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An-Nawwas bin Sam’aan a rapporté que le prophète Mohammed (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) a dit :

« La piété équivaut au bon caractère; et le péché est ce qui tourmente votre conscience et que vous ne voulez pas que les gens sachent. » (Sahih Mouslim)

An-Nawwas bin Sam’aan était un des compagnons du Prophète. Il appartenait à la tribu arabe de Kallaab et s’installa en Syrie après la mort du Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui).

 

 

Cette narration a été recueillie par un spécialiste de hadith nommé Mouslim bin Hajjaj, né en 817 de notre ère dans la ville de Naishapour, au nord-est de l’Iran, et mort en 875 à l’âge de 58 ans. Mouslim a commencé à étudier les hadiths à l’âge de 15 ans et a voyagé en Irak, au Hijaz (Arabie Saoudite occidentale), en Syrie et en Égypte pour étudier avec de grands spécialistes du hadith comme al-Boukhari, Ahmad ibn Hanbal, et d’autres. Il a rédigé une compilation de plus de 9200 hadiths connue sous le titre de Sahih Mouslim. Les érudits musulmans considèrent cette compilation comme la plus authentique après Sahih al-Boukhari.

 

 

Cette narration est importante car elle révèle certains aspects plus subtils de la piété et du péché, nous aidant à les définir avec plus d’exactitude. Comme l’islam accorde une très grande importance au fait de croire en un seul Dieu et de L’adorer de façon exclusive, on pourrait croire que cela suffit à rendre une personne pieuse. Mais ce hadith indique que l’une des principales conséquences d’une foi correcte et sincère est le bon caractère et qu’il s’agit d’un aspect intrinsèque de la définition de la piété. Ce hadith met l’accent sur le sens profond du verset ci-dessous où Dieu affirme que la piété, en plus d’être une combinaison de croyances justes et de rituels d’adoration, consiste également en un comportement approprié dans nos relations avec les autres :

 

 

« La piété ne consiste pas à tourner vos visages vers l’Est ou l’Ouest ; mais pieux est celui qui croit en Dieu et au Jour dernier, aux anges, au Livre et aux prophètes, et qui donne ses biens, par amour pour Dieu, à ses proches, aux orphelins, aux indigents, aux voyageurs, à ceux qui demandent (de l’aide) et pour libérer des esclaves ; [et pieux est celui] qui observe assidûment ses prières et qui paie la zakat. Et [sont pieux] ceux qui respectent leurs engagements lorsqu’ils s’engagent, et ceux qui sont patients en période de tribulations, d’adversité et de grande tension. Les voilà, ceux qui sont sincères et les voilà ceux qui craignent vraiment Dieu. » (Coran 2:177)

Plutôt que d’être une fin en soi, l’un des principaux objectifs de l’adoration est de faire naître chez les gens des qualités qui leur seront bénéfiques, à eux personnellement, de même qu’à la société en général. Dieu dit, au sujet de la prière :

« Certes, la prière préserve de l’indécence et des actes d’injustice. » (Coran 29:45)

 

 

Nous pouvons donc dire sans risquer de nous tromper que l’islam a été révélé pour parfaire les bonnes manières. Le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) a dit :

« J’ai été envoyé pour parfaire les caractères et les ennoblir. » (Sahih Mouslim)

Comme l’islam n’est pas qu’une religion, mais un mode de vie complet touchant à tous les aspects du quotidien, les bonnes manières sont considérées comme une forme d’adoration qui peut mériter la même rétribution que d’autres actes d’adoration volontaires. Le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) a dit :

« Par ses manières et son bon comportement, le croyant peut atteindre le statut d’une personne qui jeûne fréquemment et qui se lève la nuit pour prier. » (Abou Daoud)

Le Prophète a même affirmé qu’il s’agissait d’une des meilleures formes d’adoration venant immédiatement après les actes obligatoires :

« Au jour de la Résurrection, rien ne pèsera plus lourd (en bonnes actions) dans la balance du croyant que le bon comportement. Dieu déteste ceux qui jurent et qui hurlent des obscénités. » (Abou Daoud, at-Tirmidhi)

En possédant de bonnes manières, le musulman, serviteur de Dieu, devient cher aux yeux de Celui-ci. Le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) a dit :

 

 

« Les serviteurs de Dieu qui sont le plus chers à Ses yeux sont ceux qui possèdent les plus belles manières. » (al-Hakim)

Le musulman qui réalise l’importance du bon caractère et qui comprend que ce dernier définit en partie la piété sait également qu’il doit travailler sur cet aspect de sa foi; car si le bon caractère est absent de sa personnalité, il ne deviendra pas « pieux » simplement en croyant et en adorant Dieu.

Mais que considère-t-on comme un bon caractère? Le Coran et la sounnah le définissent comme toute qualité qui est bénéfique aux humains, à celui ou celle qui la possède comme à autrui, tout en n’étant pas réprouvée par l’islam, de manière générale ou spécifique. Dieu dit, dans le Coran :

« ... [ceux] qui contrôlent leur colère et qui pardonnent à autrui. Dieu aime les bienfaisants. » (Coran 3:134)

 

 

La piété, c’est traiter de façon juste, honnête et polie les membres de sa famille. Le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) a dit :

« Les croyants dont la foi est la plus parfaite sont ceux dont la conduite et les manières sont les plus parfaites. Et les meilleurs d’entre vous sont ceux qui se comportent le mieux envers les membres de leur famille. » (at-Tirmidhi)

La sincérité est un aspect essentiel du bon caractère. Le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) a dit :

« En vérité, la sincérité et la piété vont de pair; et la piété mène au Paradis. » (Sahih Mouslim)

Ce ne sont là que quelques exemples des nombreux textes qui exhortent les musulmans à parfaire leurs manières et leur caractère. Bien que la piété soit définie par ces actions qui sont naturellement agréables et acceptables à la conscience humaine, la religion joue un rôle essentiel dans cette définition. Par exemple, toute chose dont l’aspect négatif l’emporte sur l’aspect positif ne peut faire partie de la piété, même si certains la considèrent bonne et pieuse. Par exemple, le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) a dit :

« Ce n’est pas de la piété que de jeûner en voyage. » (Sahih al-Boukhari)

Bien que le jeûne soit l’un des actes les plus méritoires qui soient, dans ce cas-ci, il n’est pas considéré comme un acte de piété, car il risque de nuire à l’individu, de même qu’à ses compagnons de voyage.

 

 

Par ailleurs, un acte qui est parfois considéré comme sévère peut être considéré comme bénéfique dans certaines circonstances, comme le fait de frapper un enfant d’un certain âge pour l’éduquer. Le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) a dit :

« Dites à vos enfants de prier lorsqu’ils ont sept ans et frappez-les [s’ils refusent de prier] lorsqu’ils ont dix ans... » (Abou Daoud)

C’est pour cette raison que lorsque vient le temps de définir les bonnes manières et le bon caractère, nous devons nous en remettre à ce qui a été révélé par Dieu et mis en pratique par le Prophète, car Dieu a dit :

« Tu es certes, [ô Mohammed], d’un caractère exceptionnel. » (Coran 68:4)

Dieu a également dit :

« Vraiment, vous avez dans le messager de Dieu un excellent exemple (à suivre)... » (Coran 33:21)

On interrogea ‘Aisha, l’une des épouses du Prophète, sur le caractère de ce dernier. Elle dit :

« Son caractère, c’était le Coran. » (Sahih Mouslim, Abou Daoud)

 

https://www.youtube.com/watch?v=dDUkdjfYBT0

 

 

https://www.youtube.com/watch?v=Q8XHZXJUa2I

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La hijrah, en l’an 622

 

Pendant que les musulmans fuyaient la Mecque par petits groupes, le Prophète, en compagnie de quelques proches, attendait l’ordre divin qui lui permettrait d’aller rejoindre les autres à Yathrib. Quand l’ordre descendit enfin, il donna son manteau à Ali et le fit étendre sur son lit de sorte que quiconque aurait l’idée de regarder à l’intérieur croirait le voir, lui. Les assassins devaient frapper au moment où il sortirait de chez lui, durant la nuit ou tôt le matin. Il savait qu’ils ne feraient aucun mal à Ali. Ils entouraient déjà sa maison lorsqu’il en sortit en douce, sans être vu. Il se rendit chez Abou Bakr et ils allèrent tous deux se réfugier dans une caverne située dans une montagne déserte; ils y restèrent cachés jusqu’à ce que l’agitation et les clameurs s’estompent. À la tombée de la nuit, le fils, la fille et le berger d’Abou Bakr leur apportaient de la nourriture et les informaient des dernières nouvelles. Une fois, un groupe de recherche ennemi passa si près de leur cachette qu’ils arrivaient à saisir leurs paroles. Abou Bakr eut peur et dit : « Ô Messager de Dieu! Si l’un d’eux vient à regarder vers le bas, il nous verra! » Mais le Prophète répondit :

 

« Que penses-tu de deux personnes dont le troisième compagnon est Dieu? Ne crains rien, car Dieu est avec nous. » (Sahih al-Boukhari)

 

Lorsque le groupe de recherche s’éloigna, Abou Bakr envoya demander qu’on apporte des chameaux et un guide à la tombée du jour, puis ils entreprirent le voyage jusqu’à Yathrib.

