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Remous dans le secteur des NTIC


raf----

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http://www.lanouvellerepublique.com/actualite/lire.php?ida=63837&idc=4&date_insert=20080512

 

Un autre point qui aurait pesé dans le départ précipité du premier responsable de l’ARPT concerne l’accès à l’Internet. En effet, par le biais de sa filiale Djaweb, Algérie Télécom a procédé à une baisse tarifaire brutale de plus de 50% sur l’ensemble des services qu’elle propose dans ce domaine. Selon des spécialistes de ce domaine, ce rabais ne peut qu’altérer les principes de la concurrence d’un marché naissant. D’autant plus que la législation et la réglementation en vigueur imposent à tout opérateur de télécommunications d’observer une concurrence loyale.

D’après toujours ses spécialistes, cette chute de prix ne peut être assimilée qu’à une opération de dumping, une pratique interdite par la loi régissant le secteur de la poste et des télécommunications. Etant donné que Djaweb est filiale d’Algérie Télécom qui est titulaire du réseau public de télécommunications, ce «lien parental» peut inciter Algérie Télécom à user de la technique de la subvention croisée pour limiter les pertes de Djaweb induites par la baisse de ses prix, ce qui est un abus de position dominante de la part de l’opérateur historique. Encore, selon le benchmarketing international, dans l’industrie du haut débit, les marges brutes d’exploitation (EBIDTA) seraient de l’ordre de 45% et prenant en considération les coûts d’acquisition des seuls inputs récurrents des services d’Internet, les prix affichés par la filiale d’Algérie Télécom sont inférieurs aux prix de revient.

Ce qui revient à dire que Djaweb s’est lancée dans la vente à perte. Une position qui ne fait que biaiser la loi de la concurrence et qui n’a suscité aucun rappel à l’ordre de la part l’ARPT. En d’autres termes, par sa fonction de juge, l’ARPT s’est vu reléguer au box des accusés.

 

http://www.lanouvellerepublique.com/actualite/lire.php?ida=63837&idc=4&date_insert=20080512

 

Article La nouvelle République du 12/05/2008

 

:confused::confused::confused::confused::confused::confused:

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Salam

 

 

Abus de position dominante...

Tiens on dirait que c'est moi qui a écrit cet article... je plaide pour l'abus de position dominante depuis des mois... et la nouvelle dame à la tête de l'ARPT appuie cette thèse

 

Auto proclamation...

Bien que que cette thèse tient bien la route, je ne pense pas qu'elle serait à l'origine du limogeage du PDG de AT... c'est le ministre qui a annoncé les réduction de 50% et qui a même annoncé une réduction "obligatoire" chez le privé! il fallait alors qu'il s'auto proclame limogé ... mais il est en position d'abus dominant donc il limoge qui il veut.

Modifié par assilabox
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tant qu'on y est gagant, je m'en fou du reste.

je vois pas pourquoi on pleurerait sur le sort de l'EEPAD.

à bon entendeur.............

toi ta vraiment rien compris

hagda la concurrence est morte, la qualité serra nul, le service nul, ......wach idji fi belik tou est nul

 

rana wilina 10 lilour

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Salam

 

assilabox n'est pas un agent...

Ce n'est pas parce que mon pseudo assilabox que je suis un eepadiste... de toute les manière j'ai déjà déposé ma demande chez EASY et ma lettre de résiliation chez eepad est toute prête.

 

la concurrence ...

Ce n'est pas en baissant les prix indéfiniment et en cassant la concurrence que nous allons avoir de la qualité! Moi je rêve d'un marché florissant ou il y aurait au moins quatre opérateurs qui font la course plus ou moyen loyalement pour attirer et satisfaire le client par la qualité et le prix. Des Fais qui soient entièrement indépendants et possédant leurs propres réseaux dégroupés et leurs propres câbles sous marins. On voit bien les résultats de la concurrence dans le marché du GSM, on téléphone aujourd'hui presque gratuitement et on est tous satisfaits...

 

Notre position dans le Maghreb

Bien qu'on soit les pionniers dans le Maghreb à avoir introduit internet et qu'on ait fait des pas de géyant ces quatre dernières années... on ne peut pas se comparer au maroc et à la tunisie qui n'ont pas perdu 10 ans en guerre et qui sont aux portes de l'europe via les iles italiennes et le détroit de Gibraltar... quelques kilomètres de câbles les séparent de la terre verte.

Modifié par assilabox
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toi ta vraiment rien compris

hagda la concurrence est morte, la qualité serra nul, le service nul, ......wach idji fi belik tou est nul

 

 

ça a toujours été comme ça et ça ne risque pas de changer qu'il y est concurence ou pas.

 

rana wilina 10 lilour

 

pour reculer, comme tu dis, il faut d'abord avancer, et nous on ne fais que reculer depuis 1962.

le cauchemar continu............

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Salam

 

Notre position dans le Maghreb

Bien qu'on soit les pionniers dans le Maghreb à avoir introduit internet et qu'on ait fait des pas de géyant ces quatre dernières années... on ne peut pas se comparer au maroc et à la tunisie qui n'ont pas perdu 10 ans en guerre et qui sont aux portes de l'europe via les iles italiennes et le détroit de Gibraltar... quelques kilomètres de câbles les séparent de la terre verte.

 

il faut aussi prendre en considération la superficie de notre pays, qui fait 2.381.741 km², rien à voir avec le maroc et la tunisie.

