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Introduction de la téléphonie mobile 3G en Algérie : doutes et interrogations


Invité salimdz

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Invité salimdz

Introduction de la téléphonie mobile 3G en Algérie : doutes et interrogations des experts

 

Par sonia lyes le 18/04/2008 à 16:10

 

L’Algérie s’apprête à lancer, d’ici à la fin du mois d’avril, un appel d’offres en vue d’attribuer une ou plusieurs licences de téléphonie mobile de type 3G (troisième génération), selon le ministre des télécommunications Boudjemaa Haichour. Pour la lancer cet ambitieux projet, le gouvernement s’est appuyé sur une étude menée par l’institut français Idate, spécialisé dans les télécommunications. Selon nos informations, l’étude a été menée sur une période de trois mois, avant de conclure que le marché algérien était prêt pour le lancement d’offres de type 3G.

 

Or, des experts interrogés par toutsurlalgerie.com doutent du sérieux de ces conclusions. La cause ? « La 3G nécessite la construction d’un nouveau réseau entièrement indépendant des réseaux GSM existants. Or, le coût d’une telle opération se chiffre en plusieurs centaines de millions d’euros, voire en quelques milliards. Hormis Orascom, Quel opérateur possède de telles capacités financières en Algérie ? », s’interroge un expert en télécommunications qui a requis l’anonymat. Or, selon des sources proches de l’opérateur, Djezzy, filiale d’Orascom, aurait montré peu d’intérêt pour investir dans un réseau de troisième génération dans la mesure un réseau de type 2,5G (un GSM amélioré) permet largement de répondre aux attentes des Algériens en matières de contenus multimédias : consulter des courriels, échanger des MMS photos, lire les journaux…Pour leur part, les opérateurs Mobilis et Nedjma pourraient décider de se contenter de développer leurs services 2,5G.

 

Les réseaux 3G ont été conçus pour des applications qui demandent des capacités importantes en bande passante permettant notamment de recevoir la télévision, écouter de la musique ou de consulter des vidéos. Autant de services que les réseaux GSM ne supportent pas. « Or, en Algérie, il existe une seule chaîne de télévision, ENTV. Boudée dans les foyers au profit des chaînes étrangères, il est peu probable que des Algériens acceptent de débourser d’importantes sommes d’argent pour la regarder sur leurs mobiles. A moins que le gouvernement ne décide d’autoriser d’autres chaînes d’émettre sur les réseaux mobiles. Dans ce cas de figure, c’est tout la loi sur l’audiovisuel qu’il va devoir revoir », souligne un autre expert.

 

Autre détail auquel sera confronté le futur opérateur 3G : comment faire payer des services sur le mobile (musique, films, télévisions…) alors que le consommateur algérien a appris à les consulter gratuitement ou à des prix dérisoire grâce au piratage? « C’est tout le modèle économique du futur opérateur 3G qui reste à déterminer. Autant de difficultés qui laissent plusieurs experts sceptiques. Interrogé par toutsurlalgerie.com, l’Idate n’était pas disponible pour commenter nos informations.

Dans ce contexte, pourquoi le gouvernement cherche à introduire la 3G ? A moins que le lancement d’un appel d’offres pour une licence 3G ne soit un prétexte pour permettre à un quatrième entrant de s’implanter sur le marché algérien. Une manière de faire oublier les errements de la privatisation d’Algérie Télécom ?

 

source : http://www.toutsurlalgerie.com/algerie-telephonie-3G-doutes-3263.html

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Or, des experts interrogés par toutsurlalgerie.com doutent du sérieux de ces conclusions. La cause ? « La 3G nécessite la construction d’un nouveau réseau entièrement indépendant des réseaux GSM existants. Or, le coût d’une telle opération se chiffre en plusieurs centaines de millions d’euros, voire en quelques milliards. Hormis Orascom, Quel opérateur possède de telles capacités financières en Algérie ? », s’interroge un expert en télécommunications qui a requis l’anonymat. Or, selon des sources proches de l’opérateur, Djezzy, filiale d’Orascom, aurait montré peu d’intérêt pour investir dans un réseau de troisième génération dans la mesure un réseau de type 2,5G (un GSM amélioré) permet largement de répondre aux attentes des Algériens en matières de contenus multimédias : consulter des courriels, échanger des MMS photos, lire les journaux…Pour leur part, les opérateurs Mobilis et Nedjma pourraient décider de se contenter de développer leurs services 2,5G.

