Aller au contenu
Règlement du forum ×
IPTV et arnaques ×

L'Algérie un Pays Si Généreux , Après le Prêt pour le FMI c'est Autour de L'UNESCO !


Hicham

Messages recommandés

L’Algérie, le pays qui offrait ses dinars aux institutions internationales

 

Unesco-Paris.jpg

 

L’Algérie aura été généreuse ces derniers temps : après les 5 milliards de dollars qu’elle prête au FMI, elle participe à un fonds spécial pour aider financièrement l’UNESCO.

Les Algériens ont le coeur sur le main, et les billets en dehors des poches. L’état algérien financerait semble-t-il, à la hauteur de sa richesse bien entendu, des institutions internationales. Elle vient de prêter 5 milliards de dollars au FMI, et désormais elle viendrait en aide à l’UNESCO, l’organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture. L’organisation connaît actuellement de grandes difficultés financières depuis que les Etats-Unis ont gelé leur contribution dans le budget de l’UNESCO, en signe de mécontentement suite à sa décision d’accorder aux Palestiniens un statut d’Etat membre de plein droit, rapporte le quotidien Le Monde. L’Unesco a donc mis en place un fonds spécial, alimenté essentiellement par des pays arabes ou musulmans comme l’Arabie saoudite, le Qatar, et l’Algérie, qui ont bien voulu lui porter secours. La Turquie et l’Indonésie sont également des contributeurs financiers. En revanche nous ne savons pas cette fois-ci à quelle hauteur l’Algérie a participé, mais après c’est pour la bonne cause non ?


Source

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

C'est normal qu'on prête de l'argent à ces genres d'institutions. Est ce qu'on a oublié qui est ce qui nous a prêté de l'argent au temps de chadli et qui est ce qui va nous prêter de l'argent si jamais l’Algérie sombrerait dans une crise économique (c'est des fonds crée dans ce sens), donc je trouve anormale que tout le monde dans la rue parle de ça comme si l’Algérie jetait de l'argent par les fenêtres. Un PRÊT reste un PRÊT avec les gains qui s'en suivent.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

je sais pas si tu le sais mais l'algérie sombre déjà dans une crise économique et même pire que ça !!

 

Crise économique ?

 

Utilise le bons termes kho.

Une crise économique est une dégradation brutale de la situation économique et des perspectives économiques. Son étendue sectorielle, temporelle et géographique peut aller d'un seul secteur d'une seule région pour une brève période à l'ensemble de l'économie mondiale pendant plusieurs années ; on parlera alors de ralentissement économique ou, plus grave, de récession économique. une telle crise comporte souvent (mais pas systématiquement) des répercussions sur le niveau des salaires et la valeur du capital (valeurs boursières), provoque des faillites et du chômage, accroît les tensions sociales, et peut même avoir des répercussions sanitaires

 

Ce pays ne souffre pas de crise d'économique, mais de mal gestion. L'argent kayen, le développement makash. Ca c'est pas une crise économique.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Voyons ces prêts et dons du bon côté des choses

 

Que ce soit pour le FMI ou pour l'Unesco, certains diront qu'on aurait pu utiliser ces sommes afin de palier aux manquements avérés dans différents secteurs dans notre pays mais ...

 

En l'absence de politique de relance claire et définie des ces différents secteurs et un "nettoyage profond" afin d'éliminer la foultitude de parasites empêchant l'aboutissement de ses politiques; tout investissement se verra inutile car perdu d'avance dans la politique actuelle de Bricolage.

 

Au moins ces sommes seront sauvées et potentiellement à l'abris des convoitises.

 

Loukan yahdihoum rabbi, et qu'ils décident d'ouvrir chouia la porte à l'investissement étranger ainsi convertir ses sommes en projets utiles ça serait vraiment un grand pas pour nous.

 

Mais bon, le temps nous le dira.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

tout ce que je veux dire c'est qu'il y a beaucoup d'argent qui sortent des caisses de l'état et ils ne pensent même pas à rendre des comptes , après tout le citoyen a son mot à dire , on est toujours dans un pays démocratique non ??