 

Après avoir voyagé durant plusieurs jours en empruntant des chemins peu fréquentés, ils atteignirent une banlieue de Yathrib appelée Qoubaa. À cet endroit, comme les gens avaient entendu dire que le Prophète avait quitté la Mecque, ils sortaient chaque matin, grimpaient sur les collines pour guetter au loin sa venue, jusqu’à ce que la chaleur insupportable les force à rentrer. Le Prophète et ses compagnons de voyage arrivèrent en milieu de journée, après que les gens se soient retirés chez eux. Un ^^^^ qui était à l’extérieur les vit approcher et informa les musulmans que ceux qu’ils attendaient étaient enfin arrivés. Les musulmans sortirent les accueillir.

 

Le Prophète resta quelques jours à Qoubaa, où il établit les fondations de la première mosquée de l’histoire de l’islam. Entre-temps, Ali, qui avait quitté la Mecque à pied trois jours après le Prophète, était lui aussi arrivé. Le Prophète, ses compagnons de la Mecque et les « alliés » de Qoubaa se rendirent avec lui à Médine, où les gens attendaient leur arrivée avec impatience.

 

Les habitants de Médine (Yathrib) n’avaient jamais connu un jour plus heureux que celui-là. Anas, un proche compagnon du Prophète, a raconté :

 

« J’étais présent le jour où le Prophète arriva à Médine et je n’ai jamais connu un jour meilleur et plus heureux que celui-là. J’étais présent, également, le jour où il quitta ce monde et je n’ai jamais connu un jour plus sombre que celui-là. » (Ahmed)

 

Chaque famille de Médine espérait que le Prophète viendrait s’installer chez elle et certaines personnes tentèrent même de diriger sa chamelle vers leur maison. Mais il les arrêta et dit :

 

« Laissez-la, car elle est guidée par Dieu. »

 

Elle dépassa plusieurs maisons, puis elle s’arrêta et s’agenouilla sur la terre de Banou Najjaar. Le Prophète n’en descendit pas tout de suite; elle se releva, marcha un peu, puis se retourna et revint au même endroit et s’agenouilla de nouveau. Alors le Prophète en descendit. Il était satisfait du choix de sa chamelle, car Banou Najjaar comptait ses oncles maternels parmi ses membres et il souhaitait les honorer en allant chez eux. Lorsque des membres de la famille commencèrent à sortir de leur maison pour l’inviter à y entrer, un certain Abou Ayyoub s’avança vers sa monture et la guida vers sa maison. Le Prophète dit :

 

« Un homme suit sa monture. » (Sahih al-Boukhari, Sahih Mouslim)

 

La première tâche qu’il entreprit, à Médine, fut la construction d’une mosquée. Il envoya chercher les deux garçons qui possédaient la palmeraie qui occupait le terrain qu’il avait choisi pour sa construction et leur en demanda le prix. Ils répondirent : « Nous t’en faisons cadeau, ô prophète de Dieu! ». Le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) refusa to^^^^ois leur offre, les paya et construisit une mosquée à cet endroit, participant lui-même aux travaux. Tout en travaillant, les gens l’entendirent prononcer les paroles suivantes :

 

« Ô Dieu! La seule vie est celle de l’au-delà. Pardonne aux alliés et aux émigrants. (Sahih al-Boukhari)

 

La mosquée servait de lieu de prière pour les musulmans. La prière, qui avait jusque-là été un acte individuel accompli en secret, était maintenant accomplie ouvertement et elle était devenue le symbole de la société musulmane. L’époque où les musulmans et l’islam étaient opprimés et écrasés était révolue. Maintenant, le adhan, c’est-à-dire l’appel à la prière, serait prononcé à voix haute et son appel retentirait jusque dans chaque maison afin de rappeler à chaque musulman de respecter ses obligations envers son Créateur. En plus d’être un lieu de prière, la mosquée était une école où les musulmans apprenaient les divers éléments de leur religion, un lieu de rencontre où les différends de divers groupes étaient résolus et un lieu administratif à partir duquel on gérait les affaires sociales; c’était un véritable symbole de la façon dont l’islam englobe toutes les facettes de la vie quotidienne. On s’acquittait de toutes ces tâches en ce lieu que l’on avait construit à partir des troncs des palmiers qui y étaient déjà et dont le toit avait été fait à partir des branches de ces mêmes palmiers.

 

Lorsque la construction de la mosquée fut terminée, il construisit également des maisons de chaque côté de celle-ci pour sa famille, encore une fois à partir des troncs de palmiers. La mosquée et la maison du Prophète à Médine sont toujours là, de nos jours.

 

La hijrah était terminée. C’était le 23 septembre 622 et l’ère islamique (le calendrier musulman) commence à partir de ce jour-là. C’est également ce jour-là que Yathrib fut rebaptisée : on lui donna le nom de Madinat-oun-Nabi, c’est-à-dire la Cité du Prophète, communément appelée Médine.

 

C’est ainsi que se déroula la hijrah, l’émigration de la Mecque à Yathrib. Les treize années d’humiliation, de persécution, de succès mitigé et d’une mission prophétique difficile à mener faisaient maintenant partie du passé.

 

C’était le début de dix années de succès à venir, du plus grand succès ayant jamais couronné les efforts d’un homme. Jusque-là, il n’avait été qu’un prêcheur. Mais à partir de ce moment, il devint le dirigeant d’un État, d’abord un tout petit État qui, en l’espace de dix ans, allait devenir l’empire d’Arabie. La hijrah marque une division claire dans l’histoire de la mission du Prophète, division que l’on retrouve également dans le Coran. Les révélations de Dieu dont lui et ses fidèles avaient besoin, maintenant, n’étaient pas du même genre que celles dont ils avaient eu besoin lorsqu’ils étaient opprimés, à la Mecque. C’est pourquoi, dans le Coran, les sourates révélées à la Mecque diffèrent de celles révélées à Médine; les premières s’adressent aux individus et à leurs états d’âme, de même qu’au Prophète en tant qu’avertisseur, tandis que les autres s’adressent surtout aux musulmans en tant que communauté sociale et politique et au Prophète en tant qu’exemple à suivre, législateur et réformateur.

 

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« La piété équivaut au bon caractère; et le péché est ce qui tourmente votre conscience et que vous ne voulez pas que les gens sachent. » (Sahih Mouslim)

Dans la seconde partie de cette narration du Prophète, il mentionne un autre aspect subtil du péché en affirmant que le péché est toute action qui reste sur la conscience d’une personne pieuse et qu’elle cherche à dissimuler aux autres. Déjà, dès la lecture de ces paroles prononcées par le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui), toutes sortes d’actions nous reviennent à l’esprit.

 

 

Dieu a donné à chaque âme la capacité, quoique limitée, de distinguer le mensonge de la vérité. Dans le Coran, Il dit :

« Par l’âme et Celui qui l’a parfaite et qui l’a rendue apte à juger de ce qui est bien et de ce qui est mal. » (Coran 91:8)

Tant qu’une personne se maintient sur la voie de la piété, elle sait reconnaître, par sa conscience, les mauvaises actions qu’il lui arrive de commettre, même s’il peut lui arriver de se trouver toutes sortes d’excuses pour expliquer son geste. Elle espère, tout au fond d’elle-même, que personne ne viendra à découvrir ce qu’elle a commis, car elle en ressent de la honte.

 

 

 

La personne pieuse ressent, par rapport à son péché, de la gêne, de la honte, et une certaine pudeur. Le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) a dit :

« La honte et la pudeur sont des signes de la perfection de la foi. » (Sahih al-Boukhari)

La honte est un sentiment qui souvent retient une personne de commettre le mal. Le Prophète a dit :

« Si tu n’as aucune honte, fais comme tu veux. » (Sahih al-Boukhari)

La plus grande honte est celle que l’on ressent vis-à-vis de Dieu à l’idée de commettre un péché. Ce sentiment est celui qui nous retient de commettre un péché et c’est à partir de lui que nous pouvons juger d’un acte, à savoir s’il s’agit ou non d’un péché.

 

 

Ce sentiment de honte et cette conscience qui nous « travaille » découlent naturellement de la foi, et c’est ce que l’islam cherche à créer dans l’âme d’un individu, c’est-à-dire une conscience islamique qui le guide tout au long de sa vie.

Cette conscience intérieure renseigne l’individu sur l’état de son cœur, que ce dernier soit « vivant », i.e. en quête de vérité, ou « mort », i.e. empli de désirs pour les choses d’ici-bas. Le manque de religiosité et le fait de commettre des péchés font en sorte que l’individu finit par perdre cette conscience du bien et du mal et qu’il ne peut donc plus l’utiliser pour se guider à travers la vie.