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Invité HAVOC
du n'importe quoi

alors meme les marocains ,, les tunisiens font du dumping et free et les fai en france ilf font quoi du blanchiment d'argent !!!!.

 

Déjà jusqu'à preuve du contraire, ni FREE ni aucun FAI français ne pratique de dumping, c'est considéré comme un abus de position dominante et donc sanctionné par le droit de la concurrence. Sans parler que cela n'est pas très compatible avec une présence en bourse des dites entreprises.

 

En ce qui concerne nos voisins directes, il faut différencier le cas de celui qui a ouvert son marché à la concurrence et celui qui ne l'a pas fait. Dans un marché non concurrentiel il peut y avoir dumping car il n'y a aucun statut de concurrence à préserver.

 

En Algérie, il me semble que le secteur de l'Internet a été libéralisé par conséquent le dumping (la vente à perte) est normalement interdite. Cela dit, comme en Algérie l'anormal est considéré comme normal, personne n'est sanctionné et personne ne dit rien.

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L’Ex-PDG d’Algérie Télécom parle d’une centaine de factures douteuses

Mouloud Djaziri enfonce Haïchour

 

L’affaire du limogeage du PDG d’Algérie Télécom n’a visiblement pas encore livré tous ses secrets. M. Djaziri ne veut apparemment pas se taire, il insiste sur la version de sa mise à l’écart que lui a donnée jeudi dernier Boudjemâa Haïchour, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication.

 

« Le ministre m’a bel et bien déclaré qu’il a été mis fin à mes fonctions suite à un appel téléphonique du secrétariat général de la présidence », a-t-il réaffirmé. Par conséquent, l’ex-PDG d’AT dit assumer ses dires sur cette affaire. « Je n’invente rien, c’est ce qui m’a été dit par le ministre », clame-t-il. « D’ailleurs, le ministre m’a dit qu’il était peiné que ça se passe comme ça », tranchera-t-il. M. Djarizi, contacté hier, récuse les déclarations du ministre selon lesquelles son limogeage était conforme à la loi. Le ministre, rappelle-t-on, a déclaré, lundi, que « c’est l’assemblée générale qui a fait une proposition au conseil d’administration de mettre fin aux fonctions du PDG » et qu’il assumait entièrement sa responsabilité. M. Djaziri réplique : « C’est faux, il n’y a pas eu d’AG, s’il y en a eu une, c’est lui qui l’a faite avec peut-être son SG. » Pour lui, son sort a été scellé bien avant la tenue du conseil d’administration. Lequel conseil, selon lui, « a passé directement dimanche à l’installation du nouveau PDG ». Ce qui conforte à ses yeux que sa mise à l’écart était « préméditée ». L’ancien PDG d’Algérie Télécom met par ailleurs au défi M. Haïchour de nier l’existence de factures douteuses à Algérie Télécom. M. Djaziri, pour étayer ses dires, revient sur sa convocation par le ministre mercredi 7 mai en compagnie du DFC et du DAG du groupe pour avaliser le payement de certaines factures impayées. A ce propos, il précise qu’« il s’agit d’un dossier de quatre factures dont une seule, d’une valeur de 6 millions DA, est correcte et que les trois autres, d’une valeur de 20 millions DA, sont incorrectes ». Ces factures qui datent de 2005, révèle notre interlocuteur, « n’ont ni bon de commande ni bon de livraison, c’est pour cela que je ne voulais pas les honorer ».

Des factures sans bons de commande

 

Cependant, poursuit notre source, « le ministre m’a instruit de les payer quelque soit X et moi j’ai dit non. Ce qui ne lui a pas plu ». L’ex-PDG n’en reste pas là. Il va plus loin et évoque l’existence de « lourds contentieux » au sein du groupe. « On a hérité d’un énorme contentieux », dit-il, en révélant « l’existence d’une centaine de factures litigieuses à AT qui sont impayées depuis 2004 ». De son avis « ce contentieux ne se règle pas en quatre mois ». Il précise que pour régler ces cas litigieux un comité présidé par l’inspecteur général d’AT, M. Lafi, a été mis en place. Pour lui, « il fallait mettre en place des experts pour étudier l’authenticité de ces factures au cas par cas et vérifier les travaux effectués ». Une procédure qui nécessitait, à ses yeux, beaucoup de temps. « Ce n’est pas en quatre mois ou sur un coup de fil qu’on peut régler ces factures », a-t-il encore insisté. Le problème réside donc dans l’authenticité de ces factures mais pas dans leur paiement. « Je n’ai jamais refusé de les payer, j’ai dit qu’il faut du temps. Il faut payer des factures réglementaires », a-t-il expliqué. L’ex-PDG a suggéré que pour que cela se fasse, il y a des procédures à suivre, notamment la vérification de certains documents par des experts. Une tâche qui nécessite au moins une année, selon l’ancien PDG d’Algérie Télécom pour lequel « payer comme ça, ça ne peut pas se faire ». Il convient de rappeler que le ministre a indiqué lundi dernier qu’un audit interne est en cours de réalisation pour vérifier la bonne gestion du groupe Algérie Télécom. Sur ce plan, Djaziri estime qu’il n’a rien à se reprocher : « J’ai laissé derrière moi une entreprise qui affiche un bilan positif », a-t-il soutenu.

 

L'ex PDG persiste

L’Ex-PDG d’Algérie Télécom parle d’une centaine de factures douteuses

source:http://www.elwatan.com/spip.php?page=article&id_article=94150

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