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Le High-Tech va souffrir en 2009


Invité salimdz

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Invité salimdz

Le High-Tech va souffrir en 2009

 

Mercredi 1 octobre 2008 à 06:40

 

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Dépenser va être plus dur

 

Le marché de l’informatique et de l’électronique devrait souffrir de la crise économique l’année prochaine.

 

Le PC est fort

Durant toute cette année, les PC et le multimédia en général, se sont moqué de la crise économique qui a entaché 2008 (cf. « Les PC se moquent de la crise économique »). Le marché du jeu vidéo est au beau fixe et les grandes marques se félicitaient de leur santé financière.

 

Quand Wall Street a commencé à se vautrer, début septembre après le rachat de Merill Lynch et la faillite de Lehman Brothers, le marché du High Tech a plongé, mais a tout de même réussi à résister un minimum.

Il y a des limites à tout

Néanmoins, il semblerait aujourd’hui que les remparts commencent à s’effriter. L’action d’Apple a ainsi perdu 18 %, et d’autres ont suivi une baisse similaire alors que les analystes estiment que la demande en produits numérique va fortement baisser. Les effets de la crise économique pourraient commencer à se faire ressentir fin 2008 jusqu’en 2009 alors que beaucoup estiment que les consommateurs vont dépenser moins. Les crédits vont geler ou ralentir, le chômage va augmenter et les consommateurs se tourneront plus difficilement vers un PC ou un baladeur.

 

Il est intéressant de noter que pour l’instant, les analystes estiment que la crise ne va pas ralentir les grosses innovations et nous devrions continuer de voir les géants du marché sortir des produits phares (nouvelle génération de carte graphique ou processeur par exemple). Néanmoins, une baisse de la demande pourrait ralentir la démocratisation de ces produits qui resteraient alors plus longtemps sur le marché.

 

source : http://www.presence-pc.com/actualite/High-Tech-2009-crise-economique-31612/

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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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