Aller au contenu
Règlement du forum ×
IPTV et arnaques ×

Le gouvernement hausse le ton face aux investisseurs étrangers


Invité salimdz

Messages recommandés

Invité salimdz

Le gouvernement hausse le ton face aux investisseurs étrangers

 

Par ali idir le 25/06/2008 à 11:08

L'Algérie hausse le ton face aux investisseurs français et arabes. Profitant de la visite du premier ministre français François Fillon, le ministre de l'Industrie et de la promotion de l'investissement Hamid Temmar a reproché aux hommes d'affaires français leur lenteur en Algérie, en présence de la ministre française de l'Economie Christine Lagarde. Pour sa part, le ministre des Finances Karim Djoudi a appelé mardi les hommes d'affaires émiratis à réaliser les projets qu'ils avaient annoncés en grande pompe en Algérie. Autrement dit, le ministre des Finances reproche aux investisseurs émiratis de trainer des pieds en Algérie.

 

Karim Djoudi a exprimé sa demande et son mécontentement en présence du ministre de l'Economie des Emirats Soltan El Mansouri, venu participer à la 6 e session de la commission mixte algéro-émirati. M. El Mansouri a essayé de rassurer : il a déclaré mardi que les investissements émiratis en Algérie dépasseront 50 milliards de dollars entre 2006-2010.

 

Mais loin d’applaudir la déclaration de son homologue émirati, Karim Djoudi veut d'abord du concret. L'appel qu'il a lancé en direction des hommes d'affaires émirati est adressé notamment au groupe immobilier Emaar qui a fait un long tapage médiatique avant d'obtenir en mars 4200 hectares de terrains dans la capitale. Depuis, les projets d'un montant de 5 milliards de dollars ne sont pas encore sortis des cartons.

 

En difficulté, le groupe Emaar temporise, ce qui porte un coup dur à l'image des investisseurs arabes en Algérie. Leur crédibilité est écorchée par les effets d'annonce sans lendemains. Le groupe Emaar se plaint de blocages bureaucratiques et veut toujours obtenir les titres de propriété des terrains avant de lancer ses projets. Mais les autorités algériennes se méfient et veulent d'abord des engagements fermes de la part d'Emaar pour réaliser ses projets dans la santé et le tourisme. « Emaar a lancé un appel d'offres pour construire des bureaux à Sidi Abdellah, mais les résultats n'ont pas été rendus publics », confie un proche du dossier.

Après avoir longtemps courtisé les investisseurs étrangers, l'Algérie, forte de ses pétrodollars, se montre désormais exigeante et veut des comptes sur les annonces spectaculaires faites par les investisseurs notamment arabes du Golfe.

 

source : http://www.toutsurlalgerie.com/algerie-investisseurs-arabes-gouvernement-3982.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

  • Messages

    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
×
×
  • Créer...