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algérien_dz

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قال تعالى :

(وَلَنْ تَرْضَى عَنْكَ الْيَهُودُ وَلا النَّصَارَى حَتَّى تَتَّبِعَ مِلَّتَهُمْ قُلْ إِنَّ هُدَى اللَّهِ هُوَ الْهُدَى وَلَئِنِ اتَّبَعْتَ أَهْوَاءَهُمْ بَعْدَ الَّذِي جَاءَكَ مِنَ الْعِلْمِ مَا لَكَ مِنَ اللَّهِ مِنْ وَلِيٍّ وَلا نَصِيرٍ) (البقرة:120)

voilà ce que j'ai a dire en tant que musulman, il faut arrêter de se voiler la face, et de parlé au nom de l'ouverture d'esprit , l'ouverture d'esprit nous insiste a révisé et a sondé nos âmes, nous sommes bcp influencer par l'occident, c'est pour sa , dés que quelqu'un parle de l'islam dans un forum , alors on le traite de dire des propos raciste , comme j'ai vus dans certaine topic, ouvrez les yeux mes frères , l'islam n'est pas un régiment radicale ou des lois obligeantes, tout ce que notre bon dieu nous a empêcher de faire ou nous a autoriser de faire, est en premier lieu bénéfique pour nous, mm la priére est bénéfique pour nous, pour notre esprit et pour notre corps, bcp de scientifiques de nos jours prouve les bénéfices, de certaine pratique dans notre religion, arretez de vous voiler la face, nos frère sont entrain de mourir, notre islam est entrain de se bafouiller, elle est notre foie ?? je trouve plus les mots pour décrire ma tristesse et ma colère, envers nos chefs de gouvernement et envers ces sionistes, Mais inchallah ANASSRO KADIM

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I don't know why so many people are having so much hope in Barack "Obomb Us". The US is not a country of presidents, that time is gone since FDR (Roosevelt), it is a country of corporates (lobbies) nothing more.

 

So don't hold your breath, Barack will continue the US policies as prescribed to him by the most powerful lobby.

 

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Barack Obama, discours adressé à l’American Israeli Public Affairs Committee, 4 juin 2008 - extraits

 

Aujourd’hui, je vous parlerai avec mon cœur, en véritable ami d’Israël.

 

Je sais que lorsque je me rends à l’AIPAC, je suis avec des amis, de bons amis. Des amis qui partagent mon engagement ferme que le lien existant entre les Etats-Unis et Israël, aujourd’hui inaltérable, restera inaltérable demain, inaltérable à jamais (...)

 

L’une des nombreuses choses que j’admire dans l’AIPAC c’est que sa lutte pour cette cause soit conduite par de simples citoyens (...) afin de faire en sorte que le lien entre Israël et les Etats-Unis soit enraciné dans des valeurs partagées et les histoires de nos peuples plus que dans les intérêts nationaux. Comme président, je vais travailler avec vous pour faire en sorte que ce lien soit renforcé.

 

Je me suis tout d’abord familiarisé avec Israël quand j’avais 11 ans. J’ai découvert la longue histoire et la détermination du peuple juif pour préserver son identité à travers la famille, la foi et la culture. Année après année, siècle après siècle, les juifs ont maintenu leurs traditions, et leur rêve de patrie, bien qu’ils semblait impossible à réaliser. Cet exemple m’a profondément impressionné. J’avais grandi sans prendre conscience de mes racines. Mon père, originaire du Kenya, était parti quand j’avais deux. Ma mère est blanche, originaire du Kansas. À bien des égards, je ne savais pas d’où je venais. J’ai ressenti avec force l’idéal sioniste affirmant qu’il y a toujours une patrie au coeur de notre histoire. J’ai aussi appris l’horreur de l’Holocauste, et le terrible sentiment d’urgence qu’il a fait naître pour l’État d’Israël. Mon grand-père a servi sous les drapeaux durant la Seconde Guerre mondiale, pendant des mois après qu’il fut rentré d’Allemagne [ou il avait participé à la libération des camps], il est resté en état de choc. (...)

