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Silicon Image annonce la mise au point d’un capteur à 12 mégapixels


Invité salimdz

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Invité salimdz

Innovation dans le monde des photophones

Silicon Image annonce la mise au point d’un capteur à 12 mégapixels

21 avril 2008

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La start-up américaine, Silicon Image a annoncé la mise au point d'un nouvel appareil photo pour mobile intégrant un microprocesseur intelligent. (Par Elias B)

 

Silicon Image vient en effet de mettre au point un capteur 12 mégapixels disposant d'un microprocesseur miniaturisé capable de reproduire les fonctionnalités intégrées jusque là uniquement dans les appareils photo numériques : correction automatique de l'exposition, correction chromatique ou encore stabilisation numérique de l'image, selon un site spécialisé. La société annonce même que des contrats seraient déjà signés avec les plus grands fabricants de téléphones mobiles.

 

885-01.jpg

 

Les photophones ont donc de beaux jours devant eux, notamment si le hardware s'améliore pour ne plus compter que sur les traitements logiciels pour procéder aux corrections requises.

 

Ils sont quelques uns à marquer l'évolution des photophones. Samsung a annoncé travailler sur un mobile avec un appareil photo 8 mégapixels (Samsung prépare un mobile avec APN 8 mégapixels) et Kodak préparerait un capteur innovant (Kodak innove dans le capteur pour mobile).

 

Cela étant, l’innovation du matériel et des techniques dans le monde des photophones n’a pas encore dit son dernier mot. Loin de là. Si Sony Ericsson (Cyber-shot C702, K770), Nokia (N95, N96) ou encore Samsung et son innovant SGH-G800 (premier mobile avec appareil photo à zoom optique) s'en tiraient bien jusqu'ici avec des mobiles à appareil photo développé (flash au Xénon, autofocus, zoom optique), il faut tout de même souligner que les résultats de ces types d'appareils sont loin derrière ceux d'un véritable appareil photo numérique.

 

source : http://www.mobilealgerie.com/modules.php?name=News&file=article&sid=885

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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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