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Boucle locale, FTTH, MSAN, fibre optique : Algérie Télécom presse le pas


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Dans sa lettre adressée aux personnels du groupe, M’hamed Dabouz, son directeur général, invite ses cadres à accélérer les chantiers dans lesquels le groupe télécoms s’est engagé

Dans un message du président-directeur général d’Algérie Télécom à l’occasion de la Fête du travail, M’hamed Dabouz exhorte ses collaborateurs à plus d’imagination et d’effort afin de développer davantage le portefeuille produits du groupe et consolider sa position dans un marché qui lui est presque « naturellement » acquis. Dans son message également, il invite ses cadres à accélérer les chantiers dans lesquels Algérie Télécom s’est engagé. « Vous n’êtes pas sans ignorer que l’opérateur historique a mis en branle un programme de développement sans précédent, symbolisé à l’heure qu’il est par l’éclosion de technologies de proximité haut et très haut débit, le MSAN et le FTTH, appelée à améliorer sensiblement la qualité de nos prestations en matière de téléphonie et d’Internet et d’autres services encore »; écrit-il dans sa lettre. Il poursuit : « En adéquation avec la feuille de route de Moussa Benhamadi, ministre de la Poste et des Technologies de l’Information et de la Communication, je m’engage à veiller personnellement au renforcement de l’esprit d’entreprise par la mise au poste de commandement de la reconnaissance d’une éthique professionnelle et d’une visibilité sur les principes de fonctionnement, la mobilisation des collaborateurs pour une intégration des valeurs de la responsabilité d’entreprise, une meilleure écoute des clients, résidentiels et professionnels, au bénéfice de la qualité de service, mais aussi la prise en compte des spécificités locales et des attentes en général. » En effet, une feuille de route qu’il faudra concrétiser dans des délais très courts sachant le retard à rattraper. Le choix des pouvoirs publics a été tourné vers la consolidation et l’amélioration de l’infrastructure existante afin qu’elle puisse supporter le transit de débits de plus en plus élevés et dans lesquels l’information ne passe plus en « octets » mais bien en « gigas ».

msan.jpgJusqu’à présent, c’est sur l’ossature et l’architecture d’Algérie Télécom que s’appuient majoritairement les pouvoirs publics pour mener leurs différents projets dans les volets de la connectivité ou de la densification de la pénétration téléphonique, spécialement celle du fixe. D’ailleurs, toutes les filiales d’Algérie Télécom sont mises à contribution, que ce soit à travers Mobilis pour les services GSM, ou encore RevSat pour ce qui est des transmissions par satellite. Le président-directeur général d’AT revient également sur l’autre priorité ; la finalisation de la boucle locale. « […] Une attention toute particulière est accordée à la boucle locale, un segment d’activité appelé à jouer un rôle déterminant dans la réussite de la stratégie de l’entreprise dans les domaines du renforcement qualitatif des réseaux pour entraîner la généralisation de la connexion à l’ADSL, le développement de l’installation du réseau d’accès MSAN et de la fibre optique pour permettre au citoyen d’accéder au Triple-Play et à d’autres services qu’offrent les technologies de l’information et de la communication aujourd’hui », écrit-il encore. Cependant, pour y arriver, M’hamed Dabouz a bien choisi ses propos : « Une augmentation de nos revenus par la diversification de nos services et de l’innovation dans nos offres et un meilleur taux de recouvrement de nos créances et une rationalisation de nos dépenses […] constituent la seule source de financement de notre société et l’unique moyen de générer une amélioration des conditions de travail et de vie de nos travailleurs. » Lire qu’Algérie Télécom n’en reste pas moins une entreprise tenue à la rentabilité et donc tenue à être efficace, au-delà de ses missions tentaculaires pour le développement tant national que régional ; pour lequel le groupe est engagé dans le déploiement de la fibre optique transrégionale dans le continent.

 

source:http://www.itmag-dz.com

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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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