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[Tipasa] l'ANSEJ Poursuit plus de 100 jeunes en Justice


Hicham

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100 jeunes investisseurs poursuivis en justice par l’ANSEJ de Tipasa

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L’antenne de l’Agence nationale de soutien à l’emploi des jeunes (ANSEJ) de la wilaya de Tipasa a poursuivi 113 investisseurs en justice depuis 1997 pour « non-respect de leurs engagements », a indiqué jeudi le directeur de cette structure.

 

L’ANSEJ s’est retrouvée « contrainte » de prendre de telles mesures, après « épuisement de toutes les voies de règlement à l’amiable », a précisé M. Lazali Adlane, lors d’une conférence de presse consacrée à la présentation de l’activité de cette antenne pour l’année 2013.

 

« Ce mécanisme a été élaboré pour la création de postes d’emploi et non pas pour ester les bénéficiaires en justice », a-t-il estimé, expliquant que le recours à la justice « constitue la dernière mesure à prendre en cas de non-respect des engagements par ces derniers ».

Le service chargé de litiges a entamé des procédures de poursuite de 167 autres bénéficiaires par des mises en demeure, qui ont été signifiées par des huissiers de justice, a-t-il encore indiqué, ajoutant que 50 affaires similaires ont été réglées à l’amiable.

 

Il s’agit, a précisé le même responsable, de différents dépassements tels que le « non-remboursement des redevances de l’ANSEJ », la « vente du matériel », le « changement du projet initialement inscrit », ou le « non exercice de l’activité à travers des +arrangements occultes+ ».

 

Concernant les demandes émanant de personnes ayant déjà des emplois et déclarées à la sécurité sociale, M. Lazali a indiqué que 300 projets ont été annulés à cet effet, suite à l’étude des documents fournis par les concernés, expliquant que la réglementation en vigueur ne permet pas d’engager des poursuites judiciaires à leur encontre.

 

Le directeur de l’ANSEJ de la wilaya de Tipasa a affirmé, par ailleurs, que le taux d’entreprises en difficultés financières ne dépasse pas 12%. Sur un total de 8.737 entreprises créées depuis 1998, seules 1.067 souffrent de ce problème, a-t-il indiqué.

La déclaration de faillite de toute entreprise se fait, a-t-il expliqué, après épuisement de toutes les tentatives de la redynamiser à travers l’intervention de l’ANSEJ en coordination avec les autorités publiques en lui offrant des projets à même d’assurer la continuité de son existence.


Source

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malheureusement dans quelques années c'est des millions d'algériens qui seront en justice à cause de l'ansej , certains n'ont pas idée que l'ANSEJ ne donne pas de l'argent mais elle prête , et quand on sait pas gérer son argent avoir des milliards tombés du ciel ça peut rendre fou.

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Bonjour,

 

J'ai une connaissance qui a suivi une démarche ANSEJ pour un projet de refroidissement.

 

Devinez quoi, il c'est arrangé avec son fournisseur pour lui débloquer les fonds en gardant un pourcentage (20% du chèque :D) puis il a décidé de faire autres choses que son projet initiale.

 

Quand je lui ai expliquer qu'il commence déjà déficitaire, il ma répondu "normale, je ferais du chiffre".

 

A entendre ces jeunes, ils n'ont pas de cultures financières ni d'entrepreneuriat. C'est un cercle vicieux l'état est complice et les jeunes sont naïf sachant que nous ne devons pas généraliser puisque je connais pas mal de projet ANSEJ qui ont réussit surtout a apporter une valeur ajoutée a notre pauvre économie (ex: Tartino)

 

Bien à vous

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et les jeunes sont naïf ...

 

Avant d'être naïfs, ils sont malhonnêtes ! J'aurais aucune pitié si j'étais à la charge de ces dossiers de fraude :) Ces jeunes sont majeurs et vaccinés ! Et ils faut qu'on arrête de faire du social dans ce bled, si quelqu'un s'est pris la main dans le sac, on nous sort : meskine, père de famille, 3andou wladou...etc, mais sa famille c'est à lui de penser à eux avant de faire quoi que ce soit. Bref, ces gens ne méritent aucune compassion.

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Avant d'être naïfs, ils sont malhonnêtes ! J'aurais aucune pitié si j'étais à la charge de ces dossiers de fraude :) Ces jeunes sont majeurs et vaccinés ! Et ils faut qu'on arrête de faire du social dans ce bled, si quelqu'un s'est pris la main dans le sac, on nous sort : meskine, père de famille, 3andou wladou...etc, mais sa famille c'est à lui de penser à eux avant de faire quoi que ce soit. Bref, ces gens ne méritent aucune compassion.

 

tout a fait d'accord avec toi Mouradski. pour être plus précis, je voulais dire "naïf" que c'est jeune sans formation s'imagine monter une entreprise et générer des bénéficies facilement.

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    • @youcef17fr c'est où ? Donc de nouveaux conteneurs arrivent de Chine contenant les équipements fibre optique (PBO , ONT , ...ect) après la crise maritime en mer Rouge.
    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
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