 

 

« Si seulement, lorsqu’atteints par Notre châtiment, ils s’étaient mis à Nous implorer! Mais leurs cœurs s’étaient endurcis et ^^^^^ leur enjolivait leurs mauvaises actions. » (Coran 6:43)

« N’ont-ils pas voyagé de par le monde? Ont-ils un cœur pour comprendre et des oreilles pour entendre? Car ce ne sont certes pas les yeux qui deviennent aveugles, mais bien les cœurs qui sont dans les poitrines. » (Coran 22:46)

 

 

Pour faciliter sa quête de vérité, l’individu peut utiliser son cœur, son intellect et la révélation divine. Le cœur de celui qui est en quête de vérité est un cœur vivant, car c’est cette vie en lui qui pousse l’individu vers cette quête. Le cœur de ce genre de personne ne trouvera la véritable paix que dans la religion que Dieu a choisie pour l’humanité; et tant que son désir de vérité l’habitera, sa conscience ne lui laissera de répit que lorsqu’elle aura trouvé la vraie religion de Dieu. En fait, si une personne est sincère, Dieu la guidera vers la vérité :

« Quant à ceux qui sont dans la bonne voie, Dieu les guidera encore mieux et leur inspirera la piété. » (Coran 47:17)

 

https://www.youtube.com/watch?v=dk0mz0nuaKc

 

 

https://www.youtube.com/watch?v=vgc_-i2cB3o

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La tricherie et la tromperie sont des traits méprisables chez une personne. Déformer sciemment la vérité afin de tromper les autres est un acte qui va à l’encontre de l’honnêteté, laquelle est associée à la sincérité, à la franchise et à l’équité. Plusieurs passages du Coran et un certain nombre de hadiths laissent entendre clairement que tricher et mentir, que ce soit à l’encontre de musulmans ou de non-musulmans, est strictement interdit.

 

 

Du moment où une personne choisit l’islam comme religion, elle doit se montrer honnête et véridique en tout temps et éviter à tout prix la tricherie et l’hypocrisie. Le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) a dit :

« Quiconque prend les armes contre nous n’est pas des nôtres; et quiconque nous trompe n’est pas des nôtres. » (Sahih Mouslim)

Selon une autre narration, le Prophète passa un jour près d’une pile de sacs de grains, au marché. Il mit la main à l’intérieur de l’un d’eux et sentis de l’humidité, bien que la surface du sac fût sèche. Il dit à celui qui les vendait :

« Qu’est-ce que c’est que cela? »

L’homme répondit : « Il a été endommagé par la pluie, ô Messager de Dieu. »

 

 

Le Prophète dit : « Pourquoi n’as-tu pas mis la nourriture endommagée par la pluie sur le dessus de la pile de sorte que les gens puissent se rendre compte? Quiconque trompe les autres n’est pas des nôtres. » (Sahih Mouslim)

L’islam encourage l’amour et la sincérité envers les autres musulmans et exige que chacun respecte ses promesses faites envers autrui. Les musulmans se doivent d’être pieux, sincères et fidèles. La tricherie et la tromperie sont des traits situés aux antipodes de la noblesse de caractère que doit posséder un véritable musulman. Il n’y a pas de place, en islam, pour les escrocs, les traîtres, les canailles et les menteurs.

 

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L’islam voit la tricherie et la tromperie comme des péchés abominables, une source de honte pour ceux qui s’en rendent coupables, autant en ce monde que dans l’au-delà. Le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) n’a pas seulement dénoncé ces gens en les excluant de la communauté musulmane en ce monde; il a aussi laissé entendre qu’au Jour du Jugement, chaque traître sera ressuscité en tenant un drapeau identifiant sa trahison. Un crieur élèvera la voix dans la vaste arène du jugement et le pointera du doigt afin d’attirer sur lui l’attention des autres :

« Au Jour de la Résurrection, chaque traître portera une bannière sur laquelle sera inscrit : « Je suis le traître de untel ou unetelle. » (Sahih al-Boukhari)

 

 

L’humiliation des traîtres – hommes et femmes – sera immense. Ceux qui auront cru que leur trahison avait été oubliée la retrouveront à ce moment, exposée à l’humanité tout entière, inscrite clairement sur une bannière tenue bien haut par leurs propres mains!

Leur honte augmentera encore plus lorsqu’ils croiseront le prophète Mohammed (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui), le défenseur des pécheurs lors de ce Jour terrifiant. Car leur crime est si énorme qu’ils seront privés de la miséricorde du Prophète et de son intercession.

 

 

Le Prophète a dit :

« Dieu a dit : « Il y a trois types de personnes auxquelles Je m’opposerai au Jour de la Résurrection : un homme qui aura donné sa parole pour ensuite la trahir; un homme qui aura vendu comme esclave un homme libre pour ensuite garder l’argent; et un homme qui aura embauché quelqu’un et profité de son labeur sans lui donner son salaire. » (Sahih al-Boukhari)

Chacun doit s’assurer de ne point se rendre coupable des diverses formes de tricherie et de tromperie présentes dans nos sociétés modernes. De nos jours, la tricherie est devenue courante dans les examens scolaires, les transactions commerciales, et même entre amis et époux. Par exemple, coller une étiquette laissant croire qu’un produit fabriqué au pays a été importé est une forme de fraude.

 

 

Donner sciemment un mauvais conseil lorsque quelqu’un nous demande notre avis et ainsi tromper la personne, qui s’imagine recevoir de bons conseils, est de l’hypocrisie pure. Un employé devrait pouvoir faire le travail pour lequel il est payé sans qu’on lui mente ou qu’on le trompe d’une manière ou d’une autre. Il n’est pas rare, non plus, de voir des membres de gouvernements trafiquer des bulletins de vote pour gagner des élections et tromper ainsi des nations entières. Tromper son époux(se) est devenu chose courante dans nos sociétés modernes.

 

Un bon musulman devrait avoir de lui-même une estime trop haute pour se retrouver parmi ceux qui trompent, car il ne veut certes pas tomber dans la catégorie des hypocrites, desquels le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) a dit :

 

« Quiconque possède les quatre caractéristiques suivantes est un pur hypocrite, et quiconque en possède au moins une possède une caractéristique de l’hypocrite jusqu’à ce qu’il s’en défasse : lorsqu’on lui fait confiance, il trahit cette confiance; lorsqu’il parle, il ment; lorsqu’il fait une promesse, il ne la tient pas; et lorsqu’il se dispute avec quelqu’un, il devient injurieux. » (Sahih al-Boukhari, Sahih Mouslim)

Le véritable musulman, donc, évite la tricherie, la tromperie, la trahison et le mensonge peu importe les avantages qu’il pourrait en tirer, car il sait que l’islam considère ceux qui s’en rendent coupables comme de purs hypocrites.

 

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  • 2 weeks later...

‘Omar ibn al-Khattab a rapporté que le messager de Dieu (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) a dit :

« Toutes les actions ne valent que par leur intention et chaque personne sera rétribuée selon ses intentions. Ainsi, celui qui émigre pour Dieu et pour Son messager, son émigration sera pour Dieu et pour Son messager. Mais celui qui émigre pour acquérir des biens de ce monde ou pour épouser une femme, son émigration aura été entreprise pour ces raisons uniquement. » (Sahih al-Boukhari, Sahih Mouslim)

 

Ce hadith fait partie des paroles les plus importantes prononcées par le prophète Mohammed (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui), car il établit l’un des plus importants principes de l’islam relativement à l’acceptation, par Dieu, de nos actes d’adoration, et, de façon plus générale, de toutes nos activités courantes, au jour le jour. Selon ce principe, pour que toute action soit acceptée et rétribuée par Dieu, elle ne doit être faite qu’avec l’intention de Lui plaire ou de Lui obéir. Ce principe est souvent appelé « sincérité envers Dieu », mais il signifie plus exactement la « pureté d’intention ».

 

 

À une des étapes de la mission du Prophète Mohammed (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui), Dieu a ordonné aux musulmans d’émigrer de la Mecque à Médine, qui était alors le nouvel État islamique. Dans ce hadith sur l’émigration, le Prophète a donné l’exemple de deux types de personnes :

• Le premier exemple est celui de la personne qui émigre à Médine uniquement pour Dieu, cherchant à Lui plaire et à respecter Son commandement. Le Prophète affirme que l’action de cette personne sera acceptée et généreusement rétribuée par Dieu.

 

• Le deuxième exemple est celui de la personne qui, en apparence, obéit au commandement de Dieu, bien que son intention ne soit pas de Lui plaire ni de respecter Son commandement. Cette personne, même si elle obtient ce pour quoi elle a réellement émigré, ne sera point rétribuée par Dieu, car son action ne peut être acceptée comme acte d’adoration.

En islam, la vie d’une personne est divisée en deux dimensions : la dimension religieuse et la dimension mondaine.

 

 

Bien que les deux soient clairement séparées au niveau de la jurisprudence religieuse, elles sont en fait inséparables, car l’islam est une religion qui légifère au niveau des affaires de société, des affaires familiales et politiques, de même qu’au niveau des croyances et de l’adoration de Dieu. Ainsi, bien que ces paroles du Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) semblent s’appliquer à la dimension religieuse de la vie d’une personne, elles s’appliquent en fait aux deux dimensions.

 

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Pureté d’intention dans le domaine religieux

 

Tel que mentionné plus haut, ce hadith établit le premier principe pour que nos actions soient acceptées par Dieu, soit qu’elles ne doivent être faites qu’avec l’intention de Lui plaire. Quant à ces actions qui ont été rendues obligatoires en tant qu’actes d’adoration, elles ne doivent également être faites que pour Dieu, car c’est Lui qui les a ordonnées et c’est à Lui qu’elles plaisent.

 

Parmi ces actions, on retrouve la prière, le jeûne, la zakat, l’Oumrah (petit pèlerinage) et le Hajj (grand pèlerinage), de même que de nombreuses autres actions ordonnées par Dieu. Même si ces actions sont extérieurement observables, comme dans ce hadith, il demeure primordial, pour qu’elles soient acceptées, qu’elles soient accomplies avec la bonne intention.

Si une personne accomplit un acte d’adoration pour d’autres divinités que Dieu ou pour des divinités qu’elle considère comme Ses associés, son acte ne sera jamais accepté.

