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Se réinscrire avec un ancien BAC


parazitenew

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Bonsoir,

 

On m'a dit que 5 ans après avoir fini ses études universitaires, on pouvait retirer l'original du BAC et se réinscrire avec. Sans devoir refaire un nouveau BAC. Des infos sur ça?

 

Edit:

 

Je me réponds à moi même;

 

Public concerné :

Diplômé désireux de s’inscrire à une autre formation universitaire

carre-fleche-bleu.gif Période de dépôt de la demande

du mardi 13 septembre au lundi 03 octobre 2016

carre-fleche-bleu.gif Lieu de dépôt de la demande

Scolarité de la faculté ou du département d’accueil

carre-fleche-bleu.gif Critères d'accès

 

  • Pour une inscription avec le même baccalauréat, ne sont concernés que les diplômés d’une université algérienne ayant obtenu leur diplôme depuis plus de 5 années
  • Conformité à la circulaire d’inscription et aux moyennes minimales d’accès lors de l’année d’obtention du baccalauréat. Si la filière n’existait pas lors de l’année d’obtention du baccalauréat, se conformer à la circulaire d’inscription et aux moyennes minimales d’accès de l’année en cours.


     

  • Baccalauréat obtenu à la wilaya de Tizi Ouzou ou à la wilaya autorisée pour la filière d’inscription sinon être résident à la wilaya de Tizi Ouzou ou à une wilaya autorisée pour la filière d’inscription

 

  • Ne posséder aucune autre inscription dans un établissement dépendant du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique

 

Source: http://www.ummto.dz/pedagogie/2diplome.html

 

Là ça devient intéressant.

Modifié par parazitenew
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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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