 

Voici un article du Jeudi dernier paru sur le Quotidien d'Oran qui dissipe les thèses de ces "experts" si anonymes ;)

 

"Un contrat est signé avec Nokia Siemens Networks Nedjma perfectionne son réseau"

 

 

Lien : Le Quotidien d'Oran du Jeudi dernier (17/04/08)

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Bonjour, ce que je n'arrive pas a saisir, pourquoi faut il un nouvel appel d'offre donc nouvel operateur pour introduire la 3G en Algerie ? , ceux qui existent deja n'ont pas le droit de le faire ? mais pourtant nedjma se prépare !!.

 

perso je pense que sa sera une bonne chose , certe question de contenue c'est tout un truc a revoir mais question d'acces a internet a HAUT debit c'est trés interessant à l'image de ce que fait SFR avec sa box a 30 €, je pense que nedjma doit activer dans ce domaine pour rattraper et voire depasser les autres opérateurs si son projet se concretise.

 

wait and see comme d'habitude en Algerie tout est flou.

salutations

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Bonjour, ce que je n'arrive pas a saisir, pourquoi faut il une nouvel appel offre donc nouvel operateur pour introduire la 3G en Algerie ? , ceux qui existent deja n'ont pas le droit de le faire ? mais pourtant nedjma se prépare !!.

 

je suis daccord sur ce point avec toi mon ami zving moi aussi j'ai rien compris

 

perso je pense que sa sera une bonne chose , certe question de contenue c'est tout un truc a revoir mais question d'acces a internet a HAUT debit c'est trés interessant à l'image de ce que fait SFR avec sa box a 30 €, je pense que nedjma doit activer dans ce domaine pour rattraper et voire depasser les autres opérateurs si son projet se concretise.

 

wait and see comme d'habitude en Algerie tout est flou.

salutations

 

si nedjam fera comme SFR alors la bye bye djezzy et mobilis:D

 

vive NEDJMA:)

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pourquoi faut il une nouvel appel offre donc nouvel operateur pour introduire la 3G en Algerie ? , ceux qui existent deja n'ont pas le droit de le faire ?

 

Je ne suis pas spécialiste du domaine, mais je crois que c'est une question de contenu, ou plutôt disons que la 3G permettra la télé sur portable , et qui dit télé dit médias à grande diffusion, donc nécessité d'agrément spécifique.

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slt amine , mais si je suit ton raisonnement, pour la triplay (TV+ADSL+VOIP), il fallait lancer un nouvel appel d'offre aussi alors que eepad va le faire . il faut des autorisations sa c'est sur mais pas au point de ramener de nouveaux opérateurs pour sa, enfin c'est ce que je pense.

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Invité salimdz
lancer un nouvel appel d'offre

 

pour avoir un bon montant d'argent pour le trésor publique, il est appliqué dans les créneau prometteur comme les télécom ou le pétrole ou les mines ou les mines de l'or ...

 

et aussi il peut l'un des ces 2 opérateur nedjma ou djezzy achetée cette licence, pour mobilis il à le droit de l'exploité sans licence

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Je ne suis pas spécialiste du domaine, mais je crois que c'est une question de contenu, ou plutôt disons que la 3G permettra la télé sur portable , et qui dit télé dit médias à grande diffusion, donc nécessité d'agrément spécifique.

+1 pour le contenu : Nous n'avons pas de contenu à offrir en 3G, à quoi sert tous ces buzzs alors ? ça sera de la 3G pour télécharger des sonneries Nadjwa Karam ? huh !

 

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Invité salimdz

le 3G existe en maroc quelle est la différence pour l'algerie

 

Offre 3G Méditel : La concurrence s’aiguise

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Le jeudi 19 avril 2007.

 

premiers services 3G arrivent chez Méditel. Celui-ci avait déjà annoncé, à l’occasion de la présentation de ses résultats annuels en mars, son futur produit 3G.

 

En attendant la téléphonie, programmée pour le début de l’année prochaine, c’est l’offre data qui sera mise ces jours-ci sur le marché. Une connectivité à l’Internet illimité, haut débit allant jusqu’à 3,6 Mb/s.

 

La connexion est basée sur la technologie HSDPA, dite 3,5 G ou 3G+, protocole offrant des performances dix fois supérieures à la 3G-UMTS R’99 – dont il est une évolution logicielle. Résultat : une connexion rapide réalisée grâce à un modem USB ou à une carte intégrée PCMCIA, sans besoin de ligne téléphonique, elle est donc mobile. Casablanca, Rabat et Marrakech auront le privilège du lancement.

