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35 accessoires incroyables qui ont vraiment existé, pour consoles (et PC)


LARSID

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R.O.B. (Robotic Operating Buddy) est un robot destiné à la console NES de Nintendo. Sorti en 1982, il était livré avec deux jeux. Fait notable, il est assez compliqué de faire fonctionner ce robot actuellement : la liaison entre ce dernier et la console est effectuée via des flash à l'écran, synchronisé sur le rafraîchissement de l'image, et il est donc inutilisable sur les écrans LCD. Le robot a été vu dans plusieurs jeux Nintendo comme Starfox, Mario Kart DS (il est même jouable) ou dans un jeu de notre prochain accessoire, le Game Boy Camera.

 

 

 

 

 

 

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Le Game Boy Camera

En 1998, Nintendo a sorti un appareil photo numérique pour le Game Boy, le Game Boy Camera. L'appareil proposait une définition de 0,01 mégapixel (128 x 112) et des images en 4 nuances de gris. Elles étaient stockées dans une mémoire SRAM de 128 ko, capable de stocker 30 images. Nintendo a proposé en parallèle une imprimante, nous allons en reparler. La caméra était livrée avec quelques petits jeux dans la cartouche.

 

 

 

 

 

Modifié par LARSID
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Le Virtual Boy est une console de jeux vidéo créée par Nintendo et sortie en 1995 au Japon et aux États-Unis, se présentant sous la forme d'un casque de réalité virtuelle.

 

Tentant l'innovation avec un affichage stéréoscopique, la console est finalement un échec commercial. Malgré plusieurs baisses de prix, les ventes ne décollent pas et la console ne sera jamais commercialisée en Europe. Le projet est alors abandonné par Nintendo en 1996.

 

Le Virtual Boy est la console la moins vendue dans l'histoire des consoles de jeu vidéo de Nintendo, avec 770 000 unités vendues.

 

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Modifié par youcef17fr
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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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