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ATM Mobilis casse les prix de BlackBerry


Invité salimdz

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Invité salimdz

41ème Foire internationale d’Alger

ATM Mobilis casse les prix de BlackBerry

10 juin 2008

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A l’occasion de la tenue de la foire internationale d’Alger, ATM Mobilis a recruté plus de 30 jeunes étudiants (filles et garçons) dans le but de faire connaître leurs différents services au grand public ainsi qu’aux entreprises. Mais également pour effectuer l’opération Arseli. (Par Maroua T)

 

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« Depuis sa création Mobilis participe à la foire internationale d’Alger. Comme tout les exposants nous pensons que c’est l’évènement de l’année et il faut l’exploiter au maximum», souligne M. Amine Alimazighi, Chargé de Clientèle, Direction Marché Entreprises au sein de Mobilis à mobilealgérie.com.

 

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Concernant les promotions qu’offre Mobilis durant la 41éme FIA, M. Alimazighi nous fait savoir que l’opérateur propose des rabais à l’achat d’un pack BlackBerry « la FIA attire des centaines d’entreprises, c’est dans ce contexte que Mobilis a décidé de séduire une grande partie d’entre eux avec ses promotions spéciale foire ».

 

Sur le forfait de 8h, Mobilis propose un rabais de 50% sur les terminaux, avec 1 mois de service illimité offert, sur le forfait de 12h, l’opérateur propose un rabais de 75% sur les terminaux BlackBerry avec 2 mois de service illimité offert. Ainsi Mobilis écarte toute concurrence en offrant 100% de rabais sur les terminaux avec 3 mois de service illimité offert.

 

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D’autre part, Mobilis fait découvrir aux visiteurs à travers ses slogans et panneaux publicitaires le service NAGHMATI (le catalogue musical d’attente), et sa clé USB d’Internet intitulé « mobiConnect » avec un débit tester atteignant 236 Kbt/sec. L’opérateur invite ses abonnés à découvrir amplement ses promotions sur son site web : www.mobilis.dz

 

source : http://www.mobilealgerie.com/modules.php?name=News&file=article&sid=979

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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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