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RIM lance 2 nouveaux modèles Blackberry Z10, Q10 et change de nom à Blackberry


RYB

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Bonjour @ tous,

 

Je viens d'avoir en main le Blackberry Z10 (modèle à écran tactile style IPhone), pour un premier contact je vous dirais RIM (ou Blackberry suite au changement de nom) joue sa dernière carte : Ça passe ou Ça Casse :)

 

J'èspère recevoir un démo pour le tester comme il faut la semaine prochaine.

 

Le modèle Q10 (avec un clavier physique) sortir est annoncé pour le mois d'avril en Amérique du Nord.

 

Il faut savoir une chose que ces nouveaux modèles ne sont pas gérable via la version du BES actuel, il faut installer un MDM ou BES 10 car les nouveaux Blackberry fonctionne avec la dernière version du système d'exploitation au lieu de Java comme c'est le cas des modèles actuels.

 

 

Si vous souhaitez savoir plus sur ces nouveaux téléphone, il ya un webcast demain sur le lien suivant :

 

http://webcast.streamlogics.com/audience/index.asp?eventid=63414

 

17h00 heure Alger

 

As RIM Principal Analyst Brian Bernard walks through some of the exciting features of BlackBerry® 10 and explains how you can troubleshoot them most effectively. Brian will cover the following topics:

[TABLE=width: 100%]

[TR]

[TD]

  • Setup and Activation
  • Software Updates
  • Wireless connectivity
  • BlackBerry® Balance
  • Media Playback and Sharing
  • Collecting Debug Logs
  • BlackBerry® 10 Virtual Keyboard
  • BlackBerry® 10 Camera
  • BlackBerry® 10 Calendar

[/TD]

[TD]

  • BlackBerry® 10 Contacts
  • Security and Privacy
  • BlackBerry Maps
  • The BlackBerry® Hub
  • File Streaming
  • The Android Player
  • Native Social Apps
  • The StoryMaker App

 

[/TD]

[/TR]

[/TABLE]

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C'est vrai que c'est leurs dernière chance. Mais je dois jouer aux analystes, je dirais que ça va casser. Le BB store ou je ne sais comment ça s’appelle n'est pas assez riche, et les gens sont devenu avares des apps. Si RIM ne se bouge pas le derrière de coté là, elle va se casser les dents à coup sûre. Et je dirais même qu'elle doit engager des développeurs dédiés.

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    • @youcef17fr c'est où ? Donc de nouveaux conteneurs arrivent de Chine contenant les équipements fibre optique (PBO , ONT , ...ect) après la crise maritime en mer Rouge.
    • Un traité international de protection pour l'IA est en train d'être négocié. une cinquantaine de pays dont l’UE, les États-Unis et le Canada étudient un texte les " Droits de l'homme et la démocratie" sur l'IA. Il vise à garantir que les développeurs d’outils d’intelligence artificielle comme OpenAI ou Mistral respectent un minimum de droits fondamentaux et d’éthique. Il s’agit du tout premier traité international sur l’IA, élaboré par le Conseil de l’Europe (à distinguer du « Conseil », la représentation des 27 pays de l’Union européenne), une institution internationale qui comprend 46 membres et dont l’objectif est de protéger les droits humains. Si un accord a été trouvé au sein de son « comité sur l’intelligence artificielle », il doit encore être avalisé par son « comité des ministres », une étape qui devrait intervenir dans le courant du mois de mai. À la différence de la récente résolution des Nations Unies qui appelle à réguler l’intelligence artificielle, ce texte sera à terme contraignant. Mais il devra suivre un long processus pour devenir applicable : il devra être ratifié par chaque État signataire, puis être transposé dans chaque droit national. Il pourrait s’appliquer, une fois toutes ces étapes franchies, à l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, à l’Australie, au Canada, au Japon, au Mexique, au Costa Rica, à l’Argentine… Et à tous les pays qui le souhaitent. Son objectif « vise à aligner le développement, la conception et l’application de l’intelligence artificielle avec les principes du Conseil de l’Europe », souligne sa Secrétaire Générale, Marija Pejčinović Burić, dans un communiqué. Pour ses rédacteurs, l’intelligence artificielle, qui englobe autant les IA génératives comme ChatGPT que les IA prédictives – l’IA qui est utilisée pour faire des recommandations sur les réseaux sociaux – ne doit pas porter atteinte aux droits de l’Homme, à la démocratie et à l’État de droit. Le traité vise à combler un vide. Jusqu’à présent, les règles sont majoritairement définies par les entreprises qui développent ces IA – comme OpenAI, Google, Mistral. Et le respect des droits humains est loin d’être dans leurs priorités. « L’idée, c’est de ne pas attendre que leurs systèmes soient mis sur le marché (et accessibles au grand public, ndlr), c’est de mettre en place des règles démocratiques au plus vite et en amont », explique Katharina Zügel, Policy Manager au sein du Forum sur l’Information et la Démocratie, que 01net.com a interrogée. On trouve parmi les principes à respecter : les droits de l’homme, la démocratie, la dignité humaine, la transparence, l’égalité et la non-discrimination, le respect des règles en matière de données personnelles et de vie privée, ainsi que l’idée d’innovation sûre. Les systèmes d’intelligence artificielle ne doivent par exemple pas être utilisés pour « saper l’intégrité, l’indépendance et l’efficacité des institutions et processus démocratiques, y compris le principe de séparation des pouvoirs, le respect de l’indépendance judiciaire et l’accès à la justice ».  
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