 

 

 

De plus, la personne qui commet une telle hérésie commet en réalité le plus grand péché qui soit, c’est-à-dire le polythéisme. L’islam est une religion qui prône le pur monothéisme et qui l’applique à chaque instant et dans toutes situations. Ce monothéisme implique non seulement qu’il n’existe qu’un seul Dieu et Créateur, mais aussi qu’il Lui revient de droit que tous les actes d’adoration ne soient accomplis que pour la recherche de Sa satisfaction et celle de nulle autre divinité.

 

 

Ce concept, Dieu a ordonné à tous Ses prophètes de le prêcher. Dans le Coran, Il dit :

« Il ne leur a cependant été commandé que d’adorer Dieu en Lui vouant un culte exclusif, d’accomplir [assidûment] leurs prières et d’acquitter la zakat. C’est cela, la vraie religion. » (Coran 98:5)

Ainsi, même si une personne semble, extérieurement, accomplir un acte de dévotion et d’adoration envers Dieu, si, au fond d’elle-même, elle associe à cet acte d’autres divinités (que ce soient des anges, des prophètes ou des « saints »), alors cet acte ne sera pas accepté par Dieu et la personne se sera rendue coupable du plus grand péché qui soit, c’est-à-dire le polythéisme.

 

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Pureté d’intention dans le domaine religieux

 

Tel que mentionné plus haut, ce hadith établit le premier principe pour que nos actions soient acceptées par Dieu, soit qu’elles ne doivent être faites qu’avec l’intention de Lui plaire. Quant à ces actions qui ont été rendues obligatoires en tant qu’actes d’adoration, elles ne doivent également être faites que pour Dieu, car c’est Lui qui les a ordonnées et c’est à Lui qu’elles plaisent.

 

Parmi ces actions, on retrouve la prière, le jeûne, la zakat, l’Oumrah (petit pèlerinage) et le Hajj (grand pèlerinage), de même que de nombreuses autres actions ordonnées par Dieu. Même si ces actions sont extérieurement observables, comme dans ce hadith, il demeure primordial, pour qu’elles soient acceptées, qu’elles soient accomplies avec la bonne intention.

Si une personne accomplit un acte d’adoration pour d’autres divinités que Dieu ou pour des divinités qu’elle considère comme Ses associés, son acte ne sera jamais accepté.

 

 

 

De plus, la personne qui commet une telle hérésie commet en réalité le plus grand péché qui soit, c’est-à-dire le polythéisme. L’islam est une religion qui prône le pur monothéisme et qui l’applique à chaque instant et dans toutes situations. Ce monothéisme implique non seulement qu’il n’existe qu’un seul Dieu et Créateur, mais aussi qu’il Lui revient de droit que tous les actes d’adoration ne soient accomplis que pour la recherche de Sa satisfaction et celle de nulle autre divinité.

 

 

Ce concept, Dieu a ordonné à tous Ses prophètes de le prêcher. Dans le Coran, Il dit :

« Il ne leur a cependant été commandé que d’adorer Dieu en Lui vouant un culte exclusif, d’accomplir [assidûment] leurs prières et d’acquitter la zakat. C’est cela, la vraie religion. » (Coran 98:5)

Ainsi, même si une personne semble, extérieurement, accomplir un acte de dévotion et d’adoration envers Dieu, si, au fond d’elle-même, elle associe à cet acte d’autres divinités (que ce soient des anges, des prophètes ou des « saints »), alors cet acte ne sera pas accepté par Dieu et la personne se sera rendue coupable du plus grand péché qui soit, c’est-à-dire le polythéisme.

 

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Un autre aspect de cette pureté d’intention est qu’une personne ne devrait jamais chercher à obtenir quelque gain que ce soit pour ses actes d’adoration, même s’il s’agit d’un gain licite. Dans le hadith mentionné plus haut, la personne qui émigre pour acquérir un bien ou pour épouser une femme s’acquitte de son obligation religieuse de n’émigrer pour aucune autre divinité que Dieu, et elle n’émigre pas avec l’intention de commettre un mal. Son intention est considérée comme une chose permise en islam.

 

Pourtant, son acte n’est pas accepté par Dieu comme acte d’adoration et il se peut que la personne ne trouve pas ce qu’elle recherchait par cette émigration. Ainsi, si une personne accomplit un acte d’adoration à la recherche d’une chose de la vie d’ici-bas, la rétribution pour cet acte en sera diminuée.

Si une personne souhaite adorer Dieu d’une façon qui n’est pas prescrite par l’islam, cela est considéré comme un péché. L’islam est une religion qui encourage l’humilité et le désintéressement tout en désapprouvant ceux qui cherchent à être loués par les autres et à être mis sur un piédestal en ce monde.

 

Si, en accomplissant des actes d’adoration, une personne cherche l’admiration des autres, non seulement ses actes seront-ils rejetés par Dieu, mais elle risque fort de goûter au châtiment dans l’au-delà. Le prophète Mohammed (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) nous a informés des premières personnes qui seront condamnées au feu de l’Enfer, dans l’au-delà, et parmi elles se trouve :

 

 

« Une personne qui a acquis un savoir [religieux] et qui l’a enseigné [aux autres], et qui a également récité le Coran. Elle sera amenée [devant Dieu] et Dieu lui rappellera toutes les faveurs dont Il l’aura comblée et la personne les reconnaîtra. Puis Dieu lui demandera : « Qu’en as-tu fait? »

La personne répondra : « Je n’ai acquis un savoir [religieux] et je ne l’ai enseigné [aux autres], de même que je n’ai récité le Coran que dans la recherche de Ta satisfaction. »

Dieu dira : « Tu as menti! Tu n’as acquis un savoir [religieux] que pour que les gens t’appellent « érudit »; et tu n’as récité le Coran que pour que l’on réfère à toi comme à celui qui récite le Coran! » Puis, Dieu ordonnera qu’on le châtie. Il sera traîné sur son visage et jeté dans le Feu. » (an-Nassaï)

 

 

 

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  • 2 weeks later...

En effet, une personne peut transformer toutes ses actions quotidiennes en actes d’adoration en purifiant son intention et en recherchant de manière sincère, à travers ces actions, la seule et unique satisfaction de Dieu.

Le Messager de Dieu (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) a dit :

« Aider une personne à grimper sur sa monture ou à y installer ses effets est un acte de charité. Une bonne parole est une charité. Chaque pas que vous faites pour aller accomplir vos prières est une charité. Retirer un obstacle du chemin est une charité. » (Sahih al-Boukhari)

 

 

Gagner sa vie est aussi une action qui peut être rétribuée par Dieu. Une fois, les compagnons du Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) virent un homme dont l’ardeur et le zèle au travail forçaient l’admiration. Ils dirent : « Si seulement il travaillait aussi fort pour la satisfaction de Dieu... ». Le Prophète répondit :

« S’il travaille pour subvenir aux besoins de ses jeunes enfants, c’est pour la satisfaction de Dieu. S’il travaille pour subvenir aux besoins de ses parents âgés, c’est pour la satisfaction de Dieu. S’il travaille pour éviter l’oisiveté et les vices qui l’accompagnent, c’est pour la satisfaction de Dieu. Si, cependant, il travaille par ostentation et pour se faire une réputation, alors il travaille pour ^^^^^. » (al-Moudhiri, as-Souyouti)

 

 

Une personne peut être rétribuée même pour les gestes qui vont de soi, s’ils sont accompagnés de la bonne intention. Le Messager de Dieu (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) a dit :

« Lorsque l’un de vous a des rapports avec son épouse, c’est un acte de charité. » (Sahih Mouslim)

C’est également le cas d’actions quotidiennes comme manger, dormir et travailler, de même que des traits de bon caractère comme la franchise, l’honnêteté, la générosité, le courage et l’humilité. Ces actions, si elles sont accompagnées de la bonne intention, se transforment en actes d’adoration et d’obéissance envers Dieu.

 

 

Pour que ces actions quotidiennes méritent une rétribution divine, elles doivent répondre aux conditions suivantes :

A. Elles doivent être licites. S’il s’agit d’actions interdites par Dieu, la personne qui les commet risque d’être châtiée. Le Messager de Dieu a dit :

« Dieu est pur et bon, et Il n’accepte que ce qui est pur et bon. » (Sahih Mouslim)

B. Ces actions doivent être conformes à la Loi islamique. La tromperie, l’oppression et l’injustice ne doivent pas en faire partie. Le Messager de Dieu a dit :

« Celui qui trompe [les autres] n’est pas des nôtres. » (sahih Mouslim)

 

C. Ces actions ne doivent pas empêcher la personne de remplir ses obligations religieuses. Dieu dit, dans le Coran :

« Ô vous qui croyez! Ne laissez pas vos biens et vos enfants vous distraire du rappel de Dieu. Ceux qui s’en laissent distraire, ce sont eux les perdants. » (Coran 63:9)

Ces deux articles nous ont fait découvrir à quel point ce hadith est important, de même que son rôle dans le concept d’acceptabilité des actions et de leur rétribution par Dieu. Ce hadith nous fait également comprendre que le concept d’adoration, en islam, ne se limite pas au fait d’accomplir certains actes rituels ordonnés par Dieu, mais englobe toute la vie du musulman, faisant ainsi de lui un véritable serviteur de Dieu.

