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sécurité d'un site Internet ??


meriem

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Salam alikoum ;

voilà j'ai une petite question concernant la sécurité de sites web , je voudrais savoir à qui incombe la responsabilité si on attaque un site, est- ce au développeur lui même, ou bien à l'hebergeur (le serveur hébergeant le site) au cas où il y a des trous de sécurité ?

 

Merci

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Salam alikoum ;

voilà j'ai une petite question concernant la sécurité de sites web , je voudrais savoir à qui incombe la responsabilité si on attaque un site, est- ce au développeur lui même, ou bien à l'hebergeur (le serveur hébergeant le site) au cas où il y a des trous de sécurité ?

 

Merci

Salam,

 

Et bien c'est assez compliqué.

 

L'hébergeur doit s'assurer de fournir des services Internet à jour.

A partir de cet instant, si l'hébergeur est sérieux il doit agir en temps et en heure dès qu'une mise à jour sécurité et disponible pour corriger une éventuelle faille de sécurité.

 

Il peut également mettre en place toutes les sécurités systèmes disponibles permettant de bloquer des attaques type "buffer overflow, heap overflow, format bug".

 

Si ces conditions sont respectées, les risques de sécurité vont venir ensuite des développeurs. Si ces derniers développent du PHP non sécurisé, la responsabilité sera du coté du client. En effet l'hébergeur n'est pas responsable du code PHP que tu vas utiliser. Surtout si ce dernier compromet la sécurité de l'hébergement.

 

Par contre c'est à lui de s'assurer, si ton site se fait pirater, qu'en aucun cas le pirate ne pourra modifier les sites des autres clients.

 

Mais sache que tu es seul responsable de ton site et de ses failles de sécurité.

 

Il y'a aujourd'hui plusieurs outils disponibles sur le net pour tester la sécurité d'un serveur et la sécurité d'un site web.

 

Le plus connu et gratuit pour tester la sécurité d'un serveur est NESSUS (http://www.nessus.org).

 

Pour ensuite tester ton site web, l'outil le plus puissant que je connaisse et utilisé par beaucoup de newbie est "Acunetix". Malheureusement ce programme est payant. Cependant si tu débrouilles bien tu devrais pouvoir le récupérer sur des sites P2P. Ca ne sera peut être pas la dernière version mais bon ca sera déjà un bon début :)

 

Voilà :)

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Il faut voir le contrat de l'hebergeur et de l'application web, il me semble généralement que les hébergeurs et developpeurs se dégagent de toute responsabilité en cas de piratage.

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Comme je disais plus haut c'est compliqué tout ca.

 

Mais sache un truc, c'est qu'aujourd'hui tous les pays ne possèdent pas une législation permettant de se retourner contre les pirates.

 

Il suffit de prendre exemple sur la Roumanie :)

 

Et puis il y'a "pirate et pirate"...

Dans le sens ou un vrai pirate s'il s'introduit sur ton système, ce dernier ne viendra pas modifier ta page web ou autre... Il restera sur ton système et essaiera de récupérer d'éventuelles informations qui lui seront utiles par la suite. En gros si le mec est bon tu ne sauras jamais qu'il est entré sur ton serveur :) surtout si ce dernier est mal administré.

 

Et puis y'a les KIDDIZ. Et la comment te protéger d'eux, si l'hébergeur et les développeurs web ne sont pas sensibilisés à la sécurité ?

 

Tu sais que le risque existe...Qu'il y'a des règles à respecter...Donc ben mets tout ce que tu peux en place pour limiter les risques et puis c'est tout.

 

Si il y'a des enjeux financiers, prends une assurance, si c'est une société prends une personne compétente qui saura mettre en place une politique de sécurité adaptée à l'activité de ta boite etc.. etc... :)

 

En gros pour terminer la sécurité passe avant tout par la sensibilisation des administrateurs, développeurs etc.. etc.. A partir du moment ou tu es conscient des risques à toi de les évaluer et de faire le nécessaire pour limiter les dégâts.

 

Bon j' arrête la parce que on peut aller super loin dans ce vaste sujet :)

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  • Messages

    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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