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Adeptes du DIY


Invité java

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Hello !

 

le DIY (Do It Your self) ou le faites le vous même , est la grande tendance depuis plusieurs mois dans le monde entier et ça touche tous les domaines (art, fabrication de meubles, coutures, cuisines, ...) et la partie qui m'intéresse le hack et prototypage informatique et électronique.

 

Je m’explique, j'ai pu acquérir un module Arduino (ask google) ou voir sur Ted.com, Arduino est un module électronique programmable et extensible totalement open-source.

Un module programmable signifie clairement des possibilités infinies qui n'ont de limite que notre imagination.

 

Dans notre contexte sociétale (notre cher et bien aimé pays l'Algérie) est, selon moi, le contexte idéal pour faire évoluer se genre d'exercice, l'idée est de permettre à des personnes qui le veulent de développer des idées via la création de prototypes qui permettrons de résoudre des problèmes ou des soucis du quotidien Algérien.

 

détecteur de présence, domotique (traitement de captures de gaz pour émettre des alertes, fuites d'eaux, surcharge électrique pour par exemple éteindre des climatiseurs ce qui permettrait à grande échelle d'éviter le délestage... etc.

 

il y'a tellement à faire dans cette optique que je vous encourage à vous procurer un module (ou le fabriquer) Internet grouille de ressources pour ce genre d'exercice.

 

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Modifié par java
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Dans le meme esprit il y a aussi Raspberry PI

c'est un module plus evolue qui permet de plus se concentre sur le dev que sur le prototypage mais l interet reste le meme

pour le temps, sachez que l on dispose jamais assez de temps mais ce qui est important c est de apprendre a prioriser les taches

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    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
    • Alors qu' il n'y a  pas de vdsl pour tous pour augmenter le débit à plus de 20 Méga, certains villages peu habités ont la fibre, situés au pied du Djurdjura sont fibrés depuis plus d'une année .
    • Bonjour, C'est quand même un OS qui date de 2016.. il est temps de passer à autre chose
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