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Vers un vaccin contre le Sida ?


Invité salimdz

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Vers un vaccin contre le Sida ?

 

mercredi 17 septembre 2008.

Des scientifiques du Gladstone Institute of Virology and Immunology (GIVI) et du National Institutes of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) ont identifié un gène qui pourrait potentiellement influencer la production d’anticorps neutralisant le VIH.

 

En 1978, des chercheurs du National Institutes of Health qui étudiaient le rétrovirus Friend chez la souris ont découvert un gène appelé Rfv3 qui influençait la production d’anticorps neutralisants permettant à l’animal d’endiguer l’infection. En 1999, ils ont restreint la localisation de ce gène sur le chromosome 15. L’équipe de recherche du directeur du GIVI et des scientifiques du NIAID démontrent aujourd’hui que Rfv3 est régulé par le gène Apobec3, établissant ainsi un lien entre ce dernier et la réponse immunitaire des anticorps neutralisant le rétrovirus Friend.

 

Les scientifiques ont tout d’abord trouvé qu’Apobec3 était localisé dans la même région chromosomique que Rfv3. De plus des expériences chez la souris ont montré que l’inactivation d’Apobec3 chez des souches résistantes à Friend grâce à Rfv3, deviennent sensibles au virus, et que les souris naturellement sensibles au virus ont subi un épissage alternatif aberrant de l’ARN d’Apobec3.

 

Les scientifiques ont alors envisagé la possibilité d’extrapoler ces résultats à l’infection des humains par le virus du sida, appartenant lui aussi à la famille des rétrovirus. En effet il est déjà connu que le VIH utilise un de ses gènes pour spécifiquement désactiver les protéines humaines Apobec3 et que les patients infectés par le virus produisent rarement des anticorps neutralisants contre ce dernier. De plus d’autres études présentent des personnes qui malgré des expositions répétées au virus du sida ne contractent pas l’infection. Ces personnes produisent un type particulier d’anticorps reconnaissant le virus et des études de cartographie génétique de leur résistance impliquent une région chromosomique sur laquelle les gènes Apobec3 sont localisés.

 

Cette nouvelle étude sur les souris et ces différentes études sur le VIH suggèrent un lien potentiel entre le gène humain Apobec3 et la stimulation d’anticorps neutralisants anti-VIH, et suggèrent donc l’utilisation de médicaments ou vaccins qui interfèreraient avec la protéine. Cette découverte vient de résoudre un mystère vieux de 30 ans en biologie des rétrovirus et va permettre d’ouvrir une nouvelle voie de développement de vaccins contre le VIH. Il ne s’agit à ce stade que d’extrapolations et bien entendu d’autres études devront être menées.

 

L’équipe de scientifiques est en train de cibler des composants susceptibles de restaurer les fonctions du gène Apobec3 au cours de l’infection par VIH.

 

source : Techno-Science

 