 

Comme Eisenhower [l’avait fait], chacun de nous doit porter témoignage contre tous ceux qui voudraient nier ces crimes inimaginables, ou qui oseraient même évoquer leur répétition. Nous devons croire à ce que nous disons lorsque nous prononçons les mots « plus jamais ça ». (Applaudissements prolongés)

 

C’est seulement quelques années après la libération des camps que David Ben Gourion a créé l’État d’Israël. Nous savons que la création d’Israël était juste et nécessaire, enracinée dans des siècles de combat et des décennies d’efforts patients. Mais soixante ans plus tard, nous savons que ne pouvons pas relâcher ces efforts, nous ne pouvons pas céder, et en tant que président et je ne ferai jamais aucun compromis lorsqu’il s’agira de la sécurité d’Israël. (applaudissements)

 

Je n’en ferai pas, alors qu’existent toujours des voix qui nient l’Holocauste. Je n’en ferai pas alors qu’existent des groupes terroristes et des dirigeants qui souhaitent la destruction d’Israël. Je n’en ferai pas alors que circulent au Moyen-Orient des cartes de géographie qui ne reconnaissent même pas l’existence d’Israël, et des publications subventionnées par les gouvernements emplies de haine contre les juifs. Je n’en ferai pas alors qu’une pluie de roquette s’abat sur Sderot. (...)

 

Je comprends depuis longtemps la quête d’Israël pour la paix et son besoin de sécurité. Mais je ne l’ai jamais mieux comprise qu’à l’occasion de voyages effectués il y a deux ans. Volant dans hélicoptère de l’armée, j’ai vu cette étroite et magnifique bande de terre le long de la Méditerranée. Revenu au sol, j’ai rencontré une famille dont la maison avait été détruite par une roquette. J’ai parlé avec les soldats israéliens faisant face à une menace constante en maintenant la sécurité le long de la ligne bleue. J’ai parlé à des gens qui n’ont jamais rien souhaité de plus simple et de plus difficile que d’assurer l’avenir de leurs enfants.

 

Je suis fier d’appartenir à ce puissant courant consensuel, réunissant Démocrates et Républicains, qui se tient au coté d’Israël face à toutes les menaces. C’est un engagement que McCain et moi-même partageons, car le soutien à Israël dépasse les considérations partisanes dans ce pays.

 

Mais cet engagement requiert que nous nous exprimions lorsque la sécurité d’Israël est en danger, et je crois qu’aucun de nous ne peut être convaincu que la politique étrangère suivie récemment par les USA ait rendue Israël plus sûr. Le Hamas contrôle désormais Gaza. Le Hezbollah a renforcé son emprise sur le sud Liban et fait une démonstration de sa force à Beyrouth. L’Iran, qui a toujours été une plus grande menace que l’Irak pour Israël, est renforcé par la guerre en Irak et représente le plus grand défi stratégique pour les USA et Israël depuis une génération. L’Irak est instable, Al Qaida a accru son recrutement. Les efforts de paix d’Israël avec ses voisins sont au point mort, malgré le lourd tribut du peuple israélien. Les USA sont plus isolés dans la région, ce qui amoindrit notre force et met en péril la sécurité d’Israël.

 

La question est de savoir comment aller de l’avant. Il y a ceux qui veulent poursuivre et intensifier ce statu quo, en ignorant huit années ou se sont accumulées les preuves que notre politique étrangère est dangereusement fautive. Il y a également ceux qui veulent attribuer tous les problèmes existant au Moyen Orient à Israël et ses soutiens, comme si le conflit Isaélo-Palestinien était à la racine de toutes les difficultés de la région. Ces voix qui veulent blâmer la seule démocratie du Moyen Orient en la rendant responsable de tous les extrémismes de la région. Elles défendent l’idée fausse selon laquelle abandonner un allié fidèle conduirait en quelque sorte à renforcer notre situation. Ce n’est pas le cas. Cela ne l’a jamais été, et ce ne le sera jamais. (...)