 

regardez en france , si françois hollande sort 1 euro des caisses de l'état , vous le verrez faire un communiqué pour expliquer un tel choix , après tout c'est pas son argent.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

C'est normal qu'on prête de l'argent à ces genres d'institutions. Est ce qu'on a oublié qui est ce qui nous a prêté de l'argent au temps de chadli et qui est ce qui va nous prêter de l'argent si jamais l’Algérie sombrerait dans une crise économique (c'est des fonds crée dans ce sens), donc je trouve anormale que tout le monde dans la rue parle de ça comme si l’Algérie jetait de l'argent par les fenêtres. Un PRÊT reste un PRÊT avec les gains qui s'en suivent.

salam

ha bon,tu penses que ce genre de placement fait par un gouvernement illigitime va nous ramener un benefice a long terme ???? je ne suis pas expert,mais je pense que c'est juste un appat pour un retour d'ascenseur en cas de revolte populaire.....et secundo,ces placement,je mettrais mes mains sur le feu qu'ils nous rameneront aucun benefice concret,pire,ces sommes(5M) nous seront restitues en 1M ,a cause de tas de magouille de crise,de devaluation de monnaie...etc....on trouvera tjrs une astuce pour que les occidentaux prennent cet argent gratos,avec le deal de laisser tranquille ces messieurs preteurs d'argent du peuple....

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Prêt de 5 milliards au FMI : Djoudi explique la nouvelle stratégie de l’Algérie

 

Karim Djoudi a défendu, ce mercredi 17 octobre, la décision prise par l’Algérie de prêter 5 milliards de dollars au Fonds monétaire international (FMI). Dans une déclaration à la presse en marge des débats au Conseil de la Nation sur le plan d’action du gouvernement, le ministre des Finances a expliqué les motivations du gouvernement algérien et les objectifs espérés via cette décision.

Selon lui, ce placement apporte plusieurs choses à l’Algérie. D’abord, « nous allons forcément améliorer la gestion de nos réserves de changes par les conditions qui sont données à ce placement ». Deuxièmement, « l’Algérie, aujourd’hui, en dehors de sa quote‑part, est un pays créancier du Fonds monétaire international. Cela ouvre des perspectives dans l’avenir pour un début de relations institutionnelles solides entre le FMI et l’Algérie. »

 

L’Algérie va-t-elle négocier un siège au Conseil d’administration du FMI ? M. Djoudi n’écarte pas cette hypothèse. Mais « une place au Conseil d’administration n’est pas obligatoirement un objectif immédiat », a‑t‑il précisé. Selon lui, l’objectif « est de pouvoir occuper une place plus importante qui est celle qui est la nôtre aujourd’hui. L’idée, c’est que l’’Algérie, en tant que pays, soit confortée dans son rôle au niveau du FMI et soit plus écoutée de cette institution monétaire ».

 

« Il est important que l’Algérie ait aujourd’hui une position qui est conforme à son poids économique et à sa puissance financière », a‑t‑il ajouté. « Nous sommes aujourd’hui dans d’autres institutions. Nous occupons des places dominantes, par exemple à la Banque africaine, où nous sommes troisième souscripteur. Nous sommes un gros souscripteur à la Banque islamique et administrateur pour un groupe de pays avec un phénomène de rotation », a rappelé le ministre. « L’Algérie veut jouer un rôle de plus en plus important à la fois dans le soutien à notre économie mais aussi dans l’orientation d’un certain nombre de choix et de décisions financières de ces institutions », a‑t‑il dit.

 

source:

http://www.tsa-algerie.com/economie-et-business/pret-de-5-milliards-au-fmi-djoudi-explique-la-nouvelle-strategie-de-l-algerie_22496.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Prêt de 5 milliards au FMI : Djoudi explique la nouvelle stratégie de l’Algérie

 

Karim Djoudi a défendu, ce mercredi 17 octobre, la décision prise par l’Algérie de prêter 5 milliards de dollars au Fonds monétaire international (FMI). Dans une déclaration à la presse en marge des débats au Conseil de la Nation sur le plan d’action du gouvernement, le ministre des Finances a expliqué les motivations du gouvernement algérien et les objectifs espérés via cette décision.

