Aller au contenu
Règlement du forum ×
IPTV et arnaques ×

Selon une étude, Les Algériens de 15-34 ans sont accros à internet !


Hicham

Messages recommandés

Selon une étude menée auprès d’un échantillon de 2.500 individus

 

Les Algériens de 15-34 ans accros à internet

 

Internet_460492508.jpg

 

Une étude effectuée en 2010 par la société IMMAR Research & Consultancy démontre que les Algériens âgés de 15 à 34 ans sont les plus grands utilisateurs de l’internet en Algérie, a rapporté APS. Ainsi, ces derniers représentent un taux de près de 60% des internautes au niveau national.

Cette étude est une enquête menée auprès d’un échantillon de 2.500 individus, âgés de 15 ans et plus, représentatif de la population algérienne (urbaine et rurale), précise M. Brahim Sail de IMMAR. Selon lui, il était difficile d’élargir l’échantillon aux moins de 15 ans, lesquels se connectent avec l’accord parental. Sur les 4,3 millions d’internautes algériens, 2 525 000 sont âgés de 15 à 24 ans (36,9%), 1.125.000, de 25 à 34 ans (20,2%). Ces deux catégories d’âge (15-34 ans) représentent près de 60% des internautes algériens. En revanche, le taux chute davantage chez les 35-44 ans (9,7%) avec 425 000 internautes, 225.000 chez les 45-54 ans (5,23) et 55 ans et plus (2,1%).

 

D’après la même étude, le plus grand nombre d’internautes se trouve à l’Est (1.773.000), le Centre occupant la deuxième position avec 1.330.000 internautes, suivi de l’Ouest avec 847.000 et le Sud avec 350.000. Aussi, les hommes sont beaucoup plus portés sur l’internet puisqu’ils sont 3 025.000 à se connecter contre 1.275.000 chez la gent féminine. Pour ce qui est du niveau d’instruction, le taux le plus élevé se situe chez les universitaires dont 60,5% se connectent. Ceux justifiant d’un niveau secondaire atteignent un taux de 40,4%, contre 24,8% pour le niveau moyen (collège), 9,9% pour le primaire et 2,9% pour les non-scolarisés.


Source

 

Nuance , ils sont accros à Facebook pas à internet , internet c'est tout autre chose !

 

c'est la Suite de : http://www.forumdz.com/showthread.php?40238-Facebook-en-Alg%E9rie-Bient%F4t-4-millions-d%92utilisateurs-avec-un-Taux-de-82&p=272474#post272474

  • Like 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

moi je suis accros a internet mais sans facebook,peut etre dans les 0.1% de mon temps de connexion pour facebook.

 

moi je vais sur facebook juste pour compter le nombre de pigeons en algérie , après facebook a de bons cotés et même de meilleurs malheureusement y a que le mauvais qui est utilisé en Algérie !

 

Facebook c'est fait pour les pays qui connaissent vraiment ce qu'est internet , il est inutile de dire que Facebook a rendu les algériens encore plus cons (désolé pour le terme mais c'est la vérité), suffit de croiser un jeune dans la rue et parlez lui d'internet il vous dit: "Ah Facebook, oui je connais , d'ailleurs j'ai beaucoup de photos de filles dedans" .

 

quand Moussa Benhamadi entends ce genre de paroles il va se dire quoi ?! beh on va stopper tous les projects de 3G et fibre optique en algérie , on va leur donner juste de quoi facebooker et puis voilà après tout cha3b qui ne connait pas la différence entre 1 Mbps et 100 Mbps à quoi bon dépenser des milliards (biensur y a toujours une minorité mais elle est très faible).

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'ai facebook j'y vais tout le temps pour voir l'actualité de plusieurs trucs important ou pas, je vois pas le probleme.

 

si facebook est indésirable en algérie c'est parce que les dinosaures qui dirigent notre jungle qu'est l'algérie ont dépassé la date de péremption et facebook est un attrape mouche, on a aucun moyen de lutte contre la cyber-criminalité .

 

pour donner un exemple en france, un internaute a insulté la police sur facebook , quelques jours plus tard il se retrouve en Prison ,....... etc maintenant sans compter les phénomènes qui touchent la vie privée.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

  • Messages

    • Enfin le superadmin ... Enfin tous les option  Je pense que le nom d'utilisateur et mot de passe de la connexion est le numéro de téléphone du fix avancé par 3 lettres et la même chose pour mp c'est ce que j'ai trouvé.. Je bidouille mais sans internet il mon installé le modem sans signal los mais le fix marche bizarre le technicien ma dit d'attendre 1 heure mais après 5 heure y'a rien j'ai appelé le 12 il mon dit que si elle ne serait pas activé par votre agence alors demain en va l'activé mais moi j'ai un doute lui même a appelé le 12 il ont dit que le signale ne pas stable alors m'a dit que peut être il ya du la poussière il a sifflet un peut dans le trou de la boîte 🤣🤣 moi ma conclusion c'est du bricolage tous ca ellah yej3al el khir
    • @youcef17fr c'est où ? Donc de nouveaux conteneurs arrivent de Chine contenant les équipements fibre optique (PBO , ONT , ...ect) après la crise maritime en mer Rouge.
    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
×
×
  • Créer...