénégal, Syrie et Tunisie, avec à chaque fois un partenaire local de renom, ce diplôme généraliste ou spécialisé est dispensé tant en français qu'en anglais.

 

L'objectif de cette formation diplômante de niveau Master est de répondre au besoin croissant de formation au management de cadres en activité dans de nombreux pays à fort développement.

 

Destiné à des cadres en activité dans les pays partenaires, il se déroule en part-time, afin de faciliter la poursuite de l'activité professionnelle des étudiants. En effet, ce sont les professeurs des deux universités françaises qui se déplacent pour animer les sessions de formation, tout en prenant appui sur le corps professoral local. Le recrutement des étudiants est organisé localement.

 

Les 10 atouts du MBA International Paris

 

Chaque année, 300 managers obtiennent ce MBAIP et évoluent vers des postes clefs dans de grandes organisations internationales et locales. Ils sont aujourd'hui incontestablement les garants du succès du MBAIP.

  • Programme executive, en part-time,
  • Certification reconnue grâce à un diplôme délivré par deux universités françaises de renommée internationale,
  • Perfectionnement des compétences managériales,
  • Réelle valorisation des expériences antérieures,
  • Co-animation par des équipes enseignantes internationales,
  • Combinaison performante du présentiel et de la distance,
  • Intranet dédié,
  • Approche internationale du management,
  • Appui local au travers d'un partenaire de renom,
  • Mondialisation du réseau des partenaires.

 

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  • Messages

    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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