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Bonjour,

j'ai trouvé des annonces de démo IPTV sur le kniss, j'ai une question, ca marche vraiment ?

est ce qu'une connexion de 2 Mbps est suffisante pour regarder la TV en IPTV? ou bien est ce comme youtube et streaming il faut donc u débit de fous surtout pour les chaines HD ?

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@slown

 

juste quelques doutes ici

 

1-mon cousin m'a affirmé qu'il avait 2 megas et que toutes les chaines marchent sans coupure sur son demo...meme HD comment es ce possible?

2- avec VLC je confirme que IPTV ne fonctionne casi-pas avec 2mo meme pour la SD...trop de coupures....ou il y a une astuce pour reduire la qualité des flux ?!

3- j'ai cru comprendre qu'avec KODI, pour l'iptv il est recommandé au moins 10 megas de debits.....heuuu es ce vrai ?!

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@genio Netflix recommande du 5 Mbps pour visualiser son contenu HD et du 3 Mbps pour visualiser son contenu SD, il faut savoir aussi que le débit ne peut être alloué dans son ensemble à l'IPTV, tu vas naviguer, tu vas télécharger, c'est ce qui va faire baisser ton débit c'est pour ça qu'il faut toujours réserver une marge pour éviter les coupures lors du visionnage.

2) Ce n'est pas juste le débit qui rentre en jeu c'est le codec utilisé aussi, je recommande le MPEG-4 AVC (X264) pour du contenu SD et du HEVC (x265) pour du contenu HD voire UHD, ils sont très rapides et offres de meilleurs résultats en comparaison avec le MPEG-2. Il y aussi un autre paramètre qui rentre en jeu, c'est le débit proposé par le serveur, ça sature sur certains flux gratuits et c'est normal vu le nombre de personnes qui s'y connecte. Tu peux par contre augmenter le cache fichier qui est par défaut à 300ms dans le menu Outils -> Préférences avancées -> Entrées / Codecs

3) Pour KODI il faut augmenter la mémoire tampon et diminuer le buffering, un lien intéressant qui explique tout cela :)

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  • Messages

    • @youcef17fr c'est où ? Donc de nouveaux conteneurs arrivent de Chine contenant les équipements fibre optique (PBO , ONT , ...ect) après la crise maritime en mer Rouge.
    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
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