 

J’apporterai à la Maison Blanche un engagement inébranlable pour la sécurité d’Israël. Cela se traduira tout d’abord en assurant à Israël l’avantage militaire au plan qualitatif. Je garantirai qu’Israël puisse se défendre contre toute menace, de Gaza à Téhéran. En tant que président, je mettrai en place un Protocole d’Accord afin de fournir une aide de 30 milliards de dollars à Israël pour la décennie à venir (...)

 

Je me dresserai toujours, dans l’enceinte de l’ONU et dans le monde, pour soutenir le droit d’Israël à se défendre. (applaudissements)

 

Les israéliens, tous partis confondus, comprennent que la sécurité ne peut résulter que de l’installation d’une paix durable. C’est pourquoi, en tant qu’amis d’Israël, nous devons nous engager à faire tout ce qui est en notre pouvoir pour aider Israël et ses voisins à y parvenir. Une paix durable est sûre va dans le sens de l’intérêt national d’Israël. C’est aussi l’intérêt national de l’Amérique. C’est l’intérêt national du peuple palestinien et du monde arabe. (applaudissements)

 

En tant que président, J’oeuvrerai pour aider à atteindre l’objectif des deux États, Israël et la Palestine, vivant côte à côte dans la paix et la sécurité. Et je n’attendrai pas les derniers jours de ma présidence. J’aurai un rôle actif pour faire progresser la cause de la paix dès le début de mon mandat (applaudissements). (...)

 

Nous devons isoler le Hamas jusqu’à ce qu’il reconnaisse Israël, renonce au terrorisme, et endosse les accords signés par le passé. Il n’y a pas de place à la table des négociations pour les organisations terroristes. (applaudissements) C’est pourquoi je me suis opposé à la tenue d’élections où le Hamas pourrait participer en 2006. Israël et l’Autorité palestinienne nous avaient mis en garde, mais ce gouvernement a maintenu cette décision, avec pour résultat le contrôle de Gaza par le Hamas et une pluie de roquettes s’abattant sur Israël.

 

Les Palestiniens doivent comprendre que les progrès ne viendront pas des faux prophètes de l’extrémisme ou du détournement de l’aide étrangère. Les USA et la communauté internationale doivent être au côté des Palestiniens qui s’engagent à combattre le terrorisme et acceptent les difficultés de la tâche de rechercher la paix. Je presserai instamment les gouvernements arabes de prendre des mesures pour normaliser leurs relations avec Israël, pour faire face à leurs responsabilités quant à la répression de l’extrémisme, et pour appuyer réellement le président Abbas et le premier ministre Fayyad. L’Égypte doit mettre fin à la contrebande d’armes dans la bande de Gaza.

 

Israël peut aussi faire avancer la cause de la paix en prenant des mesures appropriées en accord avec sa sécurité afin de faciliter la liberté de mouvement des Palestiniens, d’améliorer la situation économique en Cisjordanie, et de se retenir de bâtir de nouvelles colonies, comme il en a été convenu avec l’administration Bush à Annapolis.

 

Permettez moi d’être clair : la sécurité d’Israël est sacro-sainte. Elle est non négociable. Les Palestiniens ont besoin d’un État qui soit contigu et cohérent et leur permette de prospérer. Mais tout accord avec le peuple Palestinien doit préserver l’identité d’Israël en tant qu’État juif, dont les frontières sont sûres, reconnues et défendables. Jérusalem restera la capitale d’Israël, et elle doit rester indivisible.

 

Je n’ai aucune illusion en la matière. Tout cela ne sera pas facile. Mais Israël est suffisamment fort pour obtenir la paix, et il a des partenaires qui sont attachés au même objectif. La plupart des Israéliens et des Palestiniens veulent la paix, et nous devons les soutenir. Les USA doivent être un partenaire fort et résolu dans ce processus, pas pour contraindre à des concessions, mais pour aider les parties concernées à éviter les impasses et les situations d’absence de perspectives ou s’engouffre la violence.