 

« Les autres villes suivront », précise le management de l’opérateur. Côté prix, Méditel s’aligne sur le marché : 599 DH/HTpar mois, Maroc Telecom propose l’ADSL 4 Mb/s à 583 DH//HT, mais sans l’avantage de la mobilité. L’offre 3G de Wana est, pour sa part, à 540 DH/HT, mais pour une connexion entre 300 Kb/s et 700 Kb/s par utilisateur avec des pics possibles de 2Mb/s. Le modem par contre est à 0 DH chez Méditel pour un abonnement de 24 mois et de 690 DH pour 12 mois. A concurrence, encore une fois, avec Wana qui propose 990 DH pour un abonnement d’une année, 600 DH pour deux ans et moins de la moitié pour un engagement de trois ans.

 

Le lancement de la 3G sera accompagné d’une multitude de services. Le package nommé « Innovation », avec une campagne en « teaser » déjà en place, est destiné à la même cible. Les petits plus comprennent notamment des services à valeur ajoutée comme la « copie contact » qui permet aux abonnés de sauvegarder leur répertoire sur une base de données de l’opérateur et de le récupérer en cas de pertes de la carte Sim. Ou encore le « transfert de solde » permettant de permuter un crédit d’un numéro à un autre. En plus, les points de vente seront relookés selon le concept « Espace ». Une reconfiguration des agences plus cosy où le client pourra écouter de la musique, télécharger des documents ou encore surfer sur Internet. Méditel compte aussi remettre son portail au goût du jour. Discrétion absolue par-contre sur les montants d’investissements.

 

source : http://www.itmaroc.com/Offre-3G-Meditel-La-concurrence-s.html

 

Le 3G arrive au Maroc !

28 mars 2007

 

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Ça y est, les premiers produits 3G arrivent sur le marché. Et c’est le troisième opérateur qui dame le pion à ses concurrents. Maroc Telecom et Méditel ne tarderont certainement pas à répliquer. Le team de Wana n’est pas peu fier de lancer « le premier service 3G en Afrique du Nord »,Wana Moov. Il s’agit en fait d’une offre de connectivité à l’Internet illimitée, sans contrainte de volume et à haut débit, dévoilée hier à Casablanca.

La connexion est réalisée grâce à un modem USB de 4 cm qui s’insère dans le PC. Comme tous les services Wana, l’offre repose sur la technologie CDMA 2000, contrairement à ses deux concurrents qui ont opté pour l’UMTS. D’abord, sur l’axe Casablanca-Rabat, pour couvrir l’essentiel des villes marocaines avant la fin de l’année. Deux options sont proposées à partir d’aujourd’hui. La 3G 1 x RTT et une autre version, plus sophistiquée, dite 3G+, avec un flux audio-video (CDMA 2000 1 x EV). Le tout pour des débits pouvant atteindre entre 300kb/s et 700 kb/s par utilisateur avec des pics possibles de 2Mb/s. Comme tous les services 3G de par le monde, les débits ne sont évidemment pas garantis. L’infrastructure 3G étant mutualisée entre tous les utilisateurs connectés au même moment dans les zones couvertes par la station radio.

 

source : http://www.bladi.net/11936-3g-maroc.html

 

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    • @popmpopm tu as fais comment pour accéder au mode superadmin? j'ai pas bien compris le truc avec le numéro fixe.. de base c'était telecomadmin/admintelecom pour le huawei mais maintenant ca marche plus..
    • Enfin le superadmin ... Enfin tous les option  Je pense que le nom d'utilisateur et mot de passe de la connexion est le numéro de téléphone du fix avancé par 3 lettres et la même chose pour mp c'est ce que j'ai trouvé.. Je bidouille mais sans internet il mon installé le modem sans signal los mais le fix marche bizarre le technicien ma dit d'attendre 1 heure mais après 5 heure y'a rien j'ai appelé le 12 il mon dit que si elle ne serait pas activé par votre agence alors demain en va l'activé mais moi j'ai un doute lui même a appelé le 12 il ont dit que le signale ne pas stable alors m'a dit que peut être il ya du la poussière il a sifflet un peut dans le trou de la boîte 🤣🤣 moi ma conclusion c'est du bricolage tous ca je vais le contacté dimanche avant que ligne soit rétabli sinon je vais resté avec une connection de batata ellah yej3al el khir  
    • @youcef17fr c'est où ? Donc de nouveaux conteneurs arrivent de Chine contenant les équipements fibre optique (PBO , ONT , ...ect) après la crise maritime en mer Rouge.
    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
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