source : http://algerie.actudz.com/article2608.html

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    • merci cest sympa , suis la pour ca pas que pour vendre , c est ça le sav , on lâche pas temps que ça ne fonctionne pas , et si au final l'offre prise ne correspond pas j en ai bq d autre à proposer .. y en a pour tout les goûts toutes les bourses   
    • Bon voilà, ça fonctionne Un grand merci à MichelDZ, le pauvre, 2h hier à essayer de faire fonctionner ca sur mon pc. Aller savoir pourquoi, mais rien ne fonctionnait, pas moyen de faire une machine virtuelle, et les logiciels habituels ne voulait rien afficher, allez comprendre pourquoi, des fois il ne faut pas grand-chose pour que ca parte en cacahouète.  Il n'a pas lâché l'affaire, j'avais abandonné avant lui ^^ mais il a réussi à me le faire fonctionner.  Il m’a même relancé ce matin, savoir si ca allait toujours bien.  👍 Étant ma 1er iptv, je manque de point de comparaison, pour ce qui est du bouquet, je ne pourrais pas dire si c'est mieux ou moins bien que d'autres, mais je suis ravi, ceux qui se plaignent sont difficiles, à ce prix, c'est fou toutes ces chaines, et cette collection de films et séries. Mais pourquoi je ne suis pas venu avant, au lieu de me faire ch** avec le streaming. Enfin voilà, SAV au top, et offre complète, un vendeur que je recommande et garde précieusement dans mes contacts. 🥰
    • Alors que nous peinons à déployer du 100 % fibre optique et à sortir du débit de base  mesquin de 10Mbps, ailleurs le monde scientifique travaille déjà depuis plusieurs années au réseau Internet de demain. Vous avez sûrement au moins entendu parler de la théorie physique sur laquelle il se base : la mécanique quantique. Pour résumer, il s'agit de l'étude des comportements des particules à l'échelle des atomes et plus petit. Pour la première fois, des chercheurs ont créé un système qui relie ces deux composants clés et utilise des fibres optiques classiques pour transmettre les données quantiques. L'exploit a été réalisé par des chercheurs de l'Imperial College de Londres, de l'Université de Southampton et des universités de Stuttgart et de Wurzburg en Allemagne, et les résultats ont été publiés dans Science Advances . Le co-premier auteur , le Dr Sarah Thomas , du Département de physique de l'Imperial College de Londres, a déclaré : « L'interfaçage de deux appareils clés ensemble est une étape cruciale dans la mise en réseau quantique, et nous sommes vraiment ravis d'être la première équipe à avoir pu pour le démontrer. » Le co-premier auteur Lukas Wagner, de l’Université de Stuttgart, a ajouté : « Permettre aux emplacements longue distance, et même aux ordinateurs quantiques, de se connecter est une tâche essentielle pour les futurs réseaux quantiques. » Communication longue distance Dans les télécommunications classiques – comme Internet ou les lignes téléphoniques – les informations peuvent être perdues sur de grandes distances. Pour lutter contre cela, ces systèmes utilisent des « répéteurs » à des points réguliers, qui lisent et réamplifient le signal, garantissant ainsi qu'il arrive intact à sa destination. Toutefois, les répéteurs classiques ne peuvent pas être utilisés avec des informations quantiques, car toute tentative de lecture et de copie de ces informations les détruirait. Il s'agit d'un avantage dans un sens, dans la mesure où les connexions quantiques ne peuvent être « exploitées » sans détruire les informations et alerter les utilisateurs. Mais c’est un défi à relever pour les réseaux quantiques longue distance. Mais des chercheurs ont trouvé la solution. Une façon de surmonter ce problème consiste à partager des informations quantiques sous la forme de particules de lumière intriquées, ou photons. Les photons intriqués partagent des propriétés de telle manière que vous ne pouvez pas comprendre les unes sans les autres. Pour partager l'intrication sur de longues distances à travers un réseau quantique, vous avez besoin de deux appareils : un pour créer les photons intriqués et un pour les stocker et permettre leur récupération ultérieure. Il existe plusieurs dispositifs utilisés pour créer des informations quantiques sous forme de photons intriqués et pour les stocker, mais la génération de ces photons à la demande et la disponibilité d'une mémoire quantique compatible dans laquelle les stocker ont longtemps échappé aux chercheurs. Les photons ont certaines longueurs d'onde (qui, dans la lumière visible, créent des couleurs différentes), mais les dispositifs permettant de les créer et de les stocker sont souvent réglés pour fonctionner avec des longueurs d'onde différentes, ce qui les empêche de s'interfacer. Pour créer une interface entre les appareils, l’équipe a créé un système dans lequel les deux appareils utilisaient la même longueur d’onde. Un « point quantique » produisait des photons (non intriqués), qui étaient ensuite transmis à un système de mémoire quantique qui stockait les photons dans un nuage d'atomes de rubidium. Un laser a activé et désactivé la mémoire, permettant aux photons d'être stockés et libérés à la demande. Non seulement la longueur d'onde de ces deux appareils correspondait, mais elle était également à la même longueur d'onde que celle des réseaux de télécommunications utilisés aujourd'hui, ce qui permettait de la transmettre avec des câbles à fibre optique classiques, familiers aux connexions Internet quotidiennes. L’équipe va maintenant chercher à améliorer le système, notamment en s’assurant que tous les photons sont produits à la même longueur d’onde, en améliorant la durée de stockage des photons et en réduisant la taille de l’ensemble du système. Cependant, en tant que preuve de concept, il s'agit d'un pas en avant important, déclare le co-auteur Dr Patrick Ledingham de l'Université de Southampton : « Les membres de la communauté quantique tentent activement d'établir ce lien depuis un certain temps. Cela inclut nous, qui avons déjà tenté cette expérience à deux reprises avec différents dispositifs de mémoire et de points quantiques, remontant à plus de cinq ans, ce qui montre à quel point c'est difficile à réaliser. "Cette fois, la percée a été de réunir des experts pour développer et exécuter chaque partie de l'expérience avec un équipement spécialisé et de travailler ensemble pour synchroniser les appareils."  
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