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Une nouvelle box le 21 novembre chez Orange !


Hicham

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Une nouvelle box le 21 novembre chez Orange

 

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Orange va lancer une nouvelle box qui sera présentée le 21 novembre par Stéphane Richard, patron de France Télécom, lors d'une conférence événement.

 

Il n’y a pas que les fabricants de smartphones et tablettes qui se préparent pour les fêtes de Noël. Les FAI aussi développent leurs nouveaux produits pour s’adapter aux nouveaux outils mobiles. Après SFR, Free et Bouygues, qui ont renouvelé leurs produits récemment, il ne restait qu’Orange. Ce sera chose faite avant la fin de l’année. Le 21 novembre 2012, le groupe présentera une nouvelle version de sa LiveBox.

 

L’opérateur garde ses informations bien au chaud pour un effet de surprise maximum. Développée par SagemCom, elle devrait disposer d’un Wi-Fi 450 Mbit/s et d'un processeur Intel Atom. Intégrera-t-elle comme cela avait été évoqué une console de jeux, un navigateur Internet et un lecteur Blu-Ray ? La société ne le dit pas.

 

Orange se contente d’indiquer qu’elle intégrera les toutes dernières technologies. Selon Jean-Paul Cottet, directeur du marketing et de l’innovation, elle sera « ATAWAD », c’est-à-dire qu’elle offrira des services « anytime, anywhere, any device ». Elle devrait donc être compatible avec les outils mobiles des différents fabricants.

Rien ne filtre non plus sur les offres d'abonnements. Seront-elles readaptées pour mieux affronter la concurrence ? Par contre, ce que l'on sait, c'est que ce projet aurait représenté un investissment de 120 millions d'euros.

Pour avoir plus de détails, il n'y a d’autre choix que de patienter encore une semaine.


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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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