 

Les menaces contre Israël existent non seulement à proximité, mais également au-delà. La Syrie a pris de dangereuses mesures afin d’obtenir des armes de destruction massive, et c’est la raison pour laquelle Israël a été tout à fait justifié de mettre fin à cette menace.

 

Je crois également que les États-Unis ont la responsabilité d’appuyer les efforts d’Israël en vue de reprendre des négociations de paix avec les Syriens. Nous ne devons jamais contraindre Israël à s’asseoir à la table de négociation. Mais nous ne devrions pas non plus bloquer les négociations lorsque les dirigeants israéliens pensent qu’elles servent les intérêts israéliens.

 

Il est temps que le comportement irresponsable de la Syrie au Liban touche à sa fin. En tant que président je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour aider Israël à réussir ces négociations. Et ce succès nécessitera l’application entière de la résolution 1701 du Conseil de Sécurité sur le Liban, et l’arrêt du soutien syrien au terrorisme. (...)

 

Il n’existe pas de menace plus grande pour Israël ou la paix et la stabilité de la région que l’Iran. Cette assistance rassemble à la fois des Républicains et des Démocrates. Les ennemis d’Israël ne doivent avoir aucun doute : quel que soit leur parti, les Américains sont au coude à coude dans leur engagement en faveur de la sécurité d’Israël. (...)

 

Le régime Iranien soutient des extrémistes violents et nous défie à travers cette région du monde. Il tente de se doter d’une capacité nucléaire qui pourrait déclencher une dangereuse course aux armements, avec la perspective d’un transfert de la technologie nucléaire à des terroristes. Son président nie l’Holocauste et menace de rayer Israël de la carte. Le danger présenté par l’Iran est sérieux, il est réel, et mon objectif sera d’éliminer cette menace.

 

Mais tout comme nous devons garder clairement en vue cette menace, nous devons également être clairs concernant l’échec de la politique actuelle.

 

Nous savions en 2002 que l’Iran soutenait le terrorisme. Nous savions que l’Iran poursuivait un programme nucléaire illicite. Nous savions que l’Iran posait une grave menace pour Israël. Mais au lieu de développer une stratégie pour contrer cette menace, nous l’avons ignorée pour envahir et occuper l’Irak. Lorsque je me suis opposé à cette guerre je savais que cela alimenterait les flammes de l’extrémisme au Moyen-Orient. Cela a été le précisément le cas en Iran. Les partisans de la ligne dure ont accru leur emprise, le président Ahmadinejad a été élu en 2002. Les Etats-Unis et Israël sont moins en sécurité.

 

Je respecte le sénateur McCain, mais sur ce point nous sommes en désaccord et le serons encore à l’avenir. Le Sénateur McCain refuse de comprendre et d’accepter l’échec de cette politique qu’il poursuivrait. Il critique mon choix en faveur d’une diplomatie résolue, mais son alternative n’est pas crédible quand il affirme que l’Iran a été mis a genoux par la guerre en Irak. En réalité c’est le contraire. L’Iran a renforcé sa position. L’Iran enrichit désormais de l’uranium et disposerait, dit-on, d’un stock de 150 kilos d’uranium faiblement enrichi. Son soutien au terrorisme et ses menaces contre Israël se sont accrus. Ce sont des faits qui ne peuvent être contestés, et je me refuse à poursuivre une politique qui rende la situation des USA et d’Israël moins sûre. (applaudissements)

 

Le Sénateur McCain propose une fausse alternative : maintenir le cap en Irak ou abandonner la région à l’Iran. Je rejette cette logique parce qu’il existe une meilleure manière d’agir. Maintenir l’ensemble de nos troupes en Irak est précisément ce qui renforce l’Iran. C’est une politique consistant à s’installer, pas une politique qui mène à la victoire. J’ai proposé le redéploiement progressif de nos troupes en Irak. Nous en sortirons en y déployant autant de prudence que nous avions commis d’imprudences en y entrant.

 

Nous utiliserons tous les outils de la puissance américaine pour faire pression sur l’Iran. En tant que président, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour empêcher l’Iran d’obtenir une arme nucléaire. (Applaudissements prolongés).