 

 

 

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. Mohamed, Muhammad ou Mohammed est le dernier des prophètes et le messager de Dieu à l'humanité avec la dernière des religions monothéistes, l'Islam. Son plus grand miracle est le Coran, le livre saint de la religion musulmane. Et c'est d'après les actes et paroles du prophète (SWS) que les musulmans tiennent la Sunna Nabawiya.

 

Naissance et enfance

 

Mohamed naquit le 12 Rabi' al-awwal de l'an dit de l'éléphant ('Am Al Fil), qui correspond à l'an 571 à peu près du calendrier grégorien, à la Mecque. (C'est cette date qui est commémorée pendant le Mawlid Annabaoui).

 

Son père Abdullah Bnou 'Abd al-Muttalib faisait partie de Banou Hachim l'une des tribus de Quraych, il épousa Amina Bint Wahab et mourut jeune avant même qu'elle ne donne naissance au prophète.

A sa naissance, Mohammed fut confié à Halima Saadia qui lui servit de nourrice comme l'était la coutume en Arabie de confier les nouveaux nés aux nourrices des villages avoisinants.

Sa mère mourut alors qu'il avait à peine 6 ans, il fut alors confié à son grand père 'Abd al-Muttalib et à la mort de ce dernier à son oncle Abou Talib.

Jeunesse

 

L'oncle de Mohamed (SWS) était pauvre, il dut alors travailler dès sa jeunesse pour l'aider à subvenir aux besoins de la famille, il fut d'abord berger avant de travailler dans le commerce. Dès sa jeunesse, Mohamed (SWS) fut connu auprès de la tribu de Quraych par sa grande sincérité, ils le surnommaient "Al Amine" (celui à qui l'on peut faire confiance).

 

Khadija, une riche dame de Quraych, lui confia ses caravanes de commerce pour qu'il lui gère ses affaires, elle fut impressionnée par son honnêteté et son intégrité, et ce fut elle qui lui proposa de l'épouser. Mohammed avait alors 25 ans, alors qu'elle en avait 40. Leur mariage dura 25 ans jusqu'à la mort de Khadija, le prophète n'épousa guère d'autre femme jusqu'à la mort de cette dernière. Khadija fut non seulement la première femme mais aussi la première personne à se convertir à l'Islam.

Période de la da'wa

 

Le prophète Mohamed avait pour habitude d'aller se recueillir dans une grotte appelée Ghar Hiraa non loin de la Mecque. C'est là qu'un jour qu'il avait 40 ans, l'ange Jibril (Gabriel) lui rendit visite avec le message de Dieu. Les premiers versets du Coran qui furent dévoilés au prophète furent ceux de Sourate Al-Alaq: "Lis au nom de ton Seigneur qui a tout créé, qui a créé l’homme d’une adhérence ! Lis, car la bonté de ton Seigneur est infinie ! C’est Lui qui a fait de la plume un moyen du savoir et qui a enseigné à l’homme ce qu’il ignorait."

 

La révélation du Coran (parole d’Allah) au prophète par l'intermédiaire de Jibril dura 23 ans.

 

 

 

 

 

Mohammed était très religieux et pendant longtemps, il détesta la décadence et l'idolâtrie de la société dans laquelle il vivait.

 

 

 

 

À l'âge de quarante ans, Mohammed reçut sa première révélation de Dieu par l'intermédiaire de l'ange Gabriel. Les révélations se poursuivirent pendant vingt-trois ans, et ensemble elles formèrent ce que nous connaissons comme le Coran.

 

Dès qu'il commença à réciter le Coran et à prêcher la vérité que Dieu lui avait révélée, il souffrit, avec son petit groupe de disciples, de persécutions de la part des mécréants. Les persécutions devinrent si acharnées qu'en l'an 622, Dieu leur ordonna d'émigrer. Cette émigration de la Mecque à la ville de Médine, située à environ 260 milles (418 km) au nord, marque le début du calendrier musulman.

 

Après plusieurs années, Mohammed et ses disciples purent enfin retourner à la Mecque, où ils pardonnèrent à leurs ennemis. Avant que Mohammed ne meure, à l'âge de soixante-trois ans, la majeure partie de la Péninsule Arabe était devenue musulmane, et moins d'un siècle après sa mort, l'islam s'était propagé jusqu'en Espagne à l'ouest, et aussi loin qu'en Chine à l'est. Parmi les raisons qui expliquent la propagation rapide et pacifique de l'islam, il y a la vérité et la clarté de sa doctrine. L'islam appelle les gens à ne croire qu'en un seul Dieu, qui est le Seul qui mérite d'être adoré.

 

Le prophète Mohammed était un parfait exemple d'un homme honnête, juste, clément, compatissant, véridique et brave. Bien qu'il fût un homme, il était très loin d'en avoir les mauvaises caractéristiques, et il luttait et faisait tous ses efforts par amour pour Dieu et pour Sa récompense dans l'au-delà. De plus, dans toutes ses actions et ses relations avec les gens, il avait toujours la crainte de Dieu et le souci de Lui plaire

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Nader Abou Anas La naissance du prophète Mohammad L ...

‪ La naissance du Prophète Muhammad‬‏

https://www.youtube.com/watch?v=kGszidPzWMU

Modifié par macoooo
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  • 2 weeks later...

Le dernier sermon

Après avoir loué et remercié Dieu, le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) a déclaré :

« Ô peuple! Écoutez-moi attentivement, car je ne sais pas si, après cette année-ci, je serai encore parmi vous. Écoutez, donc, ce que je vous dis avec beaucoup d’attention et transmettez ce message à ceux qui ne pouvaient être présents parmi nous aujourd’hui.

 

« Ô peuple! Tout comme vous considérez ce mois, ce jour, cette cité comme sacrés, considérez aussi la vie et les biens de chaque musulman comme sacrés. Retournez à leurs légitimes propriétaires les biens qui vous ont été confiés. Ne blessez personne afin que personne ne puisse vous blesser.

 

 

Souvenez-vous qu’en vérité, vous rencontrerez votre Seigneur et qu’effectivement, Il vous demandera compte de vos actes. Dieu vous a défendu de pratiquer l’usure [de prendre ou payer de l’intérêt], donc tout intérêt non-payé sera maintenant annulé. Votre capital, cependant, vous revient. Vous n’infligerez ni d’endurerez aucune injustice. Dieu a décidé de rendre l’intérêt illicite, et tout intérêt qui était dû à Abbas ibn Abd’al Mouttalib sera maintenant annulé.

 

 

« Méfiez-vous de ^^^^^, pour le salut de votre religion. Il a perdu tout espoir de ne pouvoir jamais vous amener à commettre les grands péchés; attention, donc, à ne pas le suivre dans les péchés mineurs.

« Ô peuple! Il est vrai que vous avez certains droits à l’égard de vos femmes, mais elles aussi ont des droits sur vous. Souvenez-vous que c’est par la permission de Dieu que vous les avez prises pour épouses et que c’est Dieu qui vous les a confiées. Si elles respectent vos droits, alors à elles appartient le droit d’être nourries et habillées convenablement. Traitez donc bien vos femmes et soyez gentils envers elles,

 

 

car elles sont vos partenaires et elles sont dévouées envers vous. Il est de votre droit qu’elles ne se lient pas d’amitié avec des gens que vous n’approuvez pas, et qu’elles ne commettent jamais l’adultère.

 

 

« Ô peuple! Écoutez-moi bien : adorez Dieu, faites vos cinq prières quotidiennes, jeûnez pendant le mois de Ramadan, et donnez votre richesse en zakat. Accomplissez le Hajj si vous en avez les moyens. Toute l’humanité descend d’Adam et Ève. Un Arabe n’est point supérieur à un non-Arabe, et un non-Arabe n’est point supérieur à un Arabe; et les Blancs ne sont point supérieurs aux Noirs, de même que les Noirs ne sont point supérieurs aux Blancs.

 

Aucune personne n’est supérieure à une autre, si ce n’est en piété et en bonnes actions. Vous savez que chaque musulman est le frère de tous les autres musulmans. Vous êtes tous égaux. Vous n’avez aucun droit sur les biens appartenant à l’un de vos frères, à moins qu’on ne vous ait fait un don librement et de plein gré. Par conséquent, ne soyez pas injustes les uns envers les autres.

 

 

« Souvenez-vous, un jour vous vous présenterez devant Dieu et répondrez de vos actes. Prenez garde, donc, ne vous écartez pas du droit chemin après ma mort. Ô peuple! Aucun prophète ni messager ne viendra après moi, et aucune nouvelle religion ne naîtra. »

« Raisonnez bien, ô peuple, et comprenez bien les mots que je vous transmets. Je laisse derrière moi deux choses : le Coran et mon exemple, la Sounnah. Et si vous les suivez, jamais vous ne vous égarerez.

« Que tous ceux qui m’écoutent transmettent ce message à d’autres, et ceux-là à d’autres encore; et que les derniers puissent le comprendre mieux que ceux qui m’écoutent directement. Sois témoin, ô Dieu, que j’ai transmis Ton message à Tes serviteurs. »

 

 

C’est ainsi que le Prophète termina son dernier sermon et, alors qu’il se tenait près du sommet de Arafat, le verset suivant lui fut révélé :

« … Aujourd’hui, J’ai parfait votre religion pour vous et J’ai accompli Mon bienfait sur vous. Et J’ai choisi l’islam comme religion pour vous. » (Coran 5:3)

De nos jours encore, le dernier sermon du prophète Mohammed (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) est transmis à chaque musulman partout à travers le monde et par divers moyens de communication.

