Aller au contenu
Règlement du forum ×
IPTV et arnaques ×

L’Algérie veut Relier 25 000 établissements Scolaires en Vidéo Conférence !


Hicham

Messages recommandés

L’Algérie veut relier 25 000 établissements scolaires en vidéo conférence

bb5aa8d6aa13061d6e5b8dc0b8ce2ce3_L.jpg

Dans quelques mois, l’ensemble du système éducatif algérien sera numérisé. Les élèves pourront faire cours en vidéoconférence. Abdelatif Baba Ahmed, le ministre de l’Education nationale a, à cet effet, lancé deux marchés avec Algérie Télécom pour la mise en service du réseau Internet/Intranet du ministère de l'Education ainsi que la fourniture d'un système de vidéoconférence et de la téléphonie IP et autres applications.

Le 5 novembre 2012, la première étape du projet, qui consiste en l’installation de ce système qui relie les 14 directions du Ministère de l'éducation, a été inaugurée. Les prochaines étapes prévoient le raccordement de 2000 lycées, puis 5000 collèges et ensuite 18 000 écoles primaires. L’objectif recherché par cette mutation du système éducatif est d’optimiser le niveau des élèves pour rivaliser avec la concurrence internationale. Le ministère de l’Education nationale ajoute que 150 manuels scolaires qui existent déjà sur CD seront mis dans la base de données, ainsi les enfants pourront réviser même loin de chez-eux sans avoir besoin de leurs manuels scolaires. Le projet de numérisation doit être achevé avant la fin de l’année 2012.


Source

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Sans déconner les gars ! il ya des écoles sans tables et sans chaises d'autres avec 3 éléves par table ... sans compter celles avec les fuites d'eau et le chaffauge qui marche une semaine sur quatre .......

et vous croyez au conneries qu'on raconte ?

 

Il y a des regions ou il y a meme pas des ecoles...

 

Pauvre pays!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

  • Messages

    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
×
×
  • Créer...