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Un Mobile 3G sous Linux à 100 dollars


sifoou

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La société NXP Semiconductors (filiale de Philips) et la jeune pousse française Purple Labs se sont associées pour développer le « Purple Magic », une plateforme de référence visant à développer un téléphone mobile 3G sous Linux proposé sous les 100 dollars.

 

Et pour ce prix, le mobile en question entend proposer des technologies très proches de celles des principaux smartphones du marché avec une couche de visiophonie, un lecteur multimédia audio / vidéo et un navigateur web exploitant des réseaux de haut-débit sans fil. Prévu pour être commercialisé en Asie du sud-est, en Europe de l'est ou en Amérique Latine, ce terminal ne sortira cependant pas en l'état sous cette marque.

 

Partant du constat d'après le GSA que ce sont déjà 197 réseaux 3G qui ont ouverts dans 87 pays du monde, l'idée pour les deux entités est de commercialiser cette plateforme de référence en marque blanche à des constructeurs de mobiles pour qu'ils puissent lancer sous leur marque des mobiles 3G à bas prix. « Pendant les dernières fêtes, les opérateurs mobiles ont acquis des mobiles 3G d'entrée de gamme pour un prix situé entre 120 et 145 dollars. En exploitant un système Linux, le design de référence du Purple Magic permet aux constructeurs de proposer des produits 3G à des prix inférieurs à 100 dollars », a ajouté Simon Wilkinson, le PDG de Purple Labs.

 

Côté technique, ce mobile exploitera une puce 3G/3G+ de NXP associée à un processeur ARM926 et à la suite logicielle Linux de Purple Labs. La phase de production en masse d'une telle solution a déjà débuté. Il ne reste plus qu'aux constructeurs ODM/OEM, voire aux opérateurs mobiles du marché de passer commande.

 

 

Source :http://www.neteco.com/92954-nxp-purple-labs-lancent-premier-smartphone-3g-linu.html

 

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    • Enfin le superadmin ... Enfin tous les option  Je pense que le nom d'utilisateur et mot de passe de la connexion est le numéro de téléphone du fix avancé par 3 lettres et la même chose pour mp c'est ce que j'ai trouvé.. Je bidouille mais sans internet il mon installé le modem sans signal los mais le fix marche bizarre le technicien ma dit d'attendre 1 heure mais après 5 heure y'a rien j'ai appelé le 12 il mon dit que si elle ne serait pas activé par votre agence alors demain en va l'activé mais moi j'ai un doute lui même a appelé le 12 il ont dit que le signale ne pas stable alors m'a dit que peut être il ya du la poussière il a sifflet un peut dans le trou de la boîte 🤣🤣 moi ma conclusion c'est du bricolage tous ca je vais le contacté dimanche avant que ligne soit rétabli sinon je vais resté avec une connection de batata ellah yej3al el khir  
    • @youcef17fr c'est où ? Donc de nouveaux conteneurs arrivent de Chine contenant les équipements fibre optique (PBO , ONT , ...ect) après la crise maritime en mer Rouge.
    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
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