 

 

On le rappelle aux musulmans dans les mosquées et lors de conférences. En fait, les différents messages que renferme ce sermon concernent certains des droits les plus importants de Dieu sur l’humanité, et des hommes les uns sur les autres. Bien que le Prophète (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) ait quitté ce monde, ses paroles demeurent toujours bien vivantes dans nos cœurs.

 

 

 

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Noël et 25 Décembre

Beaucoup de chrétiens ne sont pas conscients que le véritable esprit de respect que les musulmans afficher vers Jésus et sa mère Marie jaillissent de la source de leur foi comme prescrit dans le Saint Coran. La plupart ne savent pas qu'un musulman ne prend pas le nom de Jésus, sans dire Eesa alai-souffle-salaam-à-dire (Jésus la paix soit sur lui).

 

 

Jésus est généralement considéré comme ayant été né le 25 Décembre. Cependant, il est de notoriété publique parmi les érudits chrétiens qu'il ne est pas né en ce jour. Il est bien connu que les premières églises chrétiennes ont tenu leur festival en mai Avril, ou Janvier. Les spécialistes de la première de deux siècles AD diffèrent même année où il est né. Certains croire qu'il était né âgé de vingt ans avant la date acceptée actuelle. Alors, comment a été le 25 Décembre sélectionné comme l'anniversaire de Jésus?

 

L'encyclopédie Grolier dit: "Noël est la fête de la naissance de Jésus-Christ, célébrée le 25 Décembre ... Malgré les croyances au sujet de Christ que les histoires de naissance exprimés, l'église n'a pas observé un festival pour la célébration de l'événement jusqu'au 4 siècle .... depuis 274, sous l'empereur Aurélien, Rome avait célébré la fête de la "Soleil Invincible" sur Décembre 25. Dans l'Église d'Orient, le 6 Janvier, un jour aussi associé avec le solstice d'hiver, a été initialement préféré. Dans cours du temps, cependant, l'Occident a ajouté la date de l'Est comme la fête de l'Epiphanie, et de l'Est ajouté la date occidentale de Noël ".

 

Alors qui d'autre célébrée le 25 Décembre que le jour de la naissance de leurs dieux avant qu'il a été convenu que le jour de la naissance de Jésus? Eh bien, il ya les gens de l'Inde qui se réjouissent, décorent leurs maisons avec des guirlandes, et donnent des cadeaux à leurs amis ce jour-là. Les habitants de la Chine célèbrent également cette journée et ferment leurs magasins. Bouddha est censé avoir été né ce jour-là. Le grand sauveur et dieu des Perses, Mithra, est également soupçonné d'avoir été né le 25 Décembre longtemps avant la venue de Jésus.

 

Les Egyptiens ont célébré ce jour comme le jour de naissance de leur sauveur Horus, le dieu égyptien de la lumière et le fils de la "mère vierge» et «reine des cieux" Isis. Osiris, dieu des morts et le monde souterrain en Egypte, le fils de "la Sainte Vierge", a été à nouveau soupçonné d'avoir été né le 25 Décembre.

 

Les Grecs ont célébré le 25 Décembre comme la naissance d'Hercule, le fils du dieu suprême des Grecs, Zeus, à travers la femme mortelle Alcmène Bacchus, le dieu du vin et des festivités chez les Romains (connus chez les Grecs que Dionysos) était lui aussi né en ce jour.

 

Adonis, vénéré comme une "mort-et-montante dieu» chez les Grecs, miraculeusement est également né le 25 Décembre. Ses fidèles lui ont tenu un festival annuel qui représente sa mort et sa résurrection, en plein été. Les cérémonies de son anniversaire sont enregistrées comme ayant eu lieu dans la même grotte à Bethléem qui est prétendu avoir été le lieu de naissance de Jésus.

 

Les Scandinaves ont célébré le 25 Décembre comme la naissance de leur dieu Freyr, le fils de leur dieu suprême des cieux, Odin.

 

Les Romains ont observé ce jour comme l'anniversaire du dieu du soleil, Natalis Solis Invicti ("Anniversaire de Sol l'invincible"). Il y avait une grande joie et tous les commerces ont été fermés. Il y avait un éclairage et des jeux publics. Cadeaux ont été échangés, et les esclaves ont été livraient à de grandes libertés. Ce sont les mêmes Romains qui allait plus tard présider le concile de Nicée (325 CE) qui a conduit à la reconnaissance chrétienne officielle de la «Trinité», comme la «vraie» nature de Dieu, et le «fait» que Jésus est né sur le 25th of Décembre trop.

 

En déclin et la chute de l'Empire romain, Gibbon dit: "Les chrétiens romains, ignorant de sa naissance (du Christ), a fixé la fête solennelle au 25 Décembre, le Brumalia ou solstice d'hiver, quand les païens célébraient chaque année la naissance de Sol "vol. II, p. 383.

 

Chrétiens opposés à Noël

 

Il ya plusieurs groupes chrétiens qui se opposent à Noël. Par exemple, ils prennent le verset de la Bible dans Jérémie 10: 2-4 comme un avertissement contre la décoration des arbres de Noël.

 

La version King James dit: "Ainsi parle l'Eternel: Ne imitez pas la voie des nations .... Car les coutumes du peuple sont vaines: On coupe un arbre de la forêt, le travail des mains de l'ouvrier , avec la hache ils pont avec de l'argent et de l'or;. on le fixe avec des clous et des marteaux, pour qu'il bouge pas ".

 

Afin de comprendre ce sujet, il est utile de retracer une partie de l'histoire de l'évitement de Noël, en particulier ses racines dans le puritanisme.

 

Les puritains croyaient que l'église du premier siècle modélisé un christianisme que les chrétiens modernes devraient copier. Ils ont tenté de fonder leur foi et de pratique uniquement sur le Nouveau Testament, et leur position sur de Noël reflètent leur engagement à pratiquer une forme scripturaire pur du christianisme. Puritains ont fait valoir que Dieu se réservait la détermination de toutes les formes appropriées de culte, et qu'il désapprouvait toute innovations humaines - même les innovations qui ont célébré les grands événements de salut. Le nom de Noël aussi aliéné de nombreux puritains.

 

 

Noël, après tout, signifiait «la masse du Christ." La masse a été méprisé comme une institution catholique romaine qui a miné le concept protestante du Christ, qui se est offert une fois pour toutes. Les puritains de l'évitement passionnée de toute pratique qui a été associé à la Rome papale leur a fait négliger le fait que dans de nombreux pays le nom pour la journée ne avait rien à voir avec la messe catholique, mais se est plutôt concentré sur la naissance de Jésus. La masse n'a pas évolué dans le formulaire abhorré par les protestants que longtemps après Noël a été largement observé. Les deux coutumes avaient histoires séparées, bien interconnecté,.

 

Comme protestants ardents, puritains identifié l'embrassement du christianisme par l'empereur romain Constantin dans le 300s CE dès le point de la dégénérescence et la corruption de l'église départ. Ils croyaient que la corruption de l'église a été provoquée par l'imbrication de l'église avec l'état romain païen. Pour puritains, Noël était impur car il est entré l'Église romaine dans le courant de cette période. Personne ne connaît la date exacte ni dans quelles circonstances les chrétiens romains ont commencé à célébrer la naissance de leur Seigneur, mais par la mi-300s CE, la pratique a été bien établi.

 

Jésus est né le 25 Décembre; vous-êtes sûr ?

 

Quand Jésus est-il né? Surprise !!

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Le savoir, en islam, nous provient de deux sources : le Coran et la tradition du prophète Mohammed (sounnah).

Le Coran est l’écriture divine, ou texte sacré, de l’islam. Les musulmans croient qu’il s’agit de la parole littérale de Dieu, telle qu’Il l’a révélée à Mohammed, Son dernier messager. Ce site web contient plusieurs articles sur le Coran, pour ceux qui aimeraient en approfondir leur connaissance.

 

Ce qu’on appelle la sounnah fait référence à trois choses : les actions, les déclarations et l’approbation tacite du prophète Mohammed en diverses occasions. Elle est dérivée de la tradition orale appelée hadith.

 

 

Parmi les hadiths, certains font partie d’une catégorie à part. On les appelle les hadiths qoudsi. Il s’agit des paroles de Dieu, exprimées dans les mots de Mohammed. Il y a plus de 100 hadiths qoudsi qui traitent, pour la plupart, de sujets spirituels et éthiques. Un des plus beaux hadiths qoudsi est le suivant :

« Ô Mes serviteurs, Je Me suis interdit l'oppression, et Je l'ai interdit entre vous, alors ne vous opprimez pas les uns les autres. Ô Mes serviteurs, vous êtes tous dans l'égarement, sauf ceux que Je guide; alors demandez à être guidés et Je vous guiderai. Ô Mes serviteurs, vous êtes tous affamés, sauf ceux que J'ai nourris; alors cherchez votre nourriture auprès de Moi et je vous nourrirai.

