Aller au contenu
Règlement du forum ×
IPTV et arnaques ×

Retrait d'argent au nom d'autrui ?!


shincus

Messages recommandés

Bonsoir tout le monde

 

Donc voilà je connais quelqu'un ( ouvrier) qui travaille dans un magasin privé..Le propriétaire de ce dernier a demandé à l'ouvrier et à plusieurs reprises de retiré de l'argent depuis son compte bancaire ( propriétaire) mais en son nom ( ouvrier) à l'aide d'un chèque formulé qui compte d'importante sommes !! et ceci sous prétexte que la banque met du temps à assurer une grande somme !! ( c à dire au lieu que le propriétaire retire une seule fois 500 millions, il retire 250 millions en son nom et 250 millions au nom de l'ouvrier) .

Je voudrai savoir si cela comporte un risque pénale ou autre ! sur le plan réglementaire ! c'est à dire qu'il pourrait s'agir d'une manœuvre de retrait d'argent frauduleuse qui peut engendrer la responsabilité de l'ouvrier ?!

 

Je compte sur vos réponse , merci beaucoup.

Modifié par shincus
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

c'est illégal, si ce n'est pas justifié ( ce qui est le cas)

 

le propriétaire pourrait même un jour demander le remboursement, en prétextant ( preuve a l'appui !) qu'il lui a prété ou avancé cet argent !

 

pire, il pourrait porter plainte pour vol de chèque !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

c'est illégal, si ce n'est pas justifié ( ce qui est le cas)

 

le propriétaire pourrait même un jour demander le remboursement, en prétextant ( preuve a l'appui !) qu'il lui a prété ou avancé cet argent !

 

pire, il pourrait porter plainte pour vol de chèque !

 

 

Merci Djoss pour votre réponse , mais il serait préférable de m'indiquer la base réglementaire ( articles , textes ou autres ...) qui peuvent argumenter ton analyse ! c'est à dire que le propriétaire signe aussi sur le cheque avec l'ouvrier ( avec un expertise sténographique je pense qu'on pourrait confirmer que c bien sa signature !) qu'en pensez vous ?

 

Quoi que je suis de ton avis , c'est très risqué , et louche même !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Modérateurs

Ce qui étonnant ce que la quasi majorité des institutions financières refusent de remettre de grosses sommes en liquide à une personne autre que le titulaire du compte courant, elles lui obligent un virement vers son compte courant personnel.

Pour ce qui est du fractionnement d'un gros montant, il est vrai que les banques demandent un temps (des fois plusieurs jours) pour honorer une aussi importante demande de retrait en numéraire.

Côté textes, je ne penses pas que l'on trouve sinon des instructions internes à chaque institution bancaire.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

je pense que tu n'as pas bien compris ce que je dis :

 

le propriétaire signe un chèque a l'ouvrier ; on est d'accord.

 

en suite, un jour, il a besoin d'argent ou bien il se fache avec l'ouvrier, ou il d'cide d'escroquer...anyway...il se retourne vers l'ouvrier en lui disant : je t'ai fais des chèques, rend moi l'argent ( et lautre lui dit : mais je te lai remis, en espèces : je l'ai retiré pour toi !)

 

et voila que le proprio l'ataque en justice : preuve a l'appui : je lui ai fait des chèques et il ne m'a jamais remboursé ! ( ce qui est, bien sur, totalement faux ! )

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

salam alaikoum

 

en retard mais je dirai d'apres mon experience ....

 

en bref : il te donne un cheque a ton nom , tu retire l'argent , tu livre l'argent au gerant , tu demande un accusé de reception de la somme signé par le gérant ... et voila

 

si t'as pas sa dans la poche t'as q'a revenire au poste precedent de Djoss

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

  • Messages

    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
×
×
  • Créer...