 

Cela commence par une diplomatie pugnace, fondée sur des principes et sans s’imposer de préalables conduisant à l’échec, en ayant une vision claire de nos intérêts. Nous n’avons pas de temps à perdre. Nous ne pouvons exclure à priori une méthode qui pourrait prévenir l’Iran de se doter d’armes nucléaires. Nous avons tenté un dialogue, limité, au coup par coup, tout en déléguant le travail à long terme aux européens. Il est temps pour les États-Unis de prendre le premier rôle. (applaudissements).

 

Nous nous préparons soigneusement. Nous établirons des voies de dialogue, déterminerons un programme de travail, nous nous coordonnerons de façon étroite avec nos alliés, et évaluerons les possibilités d’enregistrer des progrès. Contrairement à ce que prétendent mes adversaires, je n’ai aucune envie de m’asseoir à la table des négociations uniquement pour dialoguer. Mais, en tant que président, je souhaite conduire une diplomatie résolue et déterminée, avec le dirigeant iranien qui convient, en temps et lieu de mon choix, si et seulement si cela permet de faire progresser les intérêts des États-Unis.

 

Il n’y a que depuis peu de temps que certains pensent que la diplomatie ne puisse, par définition, être conduite de façon résolue. Ils oublient les exemples de Truman, de Kennedy et de Reagan. Ces présidents comprenaient que la diplomatie, renforcée par les pressions, était l’un des outils fondamentaux de l’Etat. Il est temps à nouveau de faire de la diplomatie un outil conduisant au succès, et non plus seulement un moyen de contenir les échecs. Nous poursuivrons cette diplomatie sans nous faire d’illusion sur le régime iranien. Nous leur présenterons un choix clair. Si vous abandonnez votre dangereux programme nucléaire, le soutien au terrorisme, et les menaces contre Israël, il y aura des contreparties significatives, y compris la levée des sanctions, et l’intégration politique et économique à la communauté internationale. Si vous refusez, nous augmenterons la pression. (...)

 

Notre volonté de poursuivre des efforts diplomatiques rendra plus facile la mobilisation des autres nations pour rejoindre notre cause. Si l’Iran échoue à changer de politique face à ces propositions des USA, il deviendra clair pour le peuple iranien et pour le monde, que le régime sera responsable de son propre isolement. Cela renforcera notre position avec la Chine et la Russie si nous réclamons de nouvelles sanctions au Conseil de Sécurité. (...)

 

Nous devons nous libérer de la tyrannie du pétrole. Le prix du baril est l’une des armes les plus dangereuses au monde. Les pétrodollars servent à acheter des armes qui tuent des soldats américains en Irak. La politique mise en œuvre par le gouvernement Bush a fait monter le prix du pétrole, tandis que sa politique énergétique nous a rendu plus dépendants des importations de gaz et de pétrole. Nous pouvons nous joindre à Israël pour approfondir notre partenariat dans le développement des sources alternatives d’énergie. (applaudissements nourris) Le plus sûr moyen d’accroître nos moyens de pressions à long terme, c’est de mettre fin au financement du régime iranien.

 

Au bout du compte, il faut ne laisser aucune place au doute : Je maintiendrai toujours sur la table la menace d’une action militaire pour défendre notre sécurité et notre allié Israël. Parfois, il n’existe pas d’autre alternative à l’affrontement. Mais cela rend la diplomatie encore plus importante. Si nous devons recourir à la force militaire, nous serons plus susceptibles de réussir et de disposer de davantage de soutien au plan intérieur et à l’étranger si nous avons épuisé les options diplomatiques. (...)

 

Nous sommes ici aujourd’hui parce que les valeurs qui nous sont chères sont profondément enracinées dans l’histoire d’Israël. (...)

 

Chaque Israélien vous le dira, Israël n’est pas parfait, mais comme les USA il offre un exemple à tous en recherchant un futur meilleur. Les mêmes qualités se retrouvent chez les Juifs Américains. (...)Il existe au coeur de la tradition et de la foi Juive un attachement à la liberté et à l’équité, à la justice sociale et à l’égalité des chances.

