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23 opérateurs ont tissé leur toile


Invité salimdz

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Invité salimdz

CENTRES D’APPELS EN ALGERIE

23 opérateurs ont tissé leur toile

 

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Les centres d’appels se développent en Algérie mais restent peu attractifs aux étrangers. Notre pays compte aujourd’hui 23 centres d’appels contre 6 en 2006, selon un responsable de l’Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT).

Le centre d’appel ou call center est un service de télécommunications dont l’établissement et l’exploitation sont subordonnés à l’octroi d’une autorisation délivrée par l’Autorité. Plusieurs facteurs concourent à la réussite de ce type de projets en Algérie qui peut dépasser le stade de niche potentielle. D’abord, il y a une proximité géographique et économique avec l’Europe qui plaide en notre faveur, absence de décalage horaire apparent avec la France, ou d’autres pays, tels que la Belgique et la Suisse ainsi que l’absence totale d’accent et maitrise académique de la langue française. Il y a aussi un taux de croissance économique parmi les plus intéressants en Afrique et dans le monde arabe, les liens historiques très étroits entre la France et l’Algérie, une main-d’œuvre qualifiée et disponible et l’expansion d’infrastructures modernes. Secteur à fortes potentialités, l’activité des calls centers, malgré les mesures incitatives prises par les pouvoirs publics qui ont notamment réduit les redevances de 10 millions de dinars à 10 000 DA, n’a pas encore atteint sa vitesse de croisière. Le call center procure tous les services de vente et de marketing à distance au travers d’approches intégrées qui associent les compétences pointues et le recours aux technologies du web. Le monde des affaires est plus rapide, plus instantané et plus exigeant. Les clients et les actionnaires demandent simultanément plus de qualité de service et un meilleur rendement économique. Cette nouvelle exigence se retrouve dans la gestion de la substance même du développement des entreprises : la relation clientèle. Les communications téléphoniques sont soit "entrantes", lorsque c’est le client qui appelle, soit "sortantes", lorsque l’initiative de l’appel revient au conseiller. Historiquement présents au niveau mondial dans les banques, l’assurance, avec ses services d’assistance, ou la vente par correspondance, car ils assuraient des missions de prise de commande, de renseignements, d’enregistrement de réclamations, les centres d’appels suscitent à présent l’intérêt d’autres secteurs d’activités comme les télécommunications et le tourisme, en raison de l’extension de leurs activités : conseils, enquêtes, collectes d’informations et réservations.

 

source : http://www.elwatan.com/CENTRES-D-APPELS-EN-ALGERIE

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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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