Selon lui, ce placement apporte plusieurs choses à l’Algérie. D’abord, « nous allons forcément améliorer la gestion de nos réserves de changes par les conditions qui sont données à ce placement ». Deuxièmement, « l’Algérie, aujourd’hui, en dehors de sa quote‑part, est un pays créancier du Fonds monétaire international. Cela ouvre des perspectives dans l’avenir pour un début de relations institutionnelles solides entre le FMI et l’Algérie. »

 

L’Algérie va-t-elle négocier un siège au Conseil d’administration du FMI ? M. Djoudi n’écarte pas cette hypothèse. Mais « une place au Conseil d’administration n’est pas obligatoirement un objectif immédiat », a‑t‑il précisé. Selon lui, l’objectif « est de pouvoir occuper une place plus importante qui est celle qui est la nôtre aujourd’hui. L’idée, c’est que l’’Algérie, en tant que pays, soit confortée dans son rôle au niveau du FMI et soit plus écoutée de cette institution monétaire ».

 

« Il est important que l’Algérie ait aujourd’hui une position qui est conforme à son poids économique et à sa puissance financière », a‑t‑il ajouté. « Nous sommes aujourd’hui dans d’autres institutions. Nous occupons des places dominantes, par exemple à la Banque africaine, où nous sommes troisième souscripteur. Nous sommes un gros souscripteur à la Banque islamique et administrateur pour un groupe de pays avec un phénomène de rotation », a rappelé le ministre. « L’Algérie veut jouer un rôle de plus en plus important à la fois dans le soutien à notre économie mais aussi dans l’orientation d’un certain nombre de choix et de décisions financières de ces institutions », a‑t‑il dit.

 

source:

http://www.tsa-algerie.com/economie-et-business/pret-de-5-milliards-au-fmi-djoudi-explique-la-nouvelle-strategie-de-l-algerie_22496.html

 

Ce Mr Djoudi parle pour ne rien dire "c'est ma conclusion" !

 

Sinon moi j'ai entendu dire que cet argent est converti en actions qui est sujette à augmentation ou bien baisse et justement y a plus de chance d'une baisse comme celle à l'origine de la dernière crise financière mondiale, souvenez vous les actions dans lesquels y'avait d'autres actions immobilière US qui ce sont effondrés subitement, et pooouuufff 5 Milliards transformer en pet de lapin (dans ce cas ça serait un investissement d'enfer, enfin pour les occidentaux biensûr ;) )

Modifié par Jazz3210
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

5 Milliards de dollars ça peut paraître peu d'argent , mais quand on les convertit en dinars ça représente tout de même 50.000 Milliards de centimes de dinars et là y a de quoi remplir un camion de billets :D et malgré que celà puisse être un prêt on peut pas se permettre une telle somme surtout que nos dirigeants disent tout le temps on a pas les fonds nécessaire batati batata ... etc imaginez tout ce qu'on peut faire avec cette argent.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

avec 5 milliards de dollars tu peux créer des usines , ou bien financer l 'agriculture , car a mon avis le nombre des sans emplois en Algérie est plus importants que les années précédentes.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

  • Messages

    • @popmpopm tu as fais comment pour accéder au mode superadmin? j'ai pas bien compris le truc avec le numéro fixe.. de base c'était telecomadmin/admintelecom pour le huawei mais maintenant ca marche plus..
    • Enfin le superadmin ... Enfin tous les option  Je pense que le nom d'utilisateur et mot de passe de la connexion est le numéro de téléphone du fix avancé par 3 lettres et la même chose pour mp c'est ce que j'ai trouvé.. Je bidouille mais sans internet il mon installé le modem sans signal los mais le fix marche bizarre le technicien ma dit d'attendre 1 heure mais après 5 heure y'a rien j'ai appelé le 12 il mon dit que si elle ne serait pas activé par votre agence alors demain en va l'activé mais moi j'ai un doute lui même a appelé le 12 il ont dit que le signale ne pas stable alors m'a dit que peut être il ya du la poussière il a sifflet un peut dans le trou de la boîte 🤣🤣 moi ma conclusion c'est du bricolage tous ca je vais le contacté dimanche avant que ligne soit rétabli sinon je vais resté avec une connection de batata ellah yej3al el khir  
    • @youcef17fr c'est où ? Donc de nouveaux conteneurs arrivent de Chine contenant les équipements fibre optique (PBO , ONT , ...ect) après la crise maritime en mer Rouge.
    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
×
×
  • Créer...