 

Ô Mes serviteurs, vous êtes tous nus, sauf ceux que J'ai vêtus; alors cherchez vos vêtements auprès de Moi et Je vous vêtirai. Ô Mes serviteurs, vous commettez des péchés jour et nuit, et Je pardonne tous les péchés; alors cherchez le pardon auprès de Moi et Je vous pardonnerai. Ô Mes serviteurs, vous ne pouvez ni Me causer du tort ni M’avantager. Ô Mes serviteurs, même si le premier et le dernier d'entre vous, les hommes et les djinns, étaient aussi pieux que le cœur le plus pieux des hommes, cela n'ajouterai rien à Mon royaume. Ô Mes serviteurs, même si le premier et le dernier d'entre vous, hommes et djinns, étaient aussi méchants que le cœur le plus méchant parmi ceux des hommes, cela n’enlèverait rien à Mon royaume.

 

Ô Mes serviteurs, même si le premier et le dernier d'entre vous, hommes et djinns, se rassemblaient en un endroit et Me faisaient chacun une demande et que Je satisfasse la demande de chacun, cela ne diminuerait en rien ce que Je possède, pas plus que ne diminue la mer quand on y trempe une aiguille. Ô Mes serviteurs, Je ne juge rien d'autre de vous que vos actions et c’est Moi qui les récompense ensuite. Donc celui qui trouve le bonheur, qu'il rende grâce à Dieu; et celui qui trouve autre chose que le bonheur, qu'il ne s'en prenne qu’à lui-même. »

 

 

 

 

 

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  • 2 weeks later...

Dans ce hadith qoudsi

 

 

Dieu met l’accent sur la justice, et l’islam condamne et interdit toute forme d’injustice et d’oppression. Dieu, le Très-Grand, est le plus Juste et c’est de Lui qu’émane la justice. Dieu S’est interdit à Lui-même l’oppression et Sa promesse est vraie; plusieurs versets du Coran en attestent.

« Et ton Seigneur n’est jamais injuste envers Ses serviteurs. » (Coran 41:46)

« Et Dieu ne souhaite point l’injustice pour (Ses) créatures. » (Coran 3:108)

« Certes, Dieu ne lèse personne, fût-ce du poids d’un atome. » (Coran 4:40)

Dieu a également interdit à l’humanité l’oppression sous toutes ses formes. L’islam nous dit qu’il existe trois sortes d’oppression ou d’injustice.

 

La première est l’injustice envers Dieu, en Lui prêtant des associés ou des intermédiaires. La seconde est l’injustice envers soi-même, en commettant des péchés. La troisième est l’injustice envers autrui (envers d’autres personnes ou d’autres créatures).

 

L’islam est plus qu’une religion, c’est un mode de vie. Pratiquer l’islam signifie, entre autres, respecter et garantir les droits accordés par Dieu aux êtres humains. L’islam se soucie du respect des droits de toutes les créatures, petites ou grandes.

« Nous avons effectivement envoyé Nos messagers avec des preuves évidentes, et Nous avons révélé, par leur intermédiaire, l’Écriture et la Balance, afin que les gens établissent la justice. » (Coran 57:25)

Dans ce hadith qoudsi, Dieu commence par souligner l’importance de la justice. Il condamne l’oppression et l’interdit aux hommes, puis affirme que nous sommes tous dans l’égarement, sauf ceux qu’Il guide. Il nous dit que c’est à Lui qu’il faut demander d’être guidés, car Lui seul peut nous guider.

S’Il ne nous guide pas, nous sommes perdus. En nous guidant, Il nous fait le plus précieux des cadeaux. Comprendre les concepts de justice et de pardon, en islam, nous enrichit.

 

 

Savoir que la raison d’être de notre existence est d’adorer Dieu nous libère. Être guidés nous rend aptes à démontrer de la reconnaissance envers Dieu pour toutes les bénédictions qu’Il nous accorde. L’humanité dépend de Dieu, mais Dieu n’a pas besoin de l’humanité. Ce hadith nous fait comprendre à quel point nous avons besoin de Dieu. Dans le prochain article, nous apprendrons que rien n’arrive sans la permission de Dieu.

 

https://www.youtube.com/watch?v=BFbdGzdGecw
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  • 2 weeks later...

Ce hadith qoudsi nous rappelle de manière sublime que tout le pouvoir et toute la force ne proviennent que de Dieu.

Nous sommes en mesure de fonctionner, de manger, de boire et de respirer. Tous les systèmes de notre corps fonctionnent avec une précision étonnante. Notre cœur bat et notre sang circule. Toutes ces fonctions dépendent entièrement de la volonté de Dieu. Si l’une d’elles cesse de fonctionner, nul ne peut la refaire fonctionner si ce n’est par la volonté de Dieu.

Dieu est Celui qui pourvoit aux besoins de Sa création. Imaginez tout ce qui a rendu possible, par exemple, le simple fait de manger du pain grillé, le matin.

 

Le pain, le grille-pain, le beurre, l’électricité, entre autres; tout cela n’est pas apparu par magie. Le beurre était d’abord de la crème, le grille-pain a été fabriqué, le blé a été cultivé et transformé en farine; puis, le pain a été confectionné, emballé et livré. Alors que nous étalons du beurre sur notre pain, il est bon de se rappeler qu’aucune de ces étapes, simples mais nécessaires, n’aurait pu se produire sans la permission de Dieu.

 

Dieu est le Créateur de toute chose et Il n’a besoin de rien. Il n’a pas besoin de notre obéissance et notre désobéissance ne L’affecte pas. Il ne ressent pas le besoin de nous rétribuer si nous Lui obéissons; s’Il le fait, c’est par Sa grande générosité. Le Coran nous apprend que nous avons été créés pour adorer Dieu, mais cela ne signifie pas qu’Il ait besoin de notre adoration. Au contraire, c’est nous qui avons besoin de Lui. Et c’est dans l’adoration et l’invocation de Dieu que notre cœur trouve la tranquillité.

 

« Je n’ai créé les djinns et les hommes que pour qu’ils M’adorent. » (Coran 51:56)

« N’est-ce point par l’évocation de Dieu que se tranquillisent les cœurs? » (Coran 13:28)

« Vous êtes tous dans l’égarement, sauf ceux que Je guide… »; voilà un très beau hadith qoudsi que l’on retrouve dans la sounnah du prophète Mohammed. Un hadith qui souligne l’amour de Dieu pour l’humanité et qui nous rappelle que nous devons nous montrer reconnaissants pour cet amour. Nous pouvons chercher le réconfort et la paix partout et en toutes choses, dans le monde d’ici-bas, mais nous ne les trouverons jamais à moins de les chercher dans notre relation avec Dieu.

 

https://www.youtube.com/watch?v=fL4aGvqSsKY

 

 

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Les jours s’écoulent comme des minutes. C’est le matin et, tout à coup, c’est déjà la nuit. Dieu fait allusion à ce phénomène à quelques reprises, dans le Coran.

« Il leur sera demandé : « Combien d’années êtes-vous restés sur terre? » Ils répondront : « Un jour, ou moins qu’un jour… Qu’on s’en réfère plutôt à ceux qui comptent. » (Coran 23:112-113)

« Ils s’interrogèrent entre eux; l’un dit : « Combien de temps êtes-vous demeurés là? ». Les autres dirent : « Nous sommes restés là un jour, ou peut-être moins encore… » D’autres dirent : « Votre Seigneur sait mieux combien de temps nous y sommes restés. » (Coran 18:19)

Le temps passe très vite et lorsque nous nous tiendrons debout, devant Dieu, au Jour du Jugement, il nous semblera n’avoir vécu, rêvé et espéré qu’une journée ou moins. Il nous semblera n’avoir adoré notre Créateur que très brièvement et de la manière la plus nonchalante. Le Coran nous apprend que plusieurs d’entre nous supplierons Dieu de leur accorder plus de temps, afin de corriger leurs actions et de L’adorer de manière plus appropriée.

« Puis lorsque la mort vient à l’un d’eux (i.e. un polythéiste), il dit : « Seigneur! Renvoie-moi (sur terre)… » (Coran 23:99)

Le prophète Mohammed (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) nous a réitéré cette réalité. Le temps ne ralentira jamais et nous ne pourrons jamais retourner en arrière pour réparer nos erreurs. C’est pourquoi il nous a conseillé de tirer profit de cinq choses avant que cinq autres ne se produisent.

« Tirez profit de cinq choses avant cinq autres : votre jeunesse avant votre vieillesse; votre santé avant de tomber malade; votre argent avant de devenir pauvre; votre temps libre avant de devenir occupé; et votre vie avant votre mort. »

 

https://www.youtube.com/watch?v=3cOABsNi-C0

 

 

 

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Il nous conseille, donc, de tirer profit du temps que nous avons devant nous. Quand nous sommes jeunes, nous prenons notre jeunesse et notre énergie pour acquises. Nous avons l’impression d’avoir tout le temps devant nous, à l’infini.

 

Pourtant, les journées s’écoulent, les unes après les autres, et l’une des premières choses qui nous quitte, c’est souvent notre jeunesse. Un cheveu blanc apparaît, nous commençons à ressentir de petites douleurs quotidiennes au dos, aux épaules ou aux genoux. Et, tandis que la vieillesse se rapproche à grands pas, certaines personnes trouvent même difficile

 

d’accomplir leurs actes de dévotion quotidiens. Quand il nous est de plus en plus difficile de nous agenouiller pour nous prosterner en prière, nous ne souhaitons alors qu’une chose : pouvoir revenir en arrière pour accomplir ne serait-ce qu’une autre prière ou pour jeûner ne serait-ce qu’un autre jour avec

 

toute l’énergie et la forme dont nous jouissions durant nos jeunes années. Les jeunes doivent savoir tirer profit de leur jeunesse avant que le temps ne la fasse disparaître. L’énergie à revendre devrait être utilisée pour aider les autres et accomplir toutes sortes de bonnes actions qui mériteront une rétribution enviable ici-bas et dans l’au-delà.

