Rechercher dans la communauté
Affichage des résultats pour les étiquettes 'enseignement'.
3 résultats trouvés
-
Cherche collège et primaire enseignant en français
ychaouche a posté un sujet dans Etudes et enseignement
Bonjour, A part Alexandre Dumas qui reste très cher, connaissez-vous d'autres établissements enseignant en français (Alger et environs) ? -
Bonjour, A l'occasion du quatorzième SIFtech, Salon International du Futur Technologique, Krizalid communicaiton organise le concours Lawha pour la meilleure oeuvre numérique pour l'enseignement, doté de 4 prix qui totalisent 2 millions de dinars et répartis comme suit : -1er prix : UN MILLION de DA - 1 000 000,00 DA -2ème prix: CINQ CENT MILLE DA - 500 000,00 DA -3ème prix: TROIS CENT MILLE DA- 300 000,00 DA -4ème prix: DEUX CENT MILLE DA - 200 000,00 DA L'inscription est ouverte à tous : étudiants, porteurs de projets, startups, entreprises, associations etc. Pour plus d'information merci de consulter http://www.siftech.info/telechargement/concours.pdf. Les inscriptions sont ouvertes jusqu'au 14 Avril 2013. Bonne chance à tous !
-
- classe numérique
- concours
-
(et 2 en plus)
Étiqueté avec :
-
Grogne dans les instituts universitaires : Les étudiants dénoncent un décret de la «honte» L’ébullition dans certains instituts et écoles supérieures du pays. A l’origine de la colère estudiantine, un décret présidentiel du 15 décembre 2010 sur l’équivalence des diplômes universitaires, initié par le ministère de l'Enseignement supérieur. Aussitôt rendu public, le décret est fortement contesté par les étudiants. Un rassemblement est prévu pour demain mercredi 09 février devant le siège du ministère de l’Enseignement supérieur, à Alger. Un mouvement de grève illimitée est déclenché lundi 6 février par les étudiants de l'Ecole Supérieure d'Informatique ESI, l’ex INI, à Alger. La grogne s’est propagée à l’Institut national d’agronomie, à l’Ecole polytechnique, d'architecture et d’urbanisme et à l’école nationale des travaux publics. A Boumerdes, à l’est de la capitale, les étudiants de la Faculté des sciences de l'ingénieur (FSI) de l'université M'hamed-Bougara ont boycotté les examens qui ont du être reportés. Les étudiants contestent contre le fait que dans le décret présidentiel le diplôme d'ingénieur n'ait pas été revalorisé dans la grille indiciaire (groupe A catégorie 13). C'est que désormais, le diplôme d’ingénieur (bac +5) est aligné sur la licence LMD (licence-master- doctorat) + post-graduation spécialisée (BAC+ 4). Celui de master LMD (licence LMD+ 2 ans), classé selon l’ancien décret présidentiel n° 07/304 du 29 septembre 2007, au même titre que les deux diplômes précédemment cités, a été reclassé à la catégorie 14, groupe A. Colère. Les étudiants rêvaient d’un diplôme dans l’une des « grandes écoles », aujourd'hui ils se disent bernés. « Le décret considère que le statut d’ingénieur d’Etat équivaut à celui d’une licence LMD. Pour accéder à l’INI, on nous a exigé une moyenne de 17/20. Alors que pour le LMD, il fallait une moyenne de 10 pour accéder à l’université. C’est injuste de nous mettre au même niveau et dévaloriser ainsi notre statut », dénonce Mahfoud, étudiant à l'Ecole Supérieure d'Informatique. Mahmoud se sent trahi par le ministère de tutelle. « On nous a fait miroiter les grandes écoles. Maintenant, on se retrouve moins que rien », lâche-t-il. Sihem, sa collègue, a du mal à cacher son ressentiment. « Le décret est foncièrement injuste. On veut casser le système classique. A l’INI, on trime jour et nuit alors que le système LMD est moins pénible. Et là, on se trouve, avec ce nouveau décret, au même échelon », confie-t-elle. Même sentiment d’injustice chez Karima, étudiante dans la même école. « Sur la grille des salaires, nous sommes classés à l'échelon 13 alors que ceux de Master 2 sont au 14. Nous sommes défavorisés », se plaint-t-elle. Mardi 7 février, les ingénieurs de l’ex-INI maintiennent la pression. Un seul mot dans la bouche : mobiliser davantage afin d’arracher leurs droits. Riposte Au chapitre des revendications, les étudiants contestataires réclament une équivalence entre le diplôme d'ingénieur d'Etat (BAC +5) et celui de master 2 (BAC+5), l'obtention des mêmes droits que ceux de Master 2, dont l'accès au concours de bourses à l'étranger, l’inscription à l'école doctorale et un statut spécial (15) sur la grille des salaires. Décidés à ce faire entendre, les étudiants de plusieurs universités du pays, Tizi Ouzou, Boumerdes, Bab Ezzouar et Blida préparent ainsi la riposte. Un mouvement de refus de cette loi de « la honte » se cristallise. Une pétition circule. Les étudiants prévoient d’organiser mercredi 9 février un rassemblement de protestation devant le siège du ministère de l’Enseignement supérieur, sis à Ben Aknoun, sur les hauteurs d’Alger. source
- 55 réponses
-
- 1
-
- ben aknoun
- enseignement
-
(et 5 en plus)
Étiqueté avec :