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Licences 3G : la surprise Algérie Télécom


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INFO tsa-algerie.com.

 

L’opérateur historique Algérie Télécom est candidat pour l’acquisition d’une licence de téléphonie de troisième génération (3G), a appris TSA de source proche du dossier. Cette candidature se fera via une nouvelle filiale nouvellement créée, a précisé notre source qui n’a pas souhaité fournir plus de détails sur la nomination ni les statuts de la nouvelle structure. Une chose est sûre : cette dernière a retiré le dossier préliminaire de candidature auprès de l’ARPT et elle retirera le cahier des charges la semaine prochaine. Mobilis, filiale mobile d’Algérie Télécom, est également candidat à l’obtention d’une licence 3G.

L’entrée en lice d’Algérie Télécom répond à une stratégie. L’arrivée de la 3G à partir de début 2012, avec des débits internet dépassant 7 méga, va relancer la concurrence dans l’internet et constituer une véritable menace pour l’opérateur historique. Aujourd’hui, Algérie Télécom peine à répondre à la forte demande en matière d’accès ADSL. En cause, la mauvaise qualité de son réseau et les lacunes des structures commerciales. Algérie Télécom va dans ce contexte utiliser sa nouvelle filiale pour commercialiser toutes ses offres internet haut débit : via la 3G et à travers l’ADSL. En somme, le choix du gouvernement semble être fait : le développement de l’internet à grande vitesse en Algérie se fera à travers la 3G.

 

Reste à savoir si l’Algérie va octroyer trois ou quatre licences. Lors de l’annonce du lancement du processus d’introduction de la 3G en Algérie, le gouvernement avait exclu d’accueillir un quatrième opérateur mobile, d’autant que le prix de la licence sera symbolique. Ce changement de stratégie trouve certes sa logique dans le souci de protéger Algérie Télécom dans l’internet à grande vitesse. Mais pas seulement : un quatrième acteur pourrait aussi signifier qu’un des trois opérateurs mobiles actuellement sur le marché (Djezzy, Mobilis et Nedjma) n’aurait pas sa licence 3G.

 

 

 

qu'est ce que vous pensez de cela ? :)

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Je ne crois pas a cette pseudo information ,car elle n'est vraiment pas logique , comment un groupe de telecom peut-il avoir deux opérateurs mobile sur un même marché ?! ça n'a ni queue ni tête ,à la rigueur sur le marché de l'Adsl je peux comprendre leur manège( à Algerie telecom) faire croire au citoyen lambada qu'il existe plusieurs FAI (y en a même qui croient que huawei est un FAI ) et vu que c'est le même réseau technique et commercial pour les 3 clones ainsi que l'absence de concurrents privés fait que Algérie telecom peut se permettre de d'avoir trois FAI sur le même marché , mais pour la 3G comme souligné plus haut se serait impossible déjà que Mobilis à du mal a convaincre face aux deux autres opérateurs alors l'entré d'un 4eme opérateur de la même famille :) sèmerait une confusion général chez les communs des mortels et ...flop

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Je ne crois pas a cette pseudo information ' date='car elle n'est vraiment pas logique , comment un groupe de telecom peut-il avoir deux opérateurs mobile sur un même marché ?! ça n'a ni queue ni tête ,à la rigueur sur le marché de l'Adsl je peux comprendre leur manège( à Algerie telecom) faire croire au citoyen lambada qu'il existe plusieurs FAI (y en a même qui croient que huawei est un FAI ) et vu que c'est le même réseau technique et commercial pour les 3 clones ainsi que l'absence de concurrents privés fait que Algérie telecom peut se permettre de d'avoir trois FAI sur le même marché , mais pour la 3G comme souligné plus haut se serait impossible déjà que Mobilis à du mal a convaincre face aux deux autres opérateurs alors l'entré d'un 4eme opérateur de la même famille :) sèmerait une confusion général chez les communs des mortels et ...flop[/quote']

 

je pense pas un opérateur Mobile mais il veux faire l'ADSL par le 3G

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........ L’arrivée de la 3G à partir de début 2012, avec des débits internet dépassant 7 méga, va relancer la concurrence dans l’internet et constituer une véritable menace pour l’opérateur historique. Aujourd’hui, Algérie Télécom peine à répondre à la forte demande en matière d’accès ADSL. En cause, la mauvaise qualité de son réseau et les lacunes des structures commerciales. Algérie Télécom va dans ce contexte utiliser sa nouvelle filiale pour commercialiser toutes ses offres internet haut débit : via la 3G et à travers l’ADSL. En somme, le choix du gouvernement semble être fait : le développement de l’internet à grande vitesse en Algérie se fera à travers la 3G.......
c'est quand meme incroyable d'annoncer que le passage a la nouvelle (vieille et deja dépassée ailleurs) norme de téléphonie mobile va révolutionner et régler le problème de l’internet haut débit en DZ land ......!!!!???? ils nous prennent pour des ploucs ,,,,,vraiment !!!! A moins que ça soit (et ça doit surement l’être) un AVEU (aussi gros que l’Himalaya) que leur réseau fixe est tellement pourri ,anarchique et archaïque qu'il est irrécupérable et inutilisable pour des débits dépassant le "fantomatique" 1 mega qu'il nous vendent au prix F O R T(depuis prés une dizaine d’années deja !!!), alors qu'ailleurs le progrès dans les NTIC se mesurent en mois si ce n'est en semaines......
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clé usb 3G, il lui faut un réseau 3G pour fonctionner. ils non pas le choix, soit partager cela avec mobilis soit utiliser un nouveau réseau donc un nouvel opérateur mobile en Algérie.

 

Oui justement wallah ya khouya on a rien compris dans cette histoire d'AT opérateur 3G :confused: c'est louche, mais je suis pour un 4eme opérateur un vrai comme vodaphone, orange ......etc vive la concurrence

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je pense pas un opérateur Mobile mais il veux faire l'ADSL par le 3G

 

ADSL

 

qui veut dire Asymmetric Digital Subscriber Line qui signifie que l'ADSL passe uniquement par des files

wa allaho a3lam

 

 

concernant Algerie télécom, je crois que le ministre a dit que seul les operateurs de téléphonie mobile sont autorisés à retirer le cahier des charges

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comme la déjà dit le ministre et comme il la rappelé HBM, la licence 3G ne sera octroyé que pour les 3 opérateurs, donc je pense que la licence de mobilis va etre vendu ou a moitier pour partager les couts avec... exemple Mr.Rebrab ... ou un autre algérien avec une grande chkara noir, et ça portera comme nom : Civilis Telecom, Labilis Telecom etc ...

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    • @youcef17fr c'est où ? Donc de nouveaux conteneurs arrivent de Chine contenant les équipements fibre optique (PBO , ONT , ...ect) après la crise maritime en mer Rouge.
    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
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