 

 

 

 

https://www.youtube.com/watch?v=yGXUNdtrsnE

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  • 2 weeks later...

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Le croyant doit également savoir tirer profit de sa santé avant d’être affaibli par la maladie, que celle-ci se manifeste durant sa vieillesse ou plus tôt dans sa vie. Même de jeunes personnes peuvent être affectées par la maladie ou certaines blessures qui les rendent incapables d’accomplir leurs prières comme elles le voudraient.

 

Dieu et le prophète Mohammed ont tous deux souligné les bienfaits et la rétribution que peut tirer un croyant de sa douleur et sa souffrance. Quand une personne devient malade, elle réalise à quel point l’être humain est fragile.

 

Le Prophète nous a rappelé que nul ne sait s’il perdra la santé ni à quel moment il la perdra. Un jour, nous sommes en pleine forme et possédons toutes nos facultés mentales et, le lendemain, nous nous retrouvons dépendants des autres pour presque chaque geste du quotidien.

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L’argent est une autre bénédiction qui nous vient de Dieu. Le croyant doit donner le plus qu’il peut en charité tant qu’il a quelque chose à donner. Nous avons tendance à voir la charité comme un don monétaire, mais elle ne se réduit pas à cette forme de don. Nous pouvons donner de l’argent, certes, mais aussi notre temps, notre soutien et notre savoir.

 

Cela n’empêche pas que nous devrions utiliser nos biens monétaires pour plaire à Dieu tant que cela est possible, car l’argent est quelque chose qui peut se perdre très rapidement et notre destin financier demeure entre les mains de Dieu. Tant de gens riches se sont retrouvés sans le sou presque du jour au lendemain et les exemples abondent autour de nous. Il faut garder à l’esprit que tout don de charité fait dans l’intention de plaire à Dieu sera toujours rétribué.

 

« L’exemple de ceux qui dépensent leurs biens dans le sentier de Dieu est semblable à un grain d’où naissent sept épis renfermant cent grains chacun. Dieu multiplie la récompense de qui Il veut. La grâce de Dieu est immense et Il est Omniscient. » (Coran 2:261)

 

 

 

 

 

 

https://www.youtube.com/watch?v=QAaVuTnREBM

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Répondre aux insultes sur le Prophète | Avis de Zakir Naik

Coran « Tuez-les où que vous les trouvez » : une Perspective Islamique #4 | Zakir Naik

Organisations Terroristes : une Perspective Islamique #5 | Zakir Naik

Un chrétien prétend que le Coran a été copié de la Bible et l'élève de Ahmed Deedat répond

Pourquoi L'homosexualité Est Condamnée Dans L'Islam?-Zakir Naik

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  • 3 weeks later...

L’Islam, révélation divine est une religion monothéiste de vérité spirituelle, de lumière intérieure, d'amour, de fraternité humaine, de justice sociale, ouverte à toutes les races et à tous les peuples sans aucune distinction, aux hommes et aux femmes de toutes les contrées et de tous les siècles, quelque soit le degré de leur savoir et l'importance de leur fortune. Il implique la foi en un Dieu unique et absolu et en la mission de Son envoyé, Mouhammad, (Paix et Bénédiction d'Allah soient sur lui) qu'Il a choisi pour la transmission de son message (Qour’aane).

Ce message universel et permanent de liberté, d'égalité, de fraternité, de charité, de paix, de monothéisme sous la forme la plus pure, exige à priori de l'homme sa soumission inconditionnelle à Dieu et son abandon total à Sa volonté. Tel est d'ailleurs le sens étymologique du mot Islam. Il se résume en peu de mots :

Il n'y a qu'un Dieu ! Mouhammad (Paix et Bénédiction d'Allah soient sur lui), est un envoyé de Dieu.

L'Islam est donc une religion monothéiste et universelle.

L’Islam comprend une doctrine et une méthode

Le mot religion est dérivé de " religio " qui signifie relier. La religion est ce qui relie l'homme à la Vérité. Ainsi toute religion possède deux éléments essentiels qui constituent sa base et son fondement : une doctrine qui distingue l'Absolu du relatif et une méthode qui permet de se relier à l'Absolu. Ainsi, l'Islam comprend lui aussi une doctrine et une méthode.

La doctrine

La relation de l'homme avec Dieu

Nous nous proposons d'examiner ces éléments fondamentaux dans la révélation Islamique et de voir comment celle-ci envisage la relation de l'homme à Dieu. C'est Dieu, de toute évidence, qui est l'Absolu et l'homme est le relatif. L'homme doit prendre conscience de cette vérité, comprendre que Dieu seul est Dieu, que Lui seul est l'Absolu, et que l'homme face à Dieu est un être relatif à qui Dieu donne le libre choix d'accepter ou de rejeter Sa volonté. La relation de l'homme avec Dieu ou du relatif avec l'Absolu, est au centre de toutes les religions. Mais chacune met l'accent sur un aspect particulier de cette relation. L'Islam ne met l'accent ni sur une descente ou incarnation, ou manifestation de l'Absolu, ni sur la nature déchue, imparfaite et pécheresse de l'homme. Il envisage plutôt l'homme tel qu’Il est dans sa nature essentielle et Dieu, tel qu'Il est dans son absolue réalité. En proclamant l'unicité et la transcendance divines, l'Islam condamne toute association à Dieu d'une autre divinité, d'un quelconque parèdre ; tout attachement à un être , à un objet ou à une cause pouvant faire oublier Dieu ou éloigner de Lui.

Diverses croyances des peuples

L'homme semble avoir cherché, depuis toujours, à connaître son créateur, à Lui obéir. Les meilleurs chefs religieux de chaque époque, de chaque civilisation, ont établi certaines règles de conduite en ce sens : les primitifs adoraient les manifestations de la puissance et du bienfait d'Allah, espérant ainsi lui faire plaisir. Certains peuples croyaient en deux dieux distincts, l'un du Bien, l'autre du Mal, négligeant les conséquences logiques de cette distinction, qui implique une guerre civile entre dieux. D'autres entouraient la divinité de mystères, qui obscurcissaient parfois la personne d ’Allah ; d'autres, enfin, éprouvant le besoin de symboles, de formules ou de gestes, falsifièrent leur religion, au point qu'elle devint à peine distincte de l’idolâtrie ou du polythéisme.

L’unicité absolue d’Allah dans l’Islam

Là encore, l'Islam a sa marque propre : il croit en l'unicité absolue d’Allah ; il prescrit une façon de prier et d'adorer qui n'admet ni image, ni symbole (qu’Il considère comme des traces de l’idolâtrie). Allah est non seulement transcendant et immatériel, au-delà de toute perception physique, mais Il est aussi omniprésent.

Pas d’intermédiaire et de péchés originels dans l’Islam

Les rapports entre l'homme et Allah sont divects et personnels, sans besoin d'intermédiaire, mêmes les personnages les plus saints, comme les Prophètes, ne sont que des guides, des messagers. C'est à l'individu de faire son choix : il est responsable divectement devant Dieu ; il admet volontiers que l'homme est faible et oublieux, qu’il est habituellement esclave de ce qui l'entoure et prisonnier de sa convoitise et de ses passions animales. Mais, pas de péchés originels. Si Adam(Paix soit sut lui) a commis une faute qui fut pardonnée, cela n'entraîne nullement une responsabilité de la part des autres hommes, car chacun est appelé à rendre des comptes personnels.

https://www.youtube.com/watch?v=abP6KWpkTtE

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    • @youcef17fr franchement...tu es encore avec des cartes idoom ?!! Cela fait 1 an que le bonus de 10% existe quand tu paies avec cib!!!!!!! Mais bon si tu ne veux pas gagner de l'argent tu es libre...dommage
    • En wifi 7 tu as huawei ...xiaomi...redmi...Asus...tp link et bien d'autres...
    • @popmpopm Dis nous au moins c'est quoi le dossier alors comme ça on ne galèrer à pas nous
    • Parmi tous les opérateurs FR, il n y'a que Free qui utilise ce type de jarretière fibre avec code couleur pour le branchement, les autres sont utilisables dans les deux sens, en Algérie je ne pense pas que ce soit d'actualité.
    • L'équation est impossible pour AT :  Ils ne peuvent pas dégager du gros bénéfice dans un pays où le smic est à 200€, donc pas d'infrastructures et d'investissement.  Et il n'y a pas de demande dans le milieu pro à cause de l'économie soviétique. Et il n'y a pas de concurrence. Conclusion : il n'y a pas de raison d'upgrade le débit. Qui paie leur ministère ? C'est l'état, c'est à notre notre argent. La question n'est pas de savoir si le soldat cotise pour payer son internet moins cher ( ce qui est discutable d'ailleurs, pourquoi le ministère devrait décider à la place du soldat où ira son argent ? )  Mais de savoir si l'armée reçoit trop d'argent, au point de pouvoir se permettre le luxe de faire des conventions avec d'autres ministères. Il y a deux ans ils ont DOUBLÉ le budget de l'armée, mais l'argent est partie où ? Ils ont acheté des su35 ? Des s300 ? Des t-90 ?  Globalement internet est un problème mineur, il n'y a pas de développement en dz et il n'y en aura pas, il faut s'y faire.
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