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Le premier salon national des centres d’appel


Invité salimdz

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Algérie Télécom organise SARC 2008

Le premier salon national des centres d’appel

12 octobre 2008

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Depuis l’intégration des nouvelles technologies dans les relations client-entreprise, le marché des services est devenu de plus en plus concurrentiel, les clients peuvent ainsi se permettre de choisir leurs fournisseurs. Les opérateurs économiques trouveront dans l’initiative d’Algérie Télécom une aubaine pour mieux fidéliser la clientèle et lui offrir une gamme de services diversifiée. Le premier SARC 2008 sera organisé du 11 au 13 novembre prochain. (Par Maroua T)

 

« En lançant ses premiers centres d’appels à Alger, Oran et Constantine, il y a quelques années déjà, le groupe Algérie Télécom avait conscience de la nécessité de sortir des sentiers battus et de dégager des voies et moyens susceptibles de proposer de nouveaux débouchés aux jeunes diplômés de l’université algérienne », a déclaré M Moussa Belhamdi lors de la conférence tenue hier au siège social de l’opérateur.

 

Pour sa part, la présidente de l’association de la relation client, Mlle Medina Boulahchiche estime que ce salon est une occasion pour la promotion de la destination Algérie en tant que pays hôte pour les centres d’appels offshores, la promotion de l’usage des TIC pour l’expert de services et la promotion des compétences et savoir-faire nationales en matière de gestion de service.

 

Par ailleurs, le SARC est dédié aux professionnels de l’Outsourcing, inshore et offshore et de la relation client. Il constitue un véritable carrefour ou les acteurs nationaux et internationaux les plus dynamiques du marché des centres d’appels présentent leur savoir-faire, leurs expertises et leurs expériences pour développer les marchés et la compétitivité de leurs entreprises.

 

source : http://www.mobilealgerie.com/modules.php?name=News&file=article&sid=1178

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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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