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Debian : une faille de sécurité importante dans OpenSSL


algérien_dz

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Le site LinuxFR se fait l’écho d’une faille importante touchant le module OpenSSL dans la distribution GNU/Linux Debian, ainsi que sur toutes celles qui en sont dérivées, telles qu'Ubuntu et Xandros. La faille est importante parce qu’elle touche une fonctionnalité au cœur du mécanisme de sécurité : la génération de nombres aléatoires.

 

Le plus gros problème dans cette histoire est que l’origine du bug remonte à 2006, et que toutes les clés et certificats SSL/SSH générés par des machines sous Debian depuis n’ont plus la garantie d’appartenir à un lot titanesque de possibilités. La conséquence directe est que le générateur de nombres aléatoires pourrait en devenir prévisible, ce qui pose évidemment un problème de sécurité.

 

De fait, aucun utilisateur sous Debian ne peut être certain qu’il est à l’abri d’un pirate qui utiliserait le bug en question pour concevoir une attaque efficace. La confidentialité des échanges dans les réseaux privés virtuels (VPN) n’est plus garantie, pas plus que les infrastructures utilisant des clés PKI.

mini-57219-debian-openssl.jpg

 

Le paquet OpenSSL a déjà été corrigé et il est plus que conseillé à tous les utilisateurs d’installer la nouvelle version. Pour garantir un maximum de sécurité, il n’est malheureusement que trop conseillé de générer à nouveau toutes les clés utilisées dans les différentes applications utilisant OpenSSL.

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ici sur ce forum il n'y a pratiquement aucun membre qui va s'intéresser a ton poste

 

Non khouya, avant hier quand j'ai lu la nouvelle sur slashdot, j'ai voulu la poster ici , mais j'ai eu honte! c'est vraiment grave pour debian d'en arriver là! introduire un bug de sécurité sur un paquetage de sécurité !!!

à la prochaine faille critique , je migre même mon cerveau à OpenBSD lol!

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Non khouya, avant hier quand j'ai lu la nouvelle sur slashdot, j'ai voulu la poster ici , mais j'ai eu honte! c'est vraiment grave pour debian d'en arriver là! introduire un bug de sécurité sur un paquetage de sécurité !!!

mais kho as tu entendu parler d'un pirate qui a exploité cette faille?

à la prochaine faille critique , je migre même mon cerveau à OpenBSD lol!

moi je vais passer a gentoo :)

bien sur je vais garder ubuntu

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Invité HAVOC

Au fait, quelqu'un à déjà essayé CentOS ? Je ne sais pas si ça vaut le coup de passer de Fedora à CentOS (copie de Reh Hat Entreprise).

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Plus sérieusement, l'os parfait n'existe pas c'est clair, faut être fou pour penser le contraire, et même avec ça debian reste l'un des systèmes les plus sûrs! mais je pense qu'avec la multiplication des architectures et le trop grand nombre de paquets , debian risque d'être plus exposé qu'avant!

Mais je vous garanti qu'ils vont très vite rebondir! je lis souvent les newsletter et les rapports de bug de debian , et je constate à chaque fois leur professionnalisme! c'est des pro, et certes l'erreur arrive, mais je suis sûr qu'ils sauront corriger pour que ça n'arrive plus de cette façon.

 

@amarsoft: pour exploiter cette faille , il faut déja deviner le seed, puis sniffer le traffic, donc une sorte de man-in-the-middle (le pirate doit-être assez privilégié sur le réseau). C'est pas très critique pour un utilisateur de desktop, ou même pour un serveur qui en necessite pas une grande confidentialité.

Et pour remédier, il faut mettre à jour openssl, openssh , et regénérer les clés.

http://www.debian.org/security/2008/dsa-1576

http://www.debian.org/security/2008/dsa-1571

 

@havoc: désolé mais j'aime pas centos! lol , vive debian! à chaque fois que j'ai du l'utiliser, je me suis retrouvé à tourner en rond, puis à réinstaller deb, (mais c'est peut-être subjectif).

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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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