 

Je n’oublierai jamais que je ne me tiendrai pas à cette place aujourd’hui si les Juifs et les Afro-Américains n’avaient lutté côte à côte dans le plus grand mouvement civique de l’histoire de notre pays. Ils ont manifesté ensemble. Ils ont souffert ensemble. Ils sont allés ensemble dans le sud des USA. Des Juifs Américains comme Andrew Goodman et Michael Schwerner étaient prêts à mourir aux côtés d’un homme noir - James Chaney - pour la liberté et l’égalité [1]

 

Leur héritage est notre patrimoine. Nous ne devons pas permettre que la relation entre Juifs et Afro-Américains puisse souffrir. C’est un lien qui doit être renforcé. Ensemble, nous pouvons nous remobiliser pour mettre fin aux injustices et combattre la haine sous toutes ses formes. Ensemble, nous pouvons renouveler notre engagement en faveur de la justice. Ensemble, nous pouvons rassembler nos voix, et ce faisant, même les murailles les plus épaisses peuvent tomber.

 

Cette œuvre commune doit inclure notre attachement partagé pour Israël. Vous et moi savons que nous devons faire plus que rester inertes. Le temps est venu d’être vigilant en faisant face à chaque ennemi, alors que nous nous voulons établir un futur de paix pour les enfants d’Israël et pour tous les enfants. Le temps est venu de se tenir au coté d’Israël lorsqu’il écrit le prochain chapitre de son extraordinaire histoire. Le temps est venu de joindre nos forces pour améliorer le monde.

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la photo date de ça compagne lors de ça visite à Israël, il l'a mis la kipa par respect au juifs.

pour moi, il faut pas s'attendre grand chose d'un musulman de naissance qui ce convertie à la chrétienté NOBAMA

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la photo date de ça compagne lors de ça visite à Israël, il l'a mis la kipa par respect au juifs.

pour moi, il faut pas s'attendre grand chose d'un musulman de naissance qui ce convertie à la chrétienté NOBAMA

vous avez raisons ,...rosvelt=...clinton=bush=obama=... rien ne va changer

et jusqu'a quand on attends les autres qu'ils trouvent des solutions a nos problème ??

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  • 2 weeks later...

Dites moi les mecs vous etes tous aussi paranos avec la question juif au USA ?

 

Prosonnellement je me suis rendu compte a quel point on été en retard, quand on sait que son pere n'aurait même pas été servit dans un résto durant les année 50 et que maintenant son fils est président de ce pays...........

 

alors que nous . . . . . depuis 1962 c'est toujours les même ....................

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Dites moi les mecs vous etes tous aussi paranos avec la question juif au USA ?

 

a quel point on été en retard,

alors que nous . . . . . depuis 1962 c'est toujours les même ...

 

 

bonjour ami :):):):)

moi personnellement je suis dans la navettes spéciale de mon père

je suis pas en un retard ....vite zoliti. Je crois que tu as oublie

ton pantalon vite prends le bus svp ha..

 

Dite par ben.yas

obama ou pas obama sa change rien a leurs politique vers les arabes

 

merci ..................

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bonjour ami :):):):)

moi personnellement je suis dans la navettes spéciale de mon père

je suis pas en un retard ....vite zoliti. Je crois que tu as oublie

ton pantalon vite prends le bus svp ha..

 

Dite par ben.yas

obama ou pas obama sa change rien a leurs politique vers les arabes

 

merci ..................

 

 

je pense qu'il te manque une case :D

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Crois moi c'est pas de la paranoïa c'est la réalité, ceci est un documentaire très intéressant:

 

http://video.google.com/videoplay?docid=2894821400057137878

 

On peu voir Obama en 2007 (peut etre 2006) déjà cirer les pompes des sionistes (26:20).

 

On NE peu PAS se faire élire au USA si on est un tout petit